Les allées principales sont pavées de dalles claires et assez larges pour la foule. Les passages secondaires se rétrécissent en ruelles plus intimes. Le terrain est majoritairement plat, avec de légères pentes près des zones commerciales et quelques marches discrètes. Ce réseau sinueux guide naturellement les visiteurs entre les échoppes, convergeant vers des places animées.

Le Vieux Marché de Sharm el Maya est le plus agréable en fin d'après-midi, d'octobre à avril. L'air y est doux, teinté d'épices, et le brouhaha des conversations se mêle aux appels des marchands. La foule, dense mais détendue, flâne entre les étals colorés, cherchant souvenirs ou repas. Une atmosphère vibrante et authentique s'installe alors, loin de l'agitation balnéaire.

Salut les explorateurs !

Loin des resorts scintillants, Sharm el Maya, la Vieille Ville, est un souffle d'authenticité égyptienne. Dès qu'on y met les pieds, l'air s'épaissit d'un parfum enivrant de cumin, de cardamome et de menthe fraîche, se mêlant aux volutes sucrées des shishas. Les ruelles sinueuses s'animent d'un ballet incessant : marchands de tapis aux couleurs éclatantes, artisans du cuir martelant leurs motifs, et l'écho lointain des appels à la prière qui se fond dans le brouhaha joyeux des négociations. Les étals débordent de babouches brodées, de lampes ciselées qui jettent des ombres dansantes, et de montagnes d'épices aux teintes ocre, safran et rouge profond. Le soir, les lumières tamisées des lanternes transforment le souk en un tableau vivant, où chaque interaction semble raconter une histoire millénaire.

Un soir, après avoir longuement admiré des épices, j'ai engagé la conversation avec un vieil homme, les mains tachetées de henné, qui tenait une petite échoppe. Il m'a offert un thé à la menthe brûlant, non pas pour me vendre quoi que ce soit, mais pour partager un moment. Il m'a raconté comment sa famille vendait des épices ici depuis des générations, et comment le parfum de son stand était le même que celui de son enfance. Ce simple geste, loin de toute transaction, a révélé l'âme véritable de Sharm el Maya : un lieu où les traditions persistent, où l'hospitalité est un art, et où chaque échange peut devenir un pont entre les cultures. C'est ici, au cœur de ce tumulte parfumé, que l'on ressent vraiment le pouls de l'Égypte, loin des clichés balnéaires.

J'espère que cette immersion vous a plu ! À très vite pour de nouvelles évasions !

La Mosquée Al-Sahaba est le point d'arrêt principal, offrant des perspectives grand-angle imposantes. Les allées du souk, avec leurs étals vibrants, sont parfaites pour des scènes de vie capturant l'ambiance locale. La "golden hour", juste avant le coucher du soleil, offre une lumière douce et chaude sublimant les couleurs. À la nuit tombée, les illuminations de la mosquée et l'effervescence du marché créent des clichés dynamiques et contrastés.

Le Vieux Marché de Sharm el Maya séduit par ses couleurs vives et ses épices. L'insistance des vendeurs frôle l'agressivité, rendant l'expérience fatigante. L'hygiène générale est perfectible et les options culinaires locales déçoivent. La mosquée Al-Sahaba, majestueuse, offre un havre de paix inattendu au cœur du brouhaha.

Près de Sharm el Maya, les pharmacies bien fournies ou les magasins de fournitures médicales à Hadaba sont les points de contact. La location de fauteuils roulants manuels y est parfois possible, mais les scooters électriques sont très rares. Demandez "location fauteuil roulant" ; comptez environ 10-20€ par jour pour un manuel. Les grands hôtels peuvent aussi faciliter une location pour leurs clients via des prestataires locaux.

Parcourez les allées animées, où les parfums d'épices et d'encens se mêlent. Négociez un tapis coloré ou un bijou en argent avec les marchands locaux. Dégustez un thé à la menthe dans un café traditionnel en observant l'effervescence. Admirez la majestueuse mosquée Al-Sahaba illuminée, offrant un contraste saisissant.

Salut les amis voyageurs !

Sharm el Maya pulse d'une énergie différente de celle des stations balnéaires, une authenticité rugueuse et chaleureuse qui vous enveloppe dès les premiers pas. Le crépitement des conversations se mêle aux appels des marchands, les étals débordent de couleurs éclatantes – épices safranées, tissus chatoyants, lampes aladinées – et l'air vibre d'un mélange d'effluves sucrées et épicées.

Mais pour vraiment sentir l'âme de ce lieu, il faut s'éloigner des artères principales. Glissez-vous dans l'une de ces ruelles latérales, à peine plus larges qu'une épaule, où l'ombre est plus dense et le brouhaha s'estompe en un lointain murmure. Là, dans le silence relatif, un son presque oublié émerge : le *tic-tic* régulier et précis d'un petit marteau sur l'argent. Souvent, c'est un vieil artisan, courbé sur son établi de fortune, qui façonne des bijoux délicats. L'air, dans cette enclave discrète, porte une odeur singulière, loin des parfums opulents du souk : un mélange ténu de métal froid, de poussière de bois ancien et d'une pointe d'encens à peine perceptible, brûlant dans un coin sombre pour les bons auspices. Ce micro-univers, presque secret, est une bulle de concentration où le temps s'étire, dévoilant la patience et la dextérité d'un savoir-faire ancestral. C'est le battement de cœur silencieux de Sharm el Maya, une mélodie d'artisanat qui se fond trop souvent dans le grand orchestre du souk, mais qui, une fois perçue, révèle une histoire plus profonde, celle des mains qui donnent vie à la matière.

Alors, la prochaine fois, prenez le temps de vous perdre un peu ! À très vite pour de nouvelles aventures !

Au Vieux Marché de Charm el Cheikh, les prix ne sont jamais fixes; négociez chaque achat fermement. Méfiez-vous des vendeurs trop insistants et quittez le stand si la pression devient excessive. Soyez attentif à vos effets personnels dans les foules animées. Préférez les petites coupures pour les transactions et évitez de montrer de grosses sommes.

Les amateurs d'oiseaux trouveront un intérêt modéré à la Vieille Ville de Sharm el Sheikh. Attendez-vous à observer principalement Tourterelles maillées, Moineaux domestiques et Goélands pontiques près du port. Les ruelles calmes en périphérie ou la zone adjacente à la petite baie de Sharm el Maya sont plus propices à l'observation. Privilégiez l'aube ou le crépuscule pour une activité aviaire accrue.