Les allées principales du Parc Doña Casilda Iturrizar sont majoritairement pavées et suffisamment larges pour deux ou trois personnes de front. Leur tracé suit un relief légèrement vallonné, avec des déclivités douces qui facilitent la promenade. Ces chemins dessinent des boucles sinueuses, reliant les différentes zones thématiques comme la roseraie ou l'étang. Leur maillage dense connecte harmonieusement les points d'intérêt, guidant naturellement le visiteur à travers le parc.

Le parc Doña Casilda révèle sa pleine douceur au printemps, en fin d'après-midi. L'air y est alors tiède, imprégné des senteurs florales, caressé par une brise légère. Seuls les rires lointains des enfants et les cris distinctifs des paons rompent le calme ambiant. L'atmosphère est détendue, les promeneurs et familles profitent de l'instant en toute quiétude.

Alors, prêts pour une bouffée d'air frais au cœur de Bilbao ?

Dès que l'on franchit le seuil du Parque Doña Casilda Iturrizar, la rumeur urbaine s'estompe, remplacée par un doux murmure de feuilles et le clapotis lointain de l'eau. C'est un écrin de verdure victorien, où les allées sinueuses révèlent des perspectives changeantes. Le grand étang central, miroir des cieux et des arbres centenaires, est animé par un ballet incessant de canards, de cygnes majestueux et de paons nonchalants. L'air y est plus frais, imprégné des senteurs de terre humide et de fleurs discrètes. On se perd volontiers sous les pergolas ombragées, admirant les sculptures en bronze et l'élégance des parterres. Chaque pas est une invitation à la détente, une parenthèse enchantée loin de l'effervescence citadine.

Ce parc n'est pas qu'un simple espace vert ; il est l'âme généreuse de Bilbao. J'ai été particulièrement touché en entendant une anecdote locale : pendant les années difficiles de l'industrialisation massive de la ville, alors que les usines crachaient leurs fumées et que le béton gagnait du terrain, ce parc, fruit de la vision de Doña Casilda, est devenu le refuge absolu pour les familles ouvrières. Imaginez, des générations entières n'avaient que cet endroit pour échapper à la grisaille, pour voir leurs enfants jouer sous de vrais arbres, loin du bruit assourdissant des quais. C'était leur "bouffée d'oxygène", un lieu de dignité et de répit vital qui a forgé le lien indéfectible des Bilbaínos avec leur "pulmón verde".

Un véritable havre de paix à ne pas manquer lors de votre visite. À très vite pour de nouvelles découvertes !

Les gens s'arrêtent naturellement devant l'étang des cygnes pour ses reflets. Cadrez au ras de l'eau pour inclure la fontaine et la verdure environnante. Le Paseo de los Leones, avec ses statues, offre une composition linéaire vers le musée Guggenheim. La lumière rasante du matin ou du soir révèle textures et profondeurs.

Ce parc à l'allure classique offre une bulle de verdure apaisante en plein centre. Cependant, l'aire de jeux est vieillissante et l'étang central manque d'envergure. La diversité surprenante d'oiseaux aquatiques surprend agréablement. Un espace agréable mais sans véritable innovation, un peu figé dans le temps.

Pour louer un fauteuil roulant ou un scooter de mobilité, l'établissement Ortopedia 2000, situé Alameda de Recalde 36, est une option fiable à Bilbao. Il est préférable de réserver à l'avance par téléphone ou via leur site web, surtout pour un scooter. Les tarifs journaliers varient, comptez environ 10-15€ pour un fauteuil; demandez un devis précis directement.

Flânez le long des allées ombragées, respirant la quiétude du lieu. Observez les canards et cygnes glisser sur l'étang, un spectacle apaisant. Faites une pause sur un banc, appréciant les sculptures discrètes et l'architecture des pergolas. Laissez les enfants s'amuser dans les aires de jeu ou simplement imprégnez-vous de verdure au cœur de la ville.

Salut les amis voyageurs ! Prêts pour une pause verdoyante au cœur de Bilbao ?

Le Parc Doña Casilda Iturrizar, c'est bien plus qu'un simple espace vert ; c'est une bulle d'air où le temps semble ralentir. Dès que l'on franchit ses grilles ouvragées, l'agitation urbaine s'estompe, remplacée par le bruissement des feuilles et le joyeux jacassement des oiseaux. Les allées sinueuses invitent à la flânerie, guidant le regard vers des sculptures discrètes nichées sous l'ombre généreuse de platanes centenaires. Le grand étang central, miroir des nuages, est un ballet aquatique permanent où cygnes majestueux et canards espiègles glissent avec une grâce déconcertante. Plus loin, le carrousel ancien, avec ses chevaux de bois patinés, évoque une douce nostalgie, tandis que le parfum enivrant des roses du jardin classique emplit l'air d'une délicate douceur. C'est un lieu où chaque banc invite à la contemplation, où l'on observe la lumière filtrer à travers le feuillage dense, dessinant des motifs éphémères sur le sol. Et si vous tendez l'oreille dans les recoins moins fréquentés, près de la petite grotte cachée derrière les bambous, vous pourriez percevoir le murmure presque secret de l'eau, non pas de la fontaine musicale, mais d'une petite source souterraine, un son qui a bercé le parc pendant des décennies, souvent inaudible au milieu des rires d'enfants.

Alors, la prochaine fois que vous êtes à Bilbao, laissez-vous porter par la sérénité de ce petit paradis. À très vite pour de nouvelles découvertes !

La prudence s'impose face aux pickpockets, particulièrement près des attractions animées. Près de l'étang et des fontaines, surveillez étroitement les jeunes enfants pour prévenir les chutes. Gardez vos objets de valeur hors de vue et évitez de les laisser sans surveillance sur les bancs. Après le crépuscule, la fréquentation diminue et l'éclairage est faible, rendant la promenade solitaire moins sûre.

Le Parc Doña Casilda ravit les ornithologues, avec ses cygnes, paons et colverts. Écoutez les chants de merles, mésanges charbonnières et pinsons des arbres près du bassin des cygnes. Le jardin romantique à l'ouest est un havre de paix pour l'observation des passereaux. Les premières heures du matin ou le crépuscule offrent la meilleure activité aviaire et tranquillité.