KODE Art Museums of Bergen Tours and Tickets

Des dalles lisses et du gravier compacté composent les surfaces des allées principales. Leur largeur oscille entre des passages intimes et des esplanades ouvertes. Les pentes sont généralement douces, ponctuées de quelques rampes discrètes et d'escaliers courts. Ce maillage guide le visiteur entre les pavillons, structurant une progression logique.

L'hiver, en semaine, KODE offre une atmosphère épurée et tranquille. L'air y est vif, les salles vastes résonnent d'un silence propice à l'introspection. Les rares visiteurs se déplacent avec une humeur contemplative, loin de l'affluence estivale. C'est le moment idéal pour une connexion intime avec l'art nordique, sans distraction.

Salut les explorateurs d'art !

Bergen ne se contente pas de fjords majestueux, elle abrite également les KODE Art Museums, un ensemble fascinant de quatre musées qui déploient un panorama artistique époustouflant au cœur de la ville. Le long du lac Lille Lungegårdsvann, ces quatre bâtiments distincts, chacun avec son propre caractère, vous invitent à un voyage à travers les époques et les styles, de l'opulence des arts décoratifs norvégiens à la puissance brute du modernisme et aux collections contemporaines. La lumière scandinave, filtrée par les grandes fenêtres, joue avec les couleurs des toiles, créant une atmosphère à la fois sereine et intensément vivante.

C'est ici que l'on découvre l'une des plus grandes collections d'Edvard Munch en dehors d'Oslo, offrant une plongée rare dans son univers tourmenté, aux côtés des paysages enchanteurs de Nikolai Astrup et des maîtres du romantisme national comme J.C. Dahl. Mais KODE surprend aussi avec sa collection Silberhorn d'art chinois, un trésor inattendu de céramiques et d'objets anciens qui témoigne de l'ouverture culturelle de la Norvège. J'ai été particulièrement frappé par un autoportrait moins connu de Munch, ses yeux fixant le vide avec une vulnérabilité si intense qu'elle transcende le temps. Ce n'était pas son œuvre la plus célèbre, mais la connexion émotionnelle ressentie devant cette toile intime m'a révélé une facette plus profonde de son génie, bien au-delà de l'icône, prouvant que KODE n'est pas qu'un musée, mais un lieu de rencontre avec l'âme.

Préparez-vous à être ému et inspiré !

Le long du lac Lille Lungegårdsvann, face aux bâtiments KODE 2 et 3, offre une vue emblématique. Cadrez les façades classiques et leurs reflets parfaits dans l'eau. L'heure dorée, juste après le lever ou avant le coucher du soleil, sublime les couleurs. Les jours nuageux fournissent une lumière douce et uniforme, idéale pour les détails architecturaux.

La diversité des KODE 1, 2, 3 et 4 offre une expérience muséale riche, avec la collection Grieg comme point d'orgue. La signalisation entre les différents bâtiments est cependant désordonnée, rendant la navigation frustrante et peu intuitive. La présence d'une collection d'art chinois, inattendue et d'une qualité remarquable, fut une véritable surprise. Certaines salles souffrent d'un éclairage insuffisant, pénalisant l'appréciation de certaines œuvres.

Pour louer un fauteuil roulant ou un scooter de mobilité près de KODE, adressez-vous aux pharmacies locales (Apotek). Des chaînes comme Vitusapotek ou Apotek 1 proposent souvent ce service de location courte durée. Il est conseillé de les contacter directement pour vérifier la disponibilité et les conditions. Les tarifs varient, demandez une estimation du coût journalier ou hebdomadaire lors de votre appel.

On déambule parmi les toiles de Munch, ressentant l'écho de ses émotions profondes. On explore des collections éclectiques, de l'art ancien aux créations contemporaines, réparties dans quatre musées distincts. On s'arrête devant une sculpture, observant comment la lumière sculpte ses formes. On découvre des trésors nationaux et des œuvres internationales, élargissant sa compréhension de l'expression artistique.

Salut les amis, prêts pour une plongée artistique au cœur de Bergen ?

Les KODE Art Museums, ce n'est pas une simple visite, c'est une véritable symphonie architecturale et émotionnelle, répartie sur plusieurs bâtiments le long du lac Lille Lungegårdsvann. Dès l'entrée, l'air vibre d'une curiosité palpable, entre les galeries modernistes de KODE 1 et les trésors classiques de KODE 3. On y déambule, le regard happé par les couleurs audacieuses d'Astrup ou l'intensité déchirante des œuvres de Munch, dont les toiles semblent encore respirer le froid des fjords et la mélancolie humaine. Pourtant, au-delà des chefs-d'œuvre incontournables, il y a ces petits secrets que seuls les plus attentifs perçoivent. Dans KODE 3, par exemple, après la salle principale dédiée à Munch, cherchez un petit recoin, une antichambre modeste. Là, si le soleil de l'après-midi pénètre par la fenêtre latérale, il illumine la poussière en suspension, créant une danse éphémère de lumière dorée. Ce n'est pas une œuvre d'art en soi, mais un moment de grâce, un tableau vivant et fugace qui donne une profondeur inattendue aux œuvres les plus simples accrochées à proximité, comme si le bâtiment lui-même murmurait une histoire oubliée. Ensuite, laissez-vous surprendre par la collection d'argenterie de KODE 4, où chaque pièce reflète la lumière avec une précision artisanale, racontant des siècles de savoir-faire norvégien. Le cliquetis feutré des pas sur les parquets anciens accompagne cette immersion dans l'histoire, un son réconfortant qui ponctue la quiétude des salles. C'est une expérience qui éveille tous les sens, une invitation à ralentir et à vraiment voir.

Alors, la prochaine fois à Bergen, n'oubliez pas de chercher ces instants magiques ! À très vite pour de nouvelles découvertes !

Attention aux pickpockets, surtout dans les salles bondées ; gardez vos objets de valeur en sécurité. Ne touchez jamais les œuvres, cela les endommage et peut entraîner un rappel à l'ordre. Les sols peuvent être glissants par temps humide, marchez prudemment pour éviter les chutes. Pour une meilleure expérience, planifiez votre parcours et repérez les collections majeures à l'avance.

KODE est avant tout un musée d'art, non un site d'observation ornithologique. Aucune espèce spécifique ni appel d'oiseau ne sont associés à l'intérieur de ses galeries. Les meilleurs "spots calmes" seraient pour l'appréciation artistique, pas pour l'ornithologie. Par conséquent, il n'y a pas de moment privilégié pour l'observation d'oiseaux dans ce contexte.