Lupanar (Brothel of Pompeii) Tours and Tickets

Les couloirs du Lupanar sont pavés de dalles volcaniques inégales, polies par des siècles de passages. D'une largeur minimale, ces passages forcent une progression individuelle, limitant toute confluence. De légers dénivelés et des seuils surélevés rythment le parcours entre les petites chambres. Cette architecture contrainte guide le flux des visiteurs à travers les espaces, évitant les arrêts prolongés.

En plein été, l'air y est lourd et étouffant, saturé par le brouhaha incessant des visiteurs. La foule, dense et impatiente, se presse dans les couloirs exigus, diluant toute introspection. Préférez un matin d'hiver; l'atmosphère y est fraîche et le silence permet aux échos de résonner. Les rares visiteurs s'y montrent alors plus contemplatifs, saisissant mieux l'intimité du site.

Salut les amis voyageurs !

En vous aventurant dans les rues pavées de Pompéi, l'un des lieux les plus singuliers est sans doute le Lupanar, une plongée directe dans une facette inattendue de la vie romaine, loin des temples et des villas grandioses.

Ses étroites cellules, à peine éclairées par une petite ouverture en hauteur, révèlent une simplicité fonctionnelle saisissante. Chaque pièce abrite un modeste lit de pierre, recouvert à l'époque d'un matelas et de coussins, témoignant de l'intimité spartiate et de la vie quotidienne de ceux qui y travaillaient et de leurs clients.

Sur les murs, des fresques explicites, étonnamment bien conservées, illustrent des scènes érotiques variées. Ces images vives, souvent considérées comme un "menu" visuel pour les clients, offrent un aperçu sans fard et direct des mœurs et de la sexualité libre de l'époque, dénué de tout jugement moral contemporain.

C'est ici, sur les murs recouverts d'enduit, que des centaines de graffitis nous parlent directement, comme des chuchotis à travers les siècles. On y lit des noms, des plaintes, des déclarations d'amour, des tarifs, ou même des commentaires salaces. Un graffiti particulier, "Hic ego puellas multas futui" ("Ici j'ai baisé beaucoup de filles"), suivi d'un autre, "Felix bene futuis" ("Felix, tu baises bien"), offre une fenêtre brute sur les vantardises et les conversations ordinaires qui se déroulaient dans ces pièces, humanisant ces murs antiques et nous rappelant que, malgré les millénaires, les pulsions et les interactions humaines n'ont pas tant changé.

Une visite qui ne laisse pas indifférent, croyez-moi !

Le phallus sculpté au-dessus de l'entrée est un incontournable, souvent cadré de face. La lumière douce du matin ou de fin d'après-midi évite les ombres dures sur la façade. À l'intérieur, les fresques érotiques au-dessus des portes des cellules sont photographiées en gros plan. Pour les fresques intérieures, la lumière naturelle en milieu de journée les révèle le mieux, malgré la pénombre.

Les fresques érotiques explicites sont étonnamment bien conservées, offrant un aperçu cru de la vie intime romaine. L'exiguïté des lieux et la foule constante rendent l'expérience oppressante, difficile d'absorber l'ambiance historique. La surprise réside dans l'absence frappante d'intimité des petites chambres, suggérant des transactions très publiques. Les graffitis anciens, souvent des noms ou des prix, ajoutent une dimension humaine inattendue à ce lieu de commerce sexuel.

Des fauteuils roulants sont disponibles gratuitement à l'entrée principale de Porta Marina. Demandez-les à l'Ufficio Informazioni, souvent contre une pièce d'identité comme caution. La location de scooters électriques n'est pas proposée directement sur le site archéologique. Pour un scooter, il faudrait une location externe, mais la circulation est difficile sur les pavés inégaux de Pompéi.

On déambule entre de petites chambres exiguës aux murs peints. Des fresques murales vivantes illustrent diverses positions érotiques. On y observe des lits de maçonnerie fixes et des graffitis anciens gravés dans la pierre. L'espace restreint et l'ambiance particulière évoquent le quotidien des lieux.

Salut les globe-trotters ! Aujourd'hui, on plonge dans les ruelles pavées de Pompéi pour une escale singulière.

Au cœur de la cité ensevelie, le Lupanar est une immersion saisissante dans une part intime de la vie romaine. Ses couloirs étroits et sombres, éclairés par la faible lumière filtrant des ouvertures supérieures, mènent à une série de petites cellules voûtées. Les fresques murales, étonnamment explicites et bien conservées, ne sont pas de simples décorations; elles servaient de "menu" visuel, témoignant de la franchise de l'époque. On y perçoit le silence épais des lieux, seulement rompu par le grincement des sandales sur les dalles inégales, et l'imagination peuple ces alcôves de chuchotements et de rires éteints. Les lits de pierre, incroyablement exigus, sont le rappel le plus poignant de la fonction de ces pièces. Mais peu prêtent attention à l'odeur persistante de la pierre humide et de la poussière volcanique qui, ici, semble encore porter l'écho des parfums lourds, de l'huile des lampes et d'une humanité passée. C'est un mélange subtil, presque imperceptible, qui ancre ce lieu dans une réalité sensorielle oubliée, loin des images d'Épinal.

Une expérience qui marque, et qui nous rappelle que l'histoire se vit aussi par les sens. À la prochaine, les aventuriers !

Le Lupanar est souvent bondé; l'espace exigu rend la circulation difficile. Visitez tôt le matin ou en basse saison pour une expérience plus sereine. Soyez vigilant face aux pickpockets dans cette zone très fréquentée et sombre. Gardez vos objets de valeur hors de vue et sécurisés.

Non, le Lupanar n'offre aucune opportunité d'observation ornithologique. C'est un bâtiment intérieur, souvent bondé, où l'on n'entend que les voix des visiteurs. Aucune espèce d'oiseau n'y niche ni ne s'y aventure, même aux heures calmes. Pour apercevoir moineaux ou merles, explorez plutôt les jardins et ruelles moins fréquentées de Pompéi, au lever du soleil.