Les allées principales, larges et pavées de dalles lisses, montent en pente douce vers le sanctuaire. Leur tracé sinueux épouse le relief, offrant des vues panoramiques sur la baie de Jounieh. Des sections plus raides ponctuent le parcours principal, menant directement à la statue de la Vierge. Des sentiers secondaires, plus étroits et parfois en terre, desservent des chapelles discrètes.

L'aube printanière ou le crépuscule automnal offrent l'expérience la plus sereine. L'air marin, pur et doux, y transporte alors un silence profond, parfois brisé par le murmure des prières. Les foules sont clairsemées, composées de fidèles recueillis, loin de l'agitation diurne des pèlerins. Une quiétude palpable enveloppe le site, invitant à la contemplation face à la baie.

Salut les amis explorateurs !

Perchée majestueusement sur les hauteurs de Harissa, Notre-Dame du Liban n'est pas qu'un simple lieu de culte ; c'est un phare, une sentinelle veillant sur la baie de Jounieh. L'ascension vers le sanctuaire est déjà une expérience en soi. La route serpente à travers des pins odorants, dévoilant par intermittence des aperçus scintillants de la Méditerranée. Arrivé au sommet, le regard est immédiatement captivé par l'immense statue immaculée de la Vierge, bras ouverts, comme pour embrasser le pays entier. Sous son regard bienveillant, l'air vibre d'une quiétude rare, mêlant le souffle marin et le murmure des prières lointaines émanant de la basilique moderne adjacente.

De là-haut, le panorama est à couper le souffle : la ville de Jounieh s'étire à perte de vue, les lumières de Beyrouth scintillent au loin, et l'azur infini de la mer se fond dans l'horizon. C'est un point d'observation où le temps semble suspendu, invitant à la contemplation. Ce n'est pas seulement sa grandeur architecturale ou sa vue imprenable qui marque, mais l'atmosphère palpable d'unité et d'espoir qu'elle dégage. J'ai vu des familles entières, chrétiens et musulmans confondus, monter ensemble les marches non pas par seule dévotion religieuse, mais par un profond attachement à ce symbole national de paix et de résilience. Une fois, j'ai même discuté avec un vieil homme musulman qui venait régulièrement "pour la vue et la paix de l'esprit", soulignant que pour lui, c'était avant tout un lieu de sérénité partagée, au-delà des dogmes.

À très vite pour de nouvelles aventures !

Les visiteurs s'arrêtent naturellement sur la plateforme principale, cadrant la statue de la Vierge avec l'immense baie de Jounieh en toile de fond. Pour une lumière douce et dorée, privilégiez la matinée, lorsque le soleil levant illumine la statue et la mer. Alternativement, positionnez-vous au pied de la statue pour une contre-plongée spectaculaire sur le ciel. Le coucher du soleil offre une silhouette dramatique de la Vierge sur un horizon embrasé.

La vue panoramique sur Jounieh et la Méditerranée depuis le sanctuaire est absolument saisissante. L'affluence constante et l'environnement très commercial autour du site peuvent nuire à la sérénité. La statue elle-même est plus petite et moins imposante que ce que l'on imagine souvent.

À Beyrouth, les pharmacies et magasins de matériel médical spécialisés louent des fauteuils roulants. Cherchez des enseignes comme "Pharmacie du Levant" ou "Abed" qui peuvent proposer ce service. Les tarifs journaliers varient, souvent autour de 15-25 USD ; demandez un "fauteuil roulant" ou un "scooter de mobilité". Notre Dame du Liban étant à Harissa, la récupération se fera probablement à Beyrouth, nécessitant un transport adapté.

En arrivant par le téléphérique, on est saisi par l'immensité du panorama. On gravit les marches pour se tenir au pied de la Vierge, dominant la baie de Jounieh. Beaucoup allument une bougie, contribuant au scintillement des centaines de flammes. Le silence invite à une pause contemplative, le regard perdu sur l'horizon méditerranéen.

Salut les amis voyageurs, prêts pour une escapade spirituelle et visuelle au cœur du Liban ?

Perchée majestueusement sur les hauteurs de Harissa, Notre-Dame du Liban n'est pas qu'un simple sanctuaire ; c'est une invitation à la contemplation. Le regard est d'abord captivé par la statue immaculée, bras ouverts, dominant la baie de Jounieh. L'air, ici, est un mélange saisissant de brise marine salée et d'un calme presque palpable, ponctué parfois par le léger tintement des médailles des pèlerins. Les terrasses offrent une perspective vertigineuse sur les toits rouges des maisons qui dévalent la montagne jusqu'à la mer d'un bleu profond. Mais au-delà de cette grandeur, peu s'attardent sur un détail souvent ignoré : la petite chapelle originelle, nichée discrètement sous l'imposante basilique. C'est là, dans ce recoin humble et voûté, que l'on perçoit une odeur unique, celle de siècles d'encens et de prières silencieuses, imprégnée dans les pierres froides. Un parfum distinct, moins puissant que l'encens frais des services, mais plus profond, presque boisé, témoignant d'une foi ininterrompue. Dans le silence de ce lieu intime, on entend parfois le frottement discret des chapelets, un son à peine audible qui ancre l'expérience dans une spiritualité tangible, loin de l'agitation des foules. C'est un murmure d'histoire et de dévotion qui échappe à la plupart des visiteurs pressés.

Alors, la prochaine fois, prenez le temps d'explorer chaque recoin. À très vite pour d'autres découvertes !

Les foules peuvent être denses, surtout le week-end, rendant la surveillance des effets personnels essentielle. Le soleil intense nécessite chapeau et hydratation pour éviter tout coup de chaleur. L'accès à la statue implique une montée raide, potentiellement difficile pour les mobilités réduites. Le téléférique présente souvent de longues files d'attente ; arrivez tôt pour réduire l'attente.

Pour les ornithologues, Notre Dame du Liban offre un intérêt certain grâce à son emplacement élevé et sa végétation méditerranéenne. On peut y observer des rapaces de passage, comme des faucons crécerelles, et entendre des chants de merles noirs ou de rossignols dans les bosquets. Les sentiers moins fréquentés derrière le sanctuaire ou les abords de la forêt de pins offrent des points d'observation paisibles. Le printemps et l'automne, pendant les migrations, ou tôt le matin, maximisent les chances d'apercevoir une faune aviaire diverse.