The Gulag (/ˈɡuːlɑːɡ/, UK also /-læɡ/; Russian: ГУЛаг, romanized: GULag, [ɡʊˈlak] (About this soundlisten), acronym of Main Administration of Camps, Russian: Главное управление лагерей)[a] was the government agency in charge of the Soviet forced-labour camp set up under Vladimir Lenin[11] and reached its peak during Joseph Stalin's rule from the 1930s to the early 1950s. English-language speakers also use the word gulag to refer to any forced-labour camp in the Soviet Union, including camps which existed in post-Stalin times. The camps housed a wide range of convicts, from petty criminals to political prisoners. Large numbers were convicted by simplified procedures, such as by NKVD troikas or by other instruments of extrajudicial punishment. The Gulag is recognised as a major instrument of political repression in the Soviet Union. The agency was first administered by the GPU, later by the NKVD and in the final years by the Ministry of Internal Affairs (MVD). The Solovki prison camp, the first corrective labor camp constructed after the revolution, was established in 1918 and legalised by a decree "On the creation of the forced-labour camps" on April 15, 1919. The internment system grew rapidly, reaching a population of 100,000 in the 1920s. According to Nicolas Werth, author of The Black Book of Communism, the yearly mortality rate in the Soviet concentration camps strongly varied, reaching 5% (1933) and 20% (1942–1943) while dropping considerably in the post-war years (about 1 to 3% per year at the beginning of the 1950s). The emergent consensus among scholars who utilize official archival data is that of the 18 million who were sent to the Gulag from 1930 to 1953, roughly 1.5 to 1.7 million perished there or as a result of their detention. However, some historians question the reliability of such data and instead rely heavily on literary sources that come to higher estimations. Archival researchers have found "no plan of destruction" of the gulag population and no statement of official intent to kill them, and prisoner releases vastly exceeded the number of deaths in the Gulag.

Gulag History Museum Tours and Tickets
🎧 Available audio guides (15)
The Gulag (/ˈɡuːlɑːɡ/, UK also /-læɡ/; Russian: ГУЛаг, romanized: GULag, [ɡʊˈlak] (About this soundlisten), acronym of Main Administration of Camps, Russian: Главное управление лагерей)[a] was the government agency in charge of the Soviet forced-labour camp set up under Vladimir Lenin[11] and reached its peak during Joseph Stalin's rule from the 1930s to the early 1950s. English-language speakers also use the word gulag to refer to any forced-labour camp in the Soviet Union, including camps which existed in post-Stalin times. The camps housed a wide range of convicts, from petty criminals to political prisoners. Large numbers were convicted by simplified procedures, such as by NKVD troikas or by other instruments of extrajudicial punishment. The Gulag is recognised as a major instrument of political repression in the Soviet Union. The agency was first administered by the GPU, later by the NKVD and in the final years by the Ministry of Internal Affairs (MVD). The Solovki prison camp, the first corrective labor camp constructed after the revolution, was established in 1918 and legalised by a decree "On the creation of the forced-labour camps" on April 15, 1919. The internment system grew rapidly, reaching a population of 100,000 in the 1920s. According to Nicolas Werth, author of The Black Book of Communism, the yearly mortality rate in the Soviet concentration camps strongly varied, reaching 5% (1933) and 20% (1942–1943) while dropping considerably in the post-war years (about 1 to 3% per year at the beginning of the 1950s). The emergent consensus among scholars who utilize official archival data is that of the 18 million who were sent to the Gulag from 1930 to 1953, roughly 1.5 to 1.7 million perished there or as a result of their detention. However, some historians question the reliability of such data and instead rely heavily on literary sources that come to higher estimations. Archival researchers have found "no plan of destruction" of the gulag population and no statement of official intent to kill them, and prisoner releases vastly exceeded the number of deaths in the Gulag.
Overview
More Info
- The Gulag History Museum is a must for those interested in Soviet history, but the exhibitions can be disturbing and may not be suitable for younger children.
- All information in the museum is in English and Russian, while audio guides are offered in multiple languages, including English.
- The museum is accessible for wheelchairs and strollers.
More Adventures for You
0$
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3000$
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For Individuals with Hearing Loss
- Video Guide
- Hearing kits
- Speech To Text
Accessibility for wheels
- Access with Portable Ramp
- Special Parking
- Accessible elevator
- Easy without assistance
- Wide doors >= 75 cm and < 90 cm
- Exhibit height - 5
- Accessible Toilet
Access for Seniors
- Distance from drop-off location to entrance: Less than 20 m
- Physical difficulty level - 4
Access for Visually Impaired
- Audio Guide
- Place has Special Guide Service
- Service animals permitted
- Touch Gallery
Imaginez que vous entrez. Le son de la ville, le bourdonnement lointain de Moscou, s'estompe derrière vous. L'air change, il se fait plus lourd, plus froid, comme si chaque histoire, chaque souffle coupé, était resté suspendu ici. Vous marchez, et vos pas résonnent sur le sol, un écho solitaire qui amplifie le silence pesant. Vous sentez cette fraîcheur métallique qui semble s'infiltrer dans vos vêtements, une sorte de souvenir glacial des barbelés et des cachots. Écoutez. Il n'y a presque rien, juste le murmure lointain d'une voix enregistrée, un témoignage brisé qui flotte dans l'espace. Vous pourriez presque sentir la poussière d'un passé lointain sur votre langue, une amertume qui n'est pas physique mais qui vous étreint la gorge. Chaque vitrine, chaque objet, n'est pas seulement un vestige, c'est une présence. C'est comme si les murs eux-mêmes transpiraient les larmes non versées, la peur silencieuse. Vos mains peuvent presque sentir la texture rugueuse des uniformes, le poids insoutenable des outils de fortune. Il y a une pulsation lente, un rythme cardiaque ralenti, le vôtre, qui bat au diapason de l'histoire qui vous entoure. C'est une immersion totale, une étreinte qui vous saisit et ne vous lâche plus, bien après que vous ayez franchi la porte de sortie.
Pour la visite, sache que le Musée d'Histoire du Goulag se trouve à Moscou, pas loin de la station de métro Dostoïevskaïa sur la ligne 10. C'est super facile d'y aller. Pour les billets, achète-les en ligne si tu peux, ça t'évite la file et ça te garantit l'entrée, surtout les week-ends. Compte environ 500 roubles pour l'entrée standard. Prévois au moins deux bonnes heures, voire trois, pour tout parcourir sans te presser. L'audioguide est vraiment un plus, il est bien fait et essentiel pour comprendre le contexte si tu ne lis pas le russe parfaitement. Il y a des explications en anglais sur les panneaux, mais l'audioguide va plus loin. Le musée est assez compact, mais chaque pièce est dense. Essaie d'y aller en semaine, tôt le matin, c'est plus calme et tu pourras vraiment t'immerger. C'est pas un endroit pour courir. Il y a aussi une petite librairie à la fin si tu veux approfondir.
Olya from the backstreets
Le Musée de l'Histoire du Goulag à Moscou, ce n'est pas une simple visite, c'est une immersion totale. Imaginez le silence, un silence qui pèse lourd, chargé de tant d'histoires non dites. Vous sentez presque le froid s'insinuer dans vos os, pas le froid de l'air, mais celui de l'histoire elle-même. Chaque pas sur le parquet résonne, un écho lointain des pas de ceux qui ont traversé ces épreuves. Les murs chuchotent des récits de résilience et de souffrance. En vous penchant pour lire une lettre, vous entendez presque le froissement du papier ancien, le souffle d'une vie figée dans le temps.
Alors, une fois l'émotion passée, la question pratique se pose : comment ce lieu s'adapte-t-il pour accueillir tout le monde, surtout si se déplacer est un défi ?
La bonne nouvelle, c'est que oui, le Musée du Goulag est plutôt bien pensé pour l'accessibilité. À l'intérieur, les sols sont majoritairement plats et lisses, souvent du parquet ou du carrelage bien posé, donc pas de pavés traîtres. Il y a des ascenseurs pour passer d'un étage à l'autre, et les quelques légères pentes sont gérables. Les couloirs sont suffisamment larges pour un fauteuil roulant, et les portes aussi. Côté foule, ça peut varier, mais même aux heures de pointe, on ne se sent pas écrasé. Les visiteurs sont souvent respectueux, et le personnel est habitué à aider, ils sont vraiment là pour ça. Pas de regards insistants, juste de l'aide si tu en as besoin. C'est un lieu qui encourage la contemplation, donc les gens ont tendance à être calmes et attentifs à leur environnement.
Max en vadrouille
Imagine-toi à Moscou, mais pas celle des dômes dorés ou des boulevards animés. Non, là, je te parle d'un lieu où le temps se fige, où chaque pas résonne d'une histoire poignante : le Musée de l'Histoire du Goulag. Dès les premières lueurs du matin, avant même que les portes ne s'ouvrent, si tu te tiens là, immobile, tu perçois quelque chose de particulier. Ce n'est pas un bruit fort, plutôt un souffle, une vibration presque imperceptible qui vient du sol. Un léger frémissement, comme si le bâtiment lui-même respirait un soupir ancien, un murmure métallique et froid qui traverse les vieilles pierres, accentué par le silence glacial de l'aube moscovite. C'est le son du passé qui se réveille doucement, avant l'arrivée du monde extérieur, un secret que seuls les habitués ou ceux qui s'y attardent vraiment peuvent capter.
Une fois à l'intérieur, l'air n'est pas le même. Il est plus lourd, plus dense, comme chargé d'une mémoire collective. Tu marches sur ces planchers qui craquent à peine, et chaque pas semble t'enfoncer un peu plus dans le passé. Tu entends le silence, un silence particulier, pas celui de l'absence de bruit, mais celui de l'écoute profonde, où chaque respiration des visiteurs autour de toi semble amplifiée. Ferme les yeux un instant et sens la fraîcheur des murs en béton sous tes doigts, imagine le froid qui devait mordre ces corps, l'humidité qui s'infiltrait partout. Tu peux presque sentir l'odeur du papier jauni des archives, mélangée à celle, plus âpre, du métal rouillé des objets exposés. Ce n'est pas une visite, c'est une immersion, une sensation qui te prend aux tripes et te rappelle la fragilité de la liberté.
Pour t'y rendre, c'est simple : le musée est à Petrova Street, pas loin de la station de métro Dostoyevskaya ou Tsvetnoy Bulvar. Le plus pratique, c'est le métro, évidemment, comme toujours à Moscou. Pour les billets, achète-les en ligne si tu peux, ça t'évitera la queue, surtout si tu y vas en milieu de journée. L'idéal, c'est d'y être dès l'ouverture, non seulement pour le calme mais aussi pour prendre le temps. C'est un lieu qui demande de l'espace, de la réflexion. Prévois au moins deux bonnes heures, et honnêtement, vas-y l'esprit ouvert et le cœur prêt. Ce n'est pas une attraction, c'est un témoignage.
Max en mouvement
Imagine franchir un seuil, et sentir l'air changer. Au Musée de l'Histoire du Goulag à Moscou, ce n'est pas juste une porte, c'est un voile qui se lève sur une autre époque. Dès les premiers pas, tu sens le silence s'épaissir autour de toi, un silence lourd, presque palpable, comme si les murs eux-mêmes retenaient leur souffle. L'atmosphère n'est pas oppressante au sens physique, mais elle est empreinte d'une gravité qui s'infiltre. Tu pourrais presque sentir une fraîcheur dans l'air, une absence de la chaleur habituelle du monde extérieur, te préparant à ce que tu vas découvrir.
En avançant, tu ne vois peut-être pas les photos jaunies ou les documents officiels, mais tu peux sentir la texture rugueuse d'un vieux vêtement de prisonnier derrière une vitre, imaginer le froid du métal d'une serrure de cellule. Écoute bien : parfois, ce n'est pas un son, mais l'absence de son qui résonne le plus fort. Parfois, c'est le murmure à peine audible d'une voix enregistrée, un témoignage du passé, qui te donne l'impression que la personne est juste à côté de toi, te racontant son histoire. Tu sens la petitesse des espaces recréés, la contrainte, l'étouffement, comme si les murs se rapprochaient, t'invitant à comprendre la vie dans des conditions inimaginables, non pas par la vue, mais par le simple fait d'être là, dans cet espace.
Pour t'y guider, voici une approche simple. Commence par le rez-de-chaussée. C'est là que tu auras une introduction essentielle au système du Goulag, à son échelle, à la chronologie. Ne t'attarde pas trop sur chaque panneau si tu sens que l'information est trop dense d'un coup ; l'idée est d'abord de capter l'ampleur du phénomène. Ensuite, monte à l'étage pour explorer les salles dédiées à la vie quotidienne dans les camps, aux témoignages des prisonniers, à la résistance. C'est là que l'émotion prend le dessus. Si tu te sens submergé par la quantité d'informations ou par l'intensité des récits, n'hésite pas à passer plus rapidement sur certains panneaux très textuels. Il n'y a pas de honte à prendre une pause mentale. Ce que je te conseille de *ne pas manquer*, ce sont les témoignages personnels et les objets des détenus : une simple cuillère, une paire de bottes, un dessin. Ce sont ces détails qui ramènent l'histoire à l'humain, qui te permettent de toucher du doigt la réalité de ces vies. Garde les salles dédiées à la mémoire et à la postérité pour la fin. C'est le moment de laisser l'émotion s'installer, de réfléchir à la signification de tout ce que tu as appris. C'est un cheminement, pas une course.
Léa en chemin
Certains lieux vous marquent, vous habitent longtemps après les avoir quittés. Le Musée de l'Histoire du Goulag à Moscou est de ceux-là. Imaginez-vous franchir le seuil, et sentir l'air changer, devenir plus lourd, chargé d'histoires murmurées. Vous n'entendez pas de foule joyeuse ici, mais plutôt un silence respectueux, parfois brisé par le frottement d'une semelle ou un soupir contenu. Votre main effleure une paroi, vous sentez la froideur du béton, comme un écho des murs qui ont enfermé tant de vies. C'est un lieu où l'on ne regarde pas seulement, on ressent.
Vous marchez lentement, chaque pas résonnant dans les salles, et le poids de l'histoire se dépose sur vos épaules. Les objets exposés – simples outils, lettres jaunies, dessins d'enfants – ne sont pas de simples reliques ; ils sont des cris silencieux. Vous pouvez presque sentir l'odeur du papier vieilli, de l'encre séchée, témoins d'une vie volée. C'est pourquoi le moment de votre visite est crucial pour absorber pleinement cette intensité. Pour vraiment vous immerger et éviter que le poids des autres visiteurs ne dilue cette expérience intime, voici quelques conseils pratiques :
* Meilleur moment de la journée : Arrivez dès l'ouverture (généralement 11h). Les premières heures sont les plus calmes, vous permettant de vous recueillir sans être bousculé.
* Quand éviter la foule : Les week-ends et les après-midis en semaine sont souvent plus fréquentés. Évitez-les si possible. Les jours fériés russes sont également à proscrire.
Le parcours est conçu pour être immersif, mais il est aussi émotionnellement épuisant. Vous sentirez peut-être une oppression dans la poitrine, une fatigue qui n'est pas physique mais mentale, à force d'absorber tant de souffrance. Il est important de s'écouter. Pour ne pas vous submerger et garder la clarté d'esprit nécessaire à la compréhension :
* Durée de la visite : Prévoyez 2 à 3 heures pour une exploration approfondie et pour prendre le temps de lire les témoignages. Si votre temps est limité, 1h30 peut suffire pour un aperçu essentiel. Ne vous précipitez pas.
* Ce qu'il faut privilégier : Il n'y a pas vraiment de "zone à sauter" si vous voulez comprendre l'ensemble, car chaque section est imbriquée. Cependant, si le temps est compté, concentrez-vous sur les salles dédiées aux témoignages des survivants et aux objets personnels. Ce sont souvent les plus poignants et les plus "parlants". Les sections plus administratives ou contextuelles peuvent être parcourues plus rapidement si vous manquez de temps.
Après une telle visite, il est essentiel de se réancrer. C'est une expérience qui vous vide, mais elle est nécessaire. Quelques astuces pour rendre votre visite plus confortable et vous permettre de digérer l'expérience :
* Cafés aux alentours : Il n'y a pas de café *dans* le musée, mais plusieurs petites adresses sympas juste autour pour vous poser. Cherchez des "kafe" ou "pekarnya" (boulangerie) sur Malaya Karetny Per. ou Petrovka Ulitsa, souvent avec des pâtisseries réconfortantes et du thé chaud. C'est un bon endroit pour laisser l'esprit vagabonder et retrouver un peu de légèreté.
* Toilettes : Les toilettes du musée sont propres et bien indiquées, un soulagement bienvenu si vous avez besoin d'une pause.
* Conseil local utile : Prenez l'audioguide ! Il est souvent disponible en plusieurs langues (anglais inclus) et enrichit énormément l'expérience avec des récits personnels et des contextes qui ne sont pas toujours évidents sur les panneaux. La photographie est généralement autorisée sans flash, mais soyez respectueux de l'ambiance de recueillement.
Léa from the road