Imagine you're gliding over the turquoise water, the gentle rocking of the boat a lullaby. Then, you feel a shift in the air, a cool breath as you get closer to Pelican Rock. It's immense, a natural sculpture rising from the sea, its surface carved by millennia of waves and wind. You hear the distinct cries of gulls echoing off its ancient walls, a sound so clear it feels like it's inside you. The layout here isn't about paved walkways; it's about the natural contours of the rock itself, the way the water shapes its base, creating hidden coves and sun-drenched ledges.

You won't find smooth, cobbled paths here, not in the traditional sense. Instead, your path is often the water itself. Imagine dipping your hand in, feeling the cool current guide you around its base. If you disembark onto one of the small, sandy patches or rocky outcrops, the "paths" are more like natural ledges, worn smooth by the ocean's touch in some spots, rough and grippy in others. You’ll feel the coarse sand underfoot, then the uneven, sun-warmed rock. Each step is a mindful exploration, guiding you around pockets of clear water where fish dart, or towards a tiny sun-drenched nook perfect for a moment of quiet.

For getting there, a quick panga (water taxi) from the marina is your best bet – super easy to find. If you plan to hop off onto any part of the rock or swim close, bring water shoes; the 'paths' (aka natural ledges or small sandy bits) can be uneven and rocky. Don't forget your snorkel gear – the real exploration is often underwater around the base! And sunscreen, obviously.

Olya from the backstreets

Tu te demandes quand Pelican Rock à Cabo San Lucas révèle toute sa magie ? Oublie les calendriers. Imagine plutôt l'air sur ta peau fin novembre ou début décembre. Il n'est plus lourd et moite comme en plein été, mais d'une douceur parfaite, juste assez chaud pour te donner envie de plonger, mais avec une brise légère qui te caresse le visage et t'apporte cette odeur inimitable de sel, d'embruns et d'un peu de roche chauffée par le soleil. Tu respires profondément, et c'est comme si l'océan entier te remplissait les poumons. L'eau est d'une clarté incroyable, tu entends le clapotis doux des vagues contre les rochers, parfois le cri lointain d'une mouette, ou le souffle régulier d'un lion de mer qui se prélasse. C'est un murmure, pas un rugissement. Tu sens cette paix t'envelopper, une sensation de liberté absolue.

À cette période, la foule est présente, oui, mais elle est différente. Ce n'est pas le brouhaha incessant de la haute saison où chaque bateau se bouscule. Tu entends des rires joyeux, des conversations en plusieurs langues, mais tout est un peu plus diffus, plus respectueux de l'espace. Les bateaux de touristes passent, mais ils ralentissent, les voix sont moins fortes. Le soleil, même s'il est intense, ne t'écrase pas, et cette lumière dorée sur l'eau te donne l'impression que le monde entier scintille. Un ciel nuageux, même rare ici, peut changer l'ambiance : il rend la roche plus sombre, plus dramatique, l'eau prend des teintes plus profondes, et le lieu semble plus intime, presque mystérieux. Tu marches sur le sable et tu sens la température idéale, le grain fin sous tes pieds, et tu as cette certitude que tu es exactement là où tu dois être.

Pour profiter de ça, vise les matinées en semaine, entre 8h et 10h. Moins de monde, lumière incroyable pour les photos (si tu veux en faire !). Tu peux louer un kayak ou un paddleboard directement sur la plage Medano pour y aller à ton rythme – c'est une super expérience pour sentir l'eau de près et entendre les sons de la mer sans le moteur d'un bateau. Ou bien, un taxi aquatique t'y dépose en quelques minutes, et tu peux nager autour. N'oublie pas ton masque et ton tuba : sous l'eau, c'est un autre monde, plein de poissons colorés et de coraux. Et surtout, prends le temps de juste être là, de flotter, de regarder le ciel et de sentir le soleil sur ta peau. C'est ça, la vraie magie de Pelican Rock.

Léa de la route

Imaginez le soleil chaud sur votre peau dès le matin, une brise marine salée qui caresse vos joues. Vous entendez le cri lointain des mouettes, le clapotis doux des vagues contre la coque du bateau qui vous emmène. Puis, vous la voyez, surgissant de l'eau turquoise, massive et majestueuse : la Roca del Pelícano. Vous sentez l'air vibrant autour d'elle, comme si le rocher lui-même respirait, et vous devinez pourquoi tant de pélicans s'y posent, leurs silhouettes immobiles, veillant sur la baie.

Ma grand-mère, qui a grandi ici, disait toujours que la Roca del Pelícano était le cœur battant de Cabo. Elle racontait comment les anciens pêcheurs venaient y chercher la sagesse des vagues, observant les pélicans plonger avec une précision incroyable. C'est là qu'ils savaient où trouver le poisson, où la vie était la plus riche. Pour eux, ce n'était pas juste un rocher, c'était un guide, un ancien ami qui veillait sur la baie et qui leur montrait le chemin, une sentinelle silencieuse dont les ombres s'allongent et raccourcissent au rythme des marées.

Pour y aller, c'est simple. Une fois au port de plaisance de Cabo San Lucas, vous verrez plein de petites embarcations qui proposent des tours. Demandez un "water taxi" ou un "bateau à fond de verre" pour la Roca del Pelícano. Ça coûte généralement quelques dollars et le trajet est très court, à peine quelques minutes. Le chauffeur vous déposera juste à côté et pourra même vous attendre si vous le souhaitez, le temps d'une baignade ou d'une séance de snorkeling. C'est le spot parfait pour observer la vie marine juste sous la surface.

N'oubliez pas votre crème solaire biodégradable ! L'eau est tellement claire que le soleil tape fort. Prenez aussi de l'eau, une serviette et votre masque-tuba si vous en avez un – sinon, certains bateaux en louent. Le matin, c'est le meilleur moment pour visiter : l'eau est plus calme, idéale pour la plongée libre, et il y a moins de monde. Vous aurez l'impression que la Roca del Pelícano vous appartient, ne serait-ce que pour quelques instants.

Léa de la route

Imaginez-vous sur l'eau, le soleil du matin qui caresse votre peau. L'air est doux, légèrement salé, et vous entendez seulement le clapotis régulier des vagues contre la coque du bateau. Puis, une forme se dessine, massive, imposante. C'est le Rocher du Pélican. Vous ne le voyez pas, mais vous *sentez* sa présence, sa grandeur. C'est une force tranquille, un pilier de pierre sculpté par le temps et les marées. Vous approchez doucement, et le son des mouettes devient plus net, leurs cris résonnent autour de vous, comme un salut à ce monument naturel.

Pour LA photo, celle qui capture tout, positionnez-vous sur l'eau, à quelques dizaines de mètres du Rocher du Pélican lui-même. Tu sentiras le mouvement doux du bateau sous tes pieds, l'eau qui clapote contre la coque, et l'air vibrant des pélicans qui planent, leurs ailes effleurant presque le vent. C'est là que le rocher se révèle le mieux, avec en arrière-plan l'arche emblématique de Cabo San Lucas, juste à côté. Tu peux presque imaginer la texture rugueuse de cette roche millénaire. Les oiseaux sont partout, leurs cris distincts, leurs vols gracieux. C'est un tableau vivant, une symphonie de sons et de sensations.

Le meilleur moment pour la lumière et l'ambiance, c'est vraiment l'heure dorée. Soit très tôt le matin, juste après le lever du soleil, soit en fin d'après-midi, une bonne heure avant le coucher. Le matin, la lumière est douce, elle enveloppe le rocher d'une teinte chaude et les ombres sont longues, parfaites pour le relief. C'est aussi quand il y a moins de monde, donc l'eau est plus calme et tu entends mieux les sons de la nature. L'après-midi, tu as cette lumière orange qui fait flamboyer la roche. Pour la photo, essaie de capter le reflet du rocher dans l'eau si elle est calme, ou d'inclure l'Arche qui est juste à côté. Ça donne une perspective complète. N'oublie pas de vérifier l'angle pour que le soleil ne soit pas directement dans l'objectif, sauf si tu cherches un effet de halo.

Léa en vadrouille

Salut ! De retour de Cabo, et mon dieu, il faut que je te parle de ce Rocher du Pélican.

Imagine un peu : tu es sur l'eau, le soleil te chauffe la peau, et soudain, tu sens cette brise marine qui te caresse le visage, chargée d'une pointe de sel et de quelque chose d'indomptable. Le bateau ralentit, et tu perçois ce son, d'abord lointain, puis de plus en plus clair, des vagues qui viennent s'écraser avec une force tranquille contre une masse rocheuse. Ce n'est pas juste une pierre, c'est comme si la terre elle-même avait décidé de sculpter une sentinelle géante, dressée là, au milieu du bleu profond. Tu tends la main, tu sens l'eau qui clapote, froide et vivifiante, avant même de l'apercevoir vraiment. C'est ça, le Rocher du Pélican.

Une fois que tu t'approches, que tu as pied dans cette eau cristalline – elle est si claire que tu pourrais presque *sentir* les poissons nager autour de tes chevilles avant même de les voir – c'est une immersion totale. Tu peux te laisser flotter, sentir le léger courant te bercer, et écouter le silence sous-marin, juste ponctué par le frôlement des nageoires ou le léger craquement des coraux. Si tu tends la main, tu peux même toucher le sable, incroyablement doux et fin, comme de la poudre. Et puis, il y a les pélicans, évidemment. Tu les entends avant de les voir, leurs cris rauques, puis le battement puissant de leurs ailes quand ils plongent. C'est une symphonie aquatique.

Ce qui m'a vraiment surprise, c'est à quel point l'endroit peut être paisible malgré sa popularité. On s'attend à une foule, mais il y a des recoins où tu te sens presque seul au monde. J'ai trouvé un petit espace entre deux rochers où le soleil filtrait juste assez pour réchauffer l'eau, et le silence était si profond que tu pouvais entendre ton propre souffle. C'est un contraste saisissant avec l'énergie de Cabo San Lucas, comme une bulle de tranquillité au milieu de l'océan.

Par contre, un truc qui n'a pas été idéal, c'est l'accès à certaines heures. Les bateaux-taxis peuvent te déposer, mais si tu n'es pas à l'aise pour nager quelques mètres avec tes affaires, ça peut être un peu compliqué. Mon conseil : arrive tôt le matin, genre avant 9h. Il y a moins de monde, l'eau est encore plus calme, et tu peux vraiment profiter de la sérénité. Pour y aller, la meilleure option est de prendre un bateau-taxi (panga) depuis la marina de Cabo San Lucas. Négocie le prix, ils sont flexibles ! Prévois aussi de l'eau, de la crème solaire et un sac étanche pour ton téléphone, parce qu'il n'y a rien sur place.

Au final, ce que j'ai le plus aimé, c'est cette sensation de liberté absolue. Flotter là, avec cette masse rocheuse imposante derrière toi, les vagues qui te bercent et le soleil qui te réchauffe le visage. C'est un endroit où tu te sens vraiment connecté à la nature, où tous tes sens sont en éveil. C'est plus qu'une jolie vue, c'est une expérience à part entière, un moment où le temps semble s'arrêter.

Olya from the backstreets

Imaginez le soleil de Cabo San Lucas sur votre peau, une chaleur douce qui vous enveloppe. Vous marchez, le sable chaud puis frais sous vos pieds, se transformant en un tapis de galets lisses à mesure que vous vous approchez de l'eau. L'air est dense, saturé du goût salé de l'océan, un parfum unique qui vous prend au nez et vous rappelle l'immensité tout autour. Vous entendez le ressac des vagues, un murmure constant qui monte et descend, parfois ponctué par le cri rauque des mouettes ou le plouf lointain d'un pélican plongeant. Le son de l'eau contre les rochers, c'est comme le pouls de la terre, lent et puissant. Vous sentez la légère brise marine caresser votre visage, apportant avec elle l'odeur iodée des algues et des embruns, une sensation de liberté absolue, une connexion profonde avec ce lieu majestueux qu'est Pelican Rock.

Alors, si jamais tu as besoin de louer un fauteuil roulant ou un scooter pour te déplacer près de Pelican Rock, voici le truc : ce n'est pas toujours évident de trouver un point de location *directement* sur la plage ou juste à côté de l'eau. Le mieux, c'est de regarder dans le centre-ville de Cabo San Lucas. Plusieurs pharmacies (comme Farmacia Similares ou Farmacia del Ahorro, qui sont assez courantes) peuvent avoir ce type de matériel en location, ou du moins t'orienter vers des fournisseurs locaux. Il y a aussi des entreprises spécialisées dans le matériel médical et de mobilité, mais elles sont souvent un peu plus loin du port touristique. Le plus simple, c'est de demander à ton hôtel si tu en as un ; ils ont souvent des partenariats ou des infos locales très fiables et peuvent même organiser la livraison. C'est rarement gratuit, attends-toi à des prix journaliers qui peuvent varier de 15 à 40 USD selon le type d'équipement et la durée. La disponibilité peut être limitée en haute saison, donc si tu peux, appelle un peu à l'avance ou demande à ton hôtel de le faire pour toi.

Olya from the backstreets

Alors, tu veux savoir ce qu'on *fait* vraiment au Rocher du Pélican à Cabo San Lucas ? Imagine. Tu te lèves tôt, le soleil n'est pas encore trop fort, mais il promet une journée incroyable. Tu te diriges vers la marina, et là, tu sens déjà l'air salé, un mélange d'océan et un peu d'essence des bateaux qui attendent. Tu montes à bord d'une petite *panga*, un de ces bateaux locaux, et tu sens le bois sous tes doigts, légèrement chaud du soleil. Le moteur ronronne, une vibration douce qui parcourt tout ton corps, et tu sens le vent sur ton visage dès que le bateau prend de la vitesse. Le soleil commence à monter, et tu te sens glisser sur l'eau, laissant la ville derrière toi. Tu passes devant le célèbre Arc, tu sens la grandeur de cette formation rocheuse juste à côté de toi, avant de te diriger vers le Rocher du Pélican.

Le moteur se calme, et le bruit des vagues contre les rochers devient plus clair. Tu entends le cri des pélicans au-dessus de toi, un son un peu rauque mais tellement caractéristique. L'eau autour de toi est d'une clarté incroyable, tu vois les fonds marins même depuis le bateau. L'envie de plonger est irrésistible. Tu enfiles ton masque, tu sens l'élastique qui serre un peu tes cheveux, le caoutchouc du tuba entre tes lèvres. Tu prends une grande inspiration, puis tu te laisses glisser dans l'eau. C'est frais, mais pas froid, juste assez pour te réveiller complètement. Tu sens l'eau t'envelopper, et le monde au-dessus de toi disparaît, remplacé par une symphonie de bleus.

Sous la surface, c'est un autre monde qui s'ouvre. Tu entends le son de ta propre respiration, régulier et profond, amplifié par le tuba. Le soleil filtre à travers l'eau, créant des rayons lumineux qui dansent sur le sable et les rochers en dessous. Tu sens les petits courants qui te poussent doucement, te laissant dériver sans effort. Des bancs de poissons colorés, des jaunes vifs, des bleus électriques, nagent autour de toi, si près que tu pourrais presque les toucher. Tu vois les coraux, certains lisses, d'autres avec des textures rugueuses, et tu peux sentir la légère différence de température de l'eau quand tu passes au-dessus d'une zone plus profonde ou plus abritée. C'est une sensation de paix totale, juste toi, l'eau et la vie marine.

Quand tu remontes à la surface, tu sens l'air chaud sur ton visage, contrastant avec la fraîcheur de l'eau. Tu peux flotter là, juste regarder le grand rocher, sentir sa présence imposante, et écouter le clapotis doux des vagues contre ses flancs. Parfois, tu entends le plongeon d'un pélican qui pêche. Si tu as de la chance, tu peux même apercevoir des lions de mer se prélassant sur les rochers voisins, leur odeur marine portée par le vent. C'est le moment de simplement être, de laisser le soleil sécher un peu ta peau salée, et d'observer le monde autour de toi.

Pour y aller, tu prends un *water taxi* (une *panga*) depuis la marina de Cabo. Le prix est négociable, mais attends-toi à environ 10-15 $ US par personne pour un aller-retour avec un arrêt d'une heure ou deux. Le matin est le meilleur moment : moins de monde, l'eau est plus calme et la lumière est parfaite. Apporte de la crème solaire biodégradable, un chapeau, de l'eau et une serviette. Un appareil photo étanche, c'est un plus ! Ils fournissent souvent les gilets de sauvetage et l'équipement de snorkeling, mais si tu as ton propre masque, c'est toujours mieux. Et n'oublie pas de laisser un petit pourboire au capitaine, c'est apprécié.

Quand le capitaine te fait signe, tu remontes à bord, un peu fatigué mais le cœur léger. Le retour vers la marina est différent. Tu sens le vent qui te sèche, le soleil qui te réchauffe. Tu as la saveur du sel sur tes lèvres et l'image des poissons colorés gravée dans ton esprit. C'est une expérience qui reste avec toi, une sensation de liberté et de connexion avec la nature. Tu ne fais pas juste "visiter" un rocher, tu y nages, tu y respires, tu y sens la vie marine tout autour de toi.

À la prochaine aventure,

Olya from the backstreets

Bienvenue à Cabo San Lucas ! Si vous êtes ici, c'est que l'appel de l'océan est irrésistible. Mais au-delà des plages animées, il y a des joyaux qui attendent d'être ressentis. Laissez-moi vous emmener au Rocher du Pélican. Imaginez le vent chaud sur votre visage alors que le bateau glisse sur les vagues, le doux balancement sous vos pieds comme une berceuse marine. Vous entendez le moteur ronronner, puis s'estomper, remplacé par le clapotis de l'eau contre la coque. L'air est imprégné de cette odeur salée et vivifiante, un parfum d'aventure et de liberté. Vous sentez le soleil sur votre peau, et la fraîcheur de l'embrun qui monte parfois, une caresse inattendue.

Vous vous approchez. Le Rocher du Pélican n'est pas qu'une masse de pierre ; c'est une présence. Vous entendez les cris rauques des pélicans qui planent au-dessus, puis plongent avec un "plouf" retentissant, comme des artistes accomplis. Mais écoutez bien, au-delà des vagues et des oiseaux, il y a un son plus intime : le doux, presque secret, *clapotis* de l'eau à l'intérieur des minuscules grottes à la base du rocher, un murmure rythmique, comme la respiration d'un géant endormi. Et si vous osez tendre la main vers la roche juste au-dessus de la ligne de flottaison, vous serez surpris par la chaleur emmagasinée par la pierre, qui retient le soleil de la journée même à l'ombre, un contraste saisissant avec la fraîcheur de l'eau.

Pour vous y rendre, c'est simple. Prenez un taxi aquatique (panga) depuis la marina de Cabo San Lucas. Négociez toujours le prix avant de monter, et assurez-vous que le retour est inclus. Ils sont nombreux et faciles à trouver. Prévoyez de l'eau, de la crème solaire biodégradable et un chapeau. Le matin est le meilleur moment pour éviter la foule et profiter d'une eau plus calme.

Une fois sur place, la plongée avec tuba est un incontournable. L'eau est d'une clarté incroyable et la vie marine y est abondante. Si vous n'avez pas votre équipement, de nombreux opérateurs en louent. Vous pouvez aussi opter pour du paddleboard ou du kayak pour explorer les environs à votre rythme. C'est un endroit idéal pour passer quelques heures loin de l'agitation, juste vous et l'océan.

Chloé en vadrouille

Imaginez le bleu infini de l'océan qui s'étend devant vous, une caresse chaude du soleil sur votre peau. Vous entendez le murmure constant des vagues, ce rythme ancestral qui berce le monde. Et puis, au loin, une silhouette se dresse, majestueuse. C'est le Rocher du Pélican, un géant de pierre sculpté par le temps et les embruns, qui semble veiller sur Cabo San Lucas.

Vous vous approchez. L'air vibre du cri joyeux des pélicans, un concert naturel qui résonne entre les falaises. Sentez la fraîcheur de l'eau qui vous enveloppe les pieds si vous vous aventurez dans la mer, ou la chaleur rugueuse du granit sous vos doigts si vous explorez les rochers. C'est un lieu où la roche et l'eau se rencontrent dans une danse éternelle, et vous êtes au cœur de cette symphonie.

Un petit conseil, entre nous : une fois sur place, même si l'envie d'explorer est forte, soyez attentif où vous mettez les pieds. Les rochers, surtout près de l'eau, peuvent être incroyablement glissants, comme du savon mouillé. Et le sol n'est pas toujours plat, attendez-vous à des pierres inégales qui peuvent surprendre. Prenez votre temps, un pas après l'autre, comme si vous dansiez avec la terre.

Autre chose à savoir : autour des zones touristiques comme celle-ci, il y a souvent des vendeurs très insistants. Ce n'est pas dangereux en soi, mais ils peuvent essayer de vous vendre des choses à des prix très élevés ou vous proposer des services non sollicités. Un sourire poli et un "No, gracias" ferme suffisent généralement. N'ayez pas peur de dire non, c'est votre voyage, votre rythme.

Olya from the backstreets

Si tu as déjà rêvé de te sentir en harmonie parfaite avec la nature, de te laisser bercer par le rythme du monde sauvage, alors la Roca del Pelicano à Cabo San Lucas est un endroit où ton cœur va vibrer. Imagine-toi sur l'eau, le soleil matinal caressant ta peau. Ce n'est pas le silence que tu entends, mais une symphonie : le clapotis doux des vagues contre la coque, et par-dessus tout, le son distinctif d'ailes massives fendant l'air juste au-dessus de toi. Tu sens la légère brise marine sur ton visage, et même sans les voir, tu perçois le déplacement de l'air, la puissance de ces créatures majestueuses. C'est le ballet incessant des pélicans, un spectacle qui se vit avec tout ton corps.

Si tu es un amoureux des oiseaux, tu vas adorer ce coin. Bien sûr, les pélicans bruns (les vedettes !) sont partout, tu les verras plonger avec une grâce incroyable. Mais ouvre aussi bien tes oreilles et tes yeux pour les mouettes rieuses qui planent et les cormorans de Brandt, souvent postés sur les rochers, leurs ailes déployées pour sécher au soleil. Pour les observer sans les déranger, le mieux est de demander à ton bateau de te déposer sur la petite plage isolée juste à côté de la Roca del Pelicano, là où les bateaux touristiques ne s'arrêtent pas en masse. Reste discret, ne fais pas de gestes brusques. Le matin très tôt, juste après le lever du soleil, ou en fin d'après-midi, avant le coucher, sont les moments parfaits. C'est là qu'ils sont les plus actifs et que la lumière est la plus douce pour les observer.

Léa sur la route