Les sentiers, principalement en terre battue compactée et par endroits en gravier, sont suffisamment larges pour un passage aisé. Ils suivent le relief naturel vallonné, présentant des pentes douces et quelques montées plus marquées. Le tracé forme une boucle unique, clairement balisée. Chaque section guide intuitivement les visiteurs vers les habitats des animaux.

Les matins de saison verte offrent une humidité rafraîchissante et un air purifié par la pluie nocturne. Le sanctuaire résonne alors des chants d'oiseaux et des cris de singes, moins masqués par le brouhaha humain. Les groupes de visiteurs, plus restreints, cultivent une ambiance d'observation sereine et respectueuse. C'est un moment privilégié pour une immersion authentique, loin de l'affluence de la haute saison.

Salut les amis voyageurs !

Dès l'entrée à Alturas Wildlife Sanctuary, l'air s'épaissit d'une humidité tropicale et le concert de la jungle vous enveloppe. Ce n'est pas un zoo, mais un murmure constant de vie sauvage blessée qui trouve ici un répit, une promesse de renouveau. Le regard se pose d'abord sur ces paresseux, souvent perchés, leurs mouvements d'une lenteur presque méditative. Leurs griffes, autrefois menacées par la déforestation ou les lignes électriques, s'agrippent désormais aux branches conçues pour leur réhabilitation. Plus loin, l'agitation des singes capucins captive, leurs regards vifs scrutant chaque visiteur, témoins de leur incroyable résilience.

C'est ici que j'ai rencontré un jeune ara écarlate, récupéré à peine emplumé après la destruction de son nid. Ses plumes, d'un rouge et bleu intenses, étaient une promesse. Les soigneurs, avec une patience infinie, l'ont nourri, protégé, et lui ont appris à voler à nouveau dans une volière immense, préparant son retour éventuel à la liberté. Voir cette détermination à survivre, cette volonté de lui offrir une seconde chance, c'est comprendre l'âme d'Alturas. Chaque pas résonne avec l'espoir et le dévouement. On repart d'ici non seulement avec des images, mais avec la certitude que des mains bienveillantes œuvrent chaque jour pour la protection de ce précieux écosystème.

N'oubliez pas de soutenir ces initiatives incroyables lors de votre prochaine aventure !

Le point de vue le plus prisé est devant les enclos des paresseux et des singes capucins. Cadrez l'animal en intégrant le feuillage environnant pour un effet de profondeur. La lumière idéale se trouve en milieu de matinée (10h-11h), offrant une clarté douce et diffuse. Les sentiers ombragés permettent aussi des clichés atmosphériques, capturant les rais de lumière.

Le dévouement du personnel pour le bien-être animal est palpable, offrant une seconde chance aux espèces locales. L'espace restreint limite l'habitat naturel des animaux, rendant l'observation parfois frustrante. La résilience incroyable des animaux, souvent mutilés, qui retrouvent une forme de dignité, fut la véritable surprise.

Près du sanctuaire Alturas, renseignez-vous d'abord auprès des pharmacies (Farmacias) locales à Dominical ou Uvita pour la location de fauteuils roulants ; elles proposent souvent du matériel médical. Les locations de scooters de mobilité sont moins courantes localement. Votre hôtel ou un tour-opérateur de confiance pourrait également vous aider à trouver une location depuis une ville plus grande comme Quepos ou San Isidro de El General. Les prix varient considérablement ; confirmez toujours la disponibilité et le coût directement.

Vous observez des paresseux en convalescence et des singes capucins réhabilités, souvent perchés à hauteur de regard. Des guides partagent les récits individuels de chaque animal, détaillant leur sauvetage et les soins prodigués. Vous pouvez assister à des séances de nourrissage, observant leur agilité ou leur calme. Le parcours serpente au travers d'une végétation dense, offrant des points d'observation uniques.

Salut les amis voyageurs ! Prêts pour une immersion au cœur de la faune costaricaine ?

À Alturas Wildlife Sanctuary, près de Dominical, l'air ne vibre pas seulement des chants d'oiseaux exotiques ou des cris lointains des singes hurleurs ; il est imprégné d'une humidité tropicale qui caresse la peau, portant des effluves de terre mouillée et de fleurs inconnues. Chaque pas sur les allées serpentines dévoile un nouveau tableau vivant : l'éclat irréel des plumes d'un ara écarlate, le regard profond et pensif d'un paresseux suspendu, ou l'agilité surprenante d'un capucin espiègle. Ce n'est pas un zoo, mais un refuge, où chaque animal a une histoire de survie et de réhabilitation. On y ressent le dévouement palpable des soigneurs, leur patience infinie, dans le calme respect qui entoure chaque enclos. C'est un ballet silencieux de soins et d'observation. Si l'on tend l'oreille au-delà des exclamations des visiteurs et du bruissement des feuilles, on peut parfois percevoir le *léger cliquetis* des griffes d'un paresseux grimpeur sur la branche de son arbre, un son presque inaudible, témoin de son mouvement lent et délibéré, souvent masqué par l'environnement plus bruyant. C'est ce détail, cette discrète symphonie de la vie en convalescence, qui révèle la véritable essence du lieu.

À très vite pour de nouvelles aventures !

Le contact direct avec les animaux est proscrit pour éviter morsures ou griffures; respectez scrupuleusement les consignes du guide. Les sentiers humides peuvent être glissants; portez des chaussures fermées et antidérapantes. Protégez-vous du soleil intense avec chapeau et crème, et hydratez-vous constamment. L'usage d'un répulsif est essentiel contre les piqûres d'insectes tropicaux.

Oui, les passionnés d'oiseaux apprécieront Alturas Wildlife Sanctuary pour sa diversité aviaire en convalescence. On y observe fréquemment des aras écarlates, des toucans à carène ou des quetzals resplendissants, parfois avec des vocalisations distinctes. Les sentiers périphériques et les zones d'observation des volières offrent des points calmes pour l'écoute patiente. La fin d'après-midi, lors des nourrissages ou des préparations au relâcher, maximise les chances d'activité aviaire.