Le réseau d'allées, principalement en asphalte lisse, offre une largeur généreuse propice à la circulation. Les pentes sont minimales, assurant une accessibilité aisée pour poussettes et fauteuils roulants. Leur tracé sinueux est clairement balisé, guidant les visiteurs sans détours inutiles. Chaque chemin mène directement aux enclos thématiques et aux aires d'observation privilégiées.

La période idéale s'étend de novembre à février. L'air, frais et sec, particulièrement en matinée ou fin d'après-midi, rend l'exploration confortable. Les sons des animaux prédominent alors que la foule, plus clairsemée, observe avec calme. Cette quiétude favorise une immersion authentique dans l'habitat sauvage.

Salut les amis voyageurs !

Loin de l'effervescence urbaine de Manama, le parc animalier et réserve d'Al Areen offre une immersion saisissante dans le patrimoine naturel du Bahreïn. Dès l'entrée, l'air s'emplit d'une quiétude rare, parsemée des cris lointains d'oiseaux exotiques et du frôlement des gazelles dans les enclos vastes. Ce n'est pas un simple zoo, mais un sanctuaire dédié à la conservation, où le sable ocre rencontre des oasis verdoyantes, créant un tableau vivant pour des espèces menacées.

On y observe l'élégance altière de l'oryx d'Arabie, dont le pelage immaculé contraste superbement avec le désert, ou la démarche furtive des hyènes rayées. Chaque recoin révèle un engagement profond. Je me souviens d'une rencontre marquante avec un gardien, les yeux pétillants de fierté, nous expliquant comment Al Areen a joué un rôle pivot dans la réintroduction de l'oryx arabe, une espèce autrefois au bord de l'extinction. Voir ces animaux majestueux, qui ont failli disparaître, s'épanouir dans leur environnement quasi naturel ici, est une expérience profondément émouvante. C'est la preuve vivante que la passion et la science peuvent inverser le cours du destin pour la faune, transformant ce parc en un véritable symbole d'espoir pour la biodiversité régionale.

Alors, prêts à explorer cette facette inattendue du Bahreïn ? À très vite pour de nouvelles aventures !

Le point d'observation dominant l'enclos de la savane africaine attire naturellement les photographes. Cadrez les girafes et zèbres avec les acacias et le relief doux en arrière-plan. La lumière est optimale en fin d'après-midi, juste avant le coucher du soleil. Ceci minimise les ombres dures et accentue les couleurs chaudes du paysage.

La diversité des espèces d'oiseaux et d'antilopes captive. En revanche, de nombreux enclos paraissaient exigus et peu entretenus. La surprise fut l'absence quasi totale de visiteurs, même un week-end. Son orientation plus zoo de reproduction qu'espace d'immersion est manifeste.

La location de fauteuils roulants ou scooters motorisés près d'Al Areen s'effectue principalement à Manama. Contactez les grandes pharmacies comme Al Jazira Pharmacy ou les fournisseurs de matériel médical. Les tarifs journaliers varient, mais comptez environ 5-15 BHD pour un fauteuil manuel. Il est recommandé d'appeler à l'avance pour vérifier la disponibilité et les conditions de location.

Observez les oryx d'Arabie évoluer dans leurs vastes enclos naturels. Repérez des gazelles bondir et des autruches paître dans les zones désertiques. Flânez à travers le jardin botanique, identifiant palmiers et cactées endémiques. Dans les volières, des espèces d'oiseaux rares virevoltent, certaines perchées à portée de vue.

Salut les amis voyageurs !

Loin de l'agitation urbaine de Manama, le Parc et Réserve faunique d'Al Areen offre une immersion saisissante dans l'âme du désert. Dès l'entrée, la terre ocre et le ciel cobalt vous enveloppent, tandis que les silhouettes nobles de l'oryx d'Arabie se détachent avec une élégance intemporelle contre l'horizon. On y croise aussi des gazelles agiles, leurs mouvements fluides comme des vagues sur les dunes, et des autruches aux pas cadencés. Ce n'est pas seulement un zoo, mais un sanctuaire où la vie sauvage du Golfe est célébrée. Prenez le temps de vous écarter des allées principales, vers les enclos plus reculés des oiseaux désertiques. Là, dans le silence relatif, vous percevrez un détail souvent ignoré : le chant ténu mais persistant du courvite isabelle. C'est une mélodie à peine audible, une sorte de sifflement mélancolique qui se fond dans la brise chaude, révélant la discrétion de cette créature et la subtilité de la vie qui bourdonne sous le soleil ardent. Le parc est une symphonie de teintes terreuses, où chaque plante épineuse et chaque rocher raconte une histoire de résilience.

À bientôt pour de nouvelles aventures !

La chaleur bahreïnie intense exige une hydratation constante ; prévoyez de l'eau et cherchez l'ombre. Respectez scrupuleusement les barrières et n'interagissez jamais avec les animaux pour éviter tout incident. Des chaussures de marche confortables sont conseillées pour les sentiers parfois inégaux. Gardez toujours les jeunes enfants à portée de main dans les zones ouvertes.

Les passionnés d'ornithologie trouveront leur compte à Al Areen, notamment avec des espèces désertiques et des oiseaux aquatiques comme les flamants. Les abords des étangs et les sentiers périphériques offrent des points d'observation calmes, loin des foules. Privilégiez l'aube ou le crépuscule pour l'activité maximale et des chants variés. Écoutez attentivement les cris des rapaces locaux.