The Jewish Museum and Tolerance Center opened in Moscow in November 2012. Construction of the museum is estimated to have cost $50 million. Vladimir Putin personally donated one month of his salary towards the construction of the museum. According to a May 2014 article by Alexis Zimberg in the Calvert Journal, the new Jewish Museum occupies the restored Bakhmetevsky Bus Garage. The 8,500-square-metre space is a landmark of the avant-garde 1920s. Designed by architect Konstantin Melnikov and structural engineer Vladimir Shukhov in 1926, the angled parallelogram building went from blueprint to structure in just one year. Vaulted ceilings and clean architectural angles echo an early Soviet mantra: ever higher, comrades, toward the radiant future. Melnikov and Shukhov even designed the interior lighting to resemble slanted rays of sunshine. In the 1990s, a fire left the garage decrepit and dysfunctional. Following mass restoration efforts it re-opened in 2008, initially to house the Garage Centre for Contemporary Culture. And then in 2012, thanks to generous funding from oligarchs like Roman Abramovich and Viktor Vekselberg, from Jewish organisations like FEOR and Chabad Lubavitch—even with the support of President Vladimir Putin himself—a site that had once represented another aspect of Soviet state control became home to the world's largest Jewish museum. The board of trustees of the museum are Viktor Vekselberg, Gennady Timchenko, Len Blavatnik, Roman Abramovich, Vadim Moshkovich, Alex Lichtenfeld, Alexander Klyachin, Mikhail Gutseriev.

Jewish Museum and Tolerance Center Tours and Tickets
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The Jewish Museum and Tolerance Center opened in Moscow in November 2012. Construction of the museum is estimated to have cost $50 million. Vladimir Putin personally donated one month of his salary towards the construction of the museum. According to a May 2014 article by Alexis Zimberg in the Calvert Journal, the new Jewish Museum occupies the restored Bakhmetevsky Bus Garage. The 8,500-square-metre space is a landmark of the avant-garde 1920s. Designed by architect Konstantin Melnikov and structural engineer Vladimir Shukhov in 1926, the angled parallelogram building went from blueprint to structure in just one year. Vaulted ceilings and clean architectural angles echo an early Soviet mantra: ever higher, comrades, toward the radiant future. Melnikov and Shukhov even designed the interior lighting to resemble slanted rays of sunshine. In the 1990s, a fire left the garage decrepit and dysfunctional. Following mass restoration efforts it re-opened in 2008, initially to house the Garage Centre for Contemporary Culture. And then in 2012, thanks to generous funding from oligarchs like Roman Abramovich and Viktor Vekselberg, from Jewish organisations like FEOR and Chabad Lubavitch—even with the support of President Vladimir Putin himself—a site that had once represented another aspect of Soviet state control became home to the world's largest Jewish museum. The board of trustees of the museum are Viktor Vekselberg, Gennady Timchenko, Len Blavatnik, Roman Abramovich, Vadim Moshkovich, Alex Lichtenfeld, Alexander Klyachin, Mikhail Gutseriev.
Overview
More Info
- Moscow’s iconic, brick-and-glass Bakhmetevsky Bus Garage was designed by avant-garde Russian architects Konstantin Melnikov and Vladimir Shukhov in 1926. By the dawn of the 21st century it was in disrepair but was restored by Roman Abramovich to house the Garage Museum of Contemporary Art. That then moved and the Jewish Museum and Tolerance Center subsequently opened at the Bus Garage in 2012. Now firmly on all the tours of Jewish heritage in Moscow, it is dedicated to the backstory of Russian Jews from medieval times to present day, with displays walking chronologically through spacious galleries making clever use of the very latest technology.Using personal narrative, film footage, holograms, multimedia touch screens and listening stations, this is a thoroughly modern museum with a surprisingly positive message. Yes, the subject matter deals thoughtfully with programs and the Holocaust but also dedicates space to the achievements of the Jews in Moscow and St Petersburg before World War I, when they successfully played a large part in civic and cultural life. There’s a small collection of Jewish ephemera and a permanent art exhibition as well as an animated 4D movie in the Beginnings Theater, which explains the beliefs fundamental to Judaism, but the heart of the museum lies with the panoramic film projected on to a massive, curved screen that combines wartime footage with testimonies from Holocaust survivors and deals with Jewish repression under Soviet rule.The Tolerance Center is a place in which to reflect and look forward; it houses a children’s center and the Schneerson Collection, a library of priceless Jewish books and manuscripts.Ulitsa Obraztsova 11, Building 1a, Moscow. Open Thur–Sun 12pm–10pm; Fri 10am–3pm. Closed Sat and Jewish holidays. Admission adults RUB 400; seniors, students & younger than 17 RUB 200. Take the metro to Novoslobodskaya and Tram No. 19 from there.
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Imaginez que vous franchissez le seuil du Musée Juif et Centre de la Tolérance à Moscou. L'air, d'abord neutre, se charge lentement d'une atmosphère particulière, un mélange de silence respectueux et d'un doux bourdonnement technologique. Vos pas résonnent légèrement sur les vastes sols polis, et cette résonance vous enveloppe, vous ancre dans l'espace. Vous entendez des murmures, des éclats de voix lointains, des mélodies discrètes qui s'entremêlent, non pas comme un bruit de foule, mais comme les échos d'histoires passées qui traversent le temps. Sentez cette immensité, cette impression d'être à la fois minuscule et pourtant connecté à quelque chose de monumental. C'est un lieu qui s'insinue en vous, pas à pas, respiration après respiration.
Vous marchez à travers des couloirs où les lumières, parfois tamisées, parfois éclatantes, guident votre regard et votre émotion. Sentez la texture de l'air changer, devenir plus dense, plus lourd à mesure que l'histoire se déroule. Des images géantes défilent sur des écrans courbes, et le son de voix d'archives, parfois des chants, parfois des témoignages bruts, vous transperce. C'est comme si chaque vibration sonore était un fil qui vous reliait directement aux vies vécues. À un moment, vous pourriez sentir une légère pression sur votre poitrine, non pas de l'angoisse, mais le poids palpable de la mémoire collective qui vous traverse. La sensation de l'espace, grand ouvert au début, devient parfois plus intime, plus confinée, vous invitant à une introspection profonde, à ressentir l'humanité dans toute sa complexité.
Pour t'y rendre, c'est super simple en métro. Descends à la station Marina Roscha (ligne verte), c'est à quelques minutes à pied seulement. Le musée est bien indiqué. Je te conseille vivement d'acheter tes billets en ligne à l'avance sur leur site officiel. Ça te fera gagner un temps fou à l'entrée et ça t'évitera les files d'attente, surtout si tu y vas le week-end. Prévois au moins 2-3 heures pour une visite complète, mais tu pourrais facilement y passer une demi-journée si tu prends le temps de tout lire et d'interagir avec les installations.
Après la visite principale, n'hésite pas à explorer les autres espaces. Il y a une super bibliothèque avec des ressources incroyables si tu veux approfondir certains sujets. C'est un endroit plus calme, parfait pour digérer tout ce que tu as vu et ressenti. Il y a aussi un café sur place, vraiment pratique pour faire une pause, te poser un peu et prendre un thé ou une collation. C'est un bon moyen de terminer ta visite sur une note plus légère, après l'intensité des expositions.
Olya des ruelles
Tu sais, il y a des lieux qui te prennent aux tripes, qui te parlent sans un mot. À Moscou, au cœur de cette ville immense, il y a un endroit comme ça : le Musée Juif et Centre de la Tolérance. Imagine que tu franchis des portes lourdes, et d'un coup, le brouhaha de la ville s'estompe. Tu entres dans un espace immense, presque sacré, où l'air semble vibrer d'histoires. Ce n'est pas un musée où tu regardes des objets derrière des vitrines, c'est une immersion. Tu sens la solennité, le poids de l'histoire qui t'enveloppe, une sorte de silence respectueux qui te pousse à ralentir, à écouter ce que les murs ont à te dire.
Tu avances et chaque pas te mène plus loin dans le temps. Tu entends des voix, des chants peut-être, des rires lointains qui se mêlent aux murmures des récits. C'est comme si tu pouvais toucher la texture du passé, sentir la chaleur des foyers d'autrefois, l'odeur du pain fraîchement cuit ou, plus tard, l'âpreté de la survie. Les écrans géants, les installations interactives ne sont pas là pour te distraire, mais pour te plonger. Tu sens la fraîcheur des surfaces tactiles, l'écho de tes propres pas sur les sols lisses, te rappelant que tu es bien là, vivant, témoin de ce qui fut. C'est une expérience qui ne se voit pas seulement, elle se ressent dans chaque fibre de ton être.
Maintenant, parlons du côté pratique, parce que vivre ces émotions doit être accessible à tous. Pour quelqu'un en fauteuil roulant ou avec des difficultés de mobilité, ce musée est étonnamment bien pensé. Dès l'extérieur, le chemin menant à l'entrée est en pavé lisse, très régulier, sans nids-de-poule ni bosses. Il n'y a pas de pentes abruptes, juste une très légère inclinaison imperceptible si tu marches, mais que tu pourrais sentir si tu pousses un fauteuil sur une longue distance, mais rien de rédhibitoire.
Une fois à l'intérieur, c'est un sans-faute. Les sols sont d'un marbre ou d'un carrelage poli, parfaitement plats et sans aucun obstacle. Les allées sont incroyablement larges, tu pourrais y faire passer deux fauteuils côte à côte sans problème, même dans les zones les plus fréquentées. Il y a des ascenseurs spacieux et bien indiqués pour accéder à tous les niveaux. Même s'il y a du monde, et le musée peut être très populaire, l'espace est si vaste que tu ne te sentiras jamais à l'étroit ou bousculé. Les gens sont généralement très respectueux et attentifs, ils cèdent le passage naturellement et le personnel est habitué à aider si besoin. Vraiment, c'est l'un des lieux les plus accessibles que j'ai pu visiter.
Olya from the backstreets
Tu sais, certains lieux te parlent avant même que tu n'aies passé la porte. Le Musée Juif et Centre de la Tolérance à Moscou, c'est ça. Imagine la scène, bien avant l'ouverture officielle. Le quartier est encore calme. Si tu arrives vraiment tôt, tu percevras quelque chose de très particulier, presque un secret. C'est le bourdonnement ténu, à peine audible, des immenses écrans interactifs qui s'éveillent, un son si doux qu'il se fond presque dans le silence du matin. Et puis, il y a cette odeur... pas celle de la foule ou des parfums, mais une senteur très propre, presque minérale, celle du sol poli du musée qui se mêle à une légère brise fraîche qui entre par les systèmes d'aération, avant que la chaleur humaine ne s'installe. C'est l'âme du lieu qui se prépare, dans un murmure.
Une fois à l'intérieur, le temps semble s'étirer, se plier. Tu marches, et soudain, tu te retrouves dans un wagon de train. Ferme les yeux un instant. Tu entends le grincement des roues, le sifflement lointain d'une locomotive, le balancement doux et incessant. Tu ressens cette légère vibration sous tes pieds, comme si le train était réellement en mouvement. L'air est lourd, chargé d'histoires, tu peux presque sentir l'odeur du charbon et de la sueur. C'est un choc physique, une immersion totale qui te prend aux tripes. Ce n'est pas juste une reconstitution, c'est une porte qui s'ouvre sur un passé que tu peux presque toucher.
Pour y aller, c'est super simple : la station de métro la plus proche, c'est Maryina Roshcha, ligne 10. Tu sors et c'est à deux pas. Pour les billets, achète-les en ligne à l'avance, ça t'évitera la file et tu auras toutes les infos sur les expos temporaires. Le meilleur moment pour y aller, si tu veux éviter la foule, c'est juste à l'ouverture ou en fin d'après-midi en semaine. Évite les week-ends et les jours fériés, ça peut être bondé.
Et ne te limite pas aux expos principales ! Le musée a une bibliothèque incroyable si tu veux approfondir certains sujets, et un centre pour enfants avec des activités super bien pensées, si tu voyages en famille. Prends le temps de faire une pause au café du musée. C'est un endroit calme, parfait pour digérer tout ce que tu as vu et ressenti. Juste un petit truc à savoir : certaines zones interactives sont très sollicitées, n'hésite pas à y retourner plus tard si c'est trop plein.
En ressortant, tu ne seras plus tout à fait la même personne. C'est un lieu qui te secoue, qui te fait réfléchir, mais qui te remplit aussi d'une étrange forme d'espoir. Tu sens le poids de l'histoire sur tes épaules, mais aussi la force de la résilience humaine, comme une chaleur réconfortante qui t'enveloppe. C'est une expérience qui reste gravée, longtemps après que le bourdonnement des écrans ne soit qu'un lointain souvenir.
Olya from the backstreets
Si tu m'avais demandé où aller à Moscou, je t'aurais dit de commencer par le Musée Juif et Centre de la Tolérance. Ce n'est pas juste un musée, c'est une expérience qui te prend aux tripes. Imagine que tu franchis une porte, et l'air autour de toi change. Ce n'est pas juste l'air conditionné, c'est comme si le temps lui-même s'étirait, se plissait. Tu entends un léger bourdonnement, des voix murmurent, et tu sens une atmosphère de découverte qui t'enveloppe. On commence toujours par la salle d'introduction, ce cinéma immersif. Tu t'assois, et les images t'entourent, les sons te bercent. C'est comme une plongée douce dans l'histoire, un rappel que chaque vie est un fil dans une immense tapisserie. Prends le temps de t'imprégner ici. C'est la fondation de tout ce qui va suivre.
En sortant, tu es guidé par le son des chansons folkloriques lointaines, par l'odeur presque imaginaire du pain frais et des épices. Tu marches à travers des reconstitutions, tu sens la texture du bois sous tes doigts si tu tends la main, tu entends le brouhaha joyeux des marchés, les discussions animées dans les *shtetls*. C'est une immersion dans la vie quotidienne, la résilience, la culture qui bouillonne. Imagine les rires d'enfants, le son du violon, le cœur d'une communauté vibrante. Tu sens cette énergie, cette force collective. Ne te précipite pas. Certains écrans interactifs te permettent d'explorer des photos de famille, des lettres. C'est là que l'histoire devient personnelle. Ne t'attarde pas trop sur chaque panneau si le temps presse, mais cherche les visages, les histoires de vie.
Puis, le ton change. L'air se fait plus lourd, les sons deviennent plus rares, parfois un silence pesant s'installe, brisé seulement par le crépitement d'enregistrements anciens. Tu sens le poids de la répression, des doutes, des choix impossibles. Les murs semblent se refermer un peu, et tu perçois l'isolement, la lutte pour préserver une identité sous surveillance. Tu entends les voix des dissidents, des poètes, des scientifiques qui ont lutté pour leur foi et leur culture. C'est une période de résilience silencieuse, mais puissante. Cette section est cruciale pour comprendre le contexte. Ne la survole pas. Cherche les témoignages audio ; ils sont particulièrement poignants et donnent une voix à l'indicible.
Et puis, tu arrives dans la section la plus sombre. L'air n'est plus le même, il est froid, même si la température est la même. Un silence profond t'enveloppe, un silence tellement lourd qu'il semble avoir son propre poids. Tes pas résonnent à peine. Tu sens une oppression physique, une tristesse qui monte du sol. C'est là que l'indicible est présenté, non pas par des images choquantes, mais par des récits, des objets, des noms. Tu entends le vide laissé par des millions de vies, et tu sens la douleur de la perte collective. Imagine le silence assourdissant des camps, le courage des Justes. C'est un moment où ton cœur se serre, où tu ne peux que te tenir là, et ressentir. C'est la partie à garder pour la fin, quand tu as déjà absorbé l'histoire. Prépare-toi mentalement. Il n'y a rien à "sauter" ici, mais si tu sens que c'est trop, permets-toi de faire une pause. C'est intense, mais essentiel. C'est le point culminant de la visite émotionnellement.
Après cette profondeur, tu respires à nouveau. L'air s'éclaircit, et tu perçois des notes d'espoir, de renouveau. Tu entends des voix plus contemporaines, des histoires de reconstruction, de renaissance. Tu sens l'énergie d'une communauté qui, malgré tout, continue de vivre, de créer, de s'épanouir. Il y a une salle dédiée à la culture moderne, aux contributions, et tu sens une fierté tranquille, une résilience qui t'enveloppe. C'est la preuve que même après les ténèbres les plus profondes, la vie trouve son chemin. Tu vois les visages d'aujourd'hui, et tu te dis que l'espoir est toujours là. Termine la visite par la salle des contributions et de la vie moderne. C'est une note d'espoir nécessaire. Si tu as besoin de digérer tout ça, il y a un café et une librairie à la sortie. Prends un thé, feuillette un livre, et laisse l'expérience se déposer en toi.
Olya from the backstreets
Imagine-toi franchir le seuil. Ce n'est pas juste un bâtiment, c'est un souffle, une présence. L'air y est différent, un peu plus lourd de l'histoire qu'il contient, mais aussi vibrant d'une résilience inouïe. Tu peux presque sentir le poids des mémoires anciennes, comme une patine invisible sur les murs. Tes pas résonnent doucement sur le sol, chaque écho te rappelant que tu es dans un espace de recueillement. Ferme les yeux un instant. Tu entends le murmure des voix, pas des conversations, mais des échos lointains, comme des pages de livres qui se tournent. Parfois, un silence si profond qu'il te donne l'impression d'entendre ton propre cœur battre. Tu passes ta main sur une surface, peut-être le bois poli d'une vitrine, et tu sens une douceur froide, témoin silencieux de tant de vies. C'est un lieu qui ne crie pas, mais qui parle à l'âme, te laissant avec un sentiment d'humilité et une compréhension plus profonde de ce que signifie être humain.
Pour t'aider à organiser ta visite, voici quelques conseils pratiques :
* Quand y aller ?
* Meilleur moment : Dès l'ouverture le matin (vers 10h-11h) ou en fin d'après-midi (après 16h) pour une ambiance plus calme et moins de groupes.
* À éviter : Les week-ends sont souvent bondés, surtout l'après-midi. Les mardis et mercredis après-midi peuvent aussi voir des groupes scolaires. Privilégie le milieu de semaine (jeudi, vendredi matin) si possible.
* Combien de temps ?
* Prévois au moins 2 à 3 heures pour une visite complète sans te presser. Si tu aimes t'attarder sur les détails et les contenus interactifs, 4 heures ne seront pas de trop.
* Quoi ne pas manquer (ou "skipper" si peu de temps) ?
* Il est difficile de "skipper" des sections, car chaque partie du musée est pensée pour raconter une histoire cohérente. Cependant, si ton temps est vraiment limité, concentre-toi sur les expositions principales qui retracent l'histoire du judaïsme en Russie et la période soviétique. La section sur la Shoah est particulièrement poignante et essentielle. Tu peux passer plus rapidement sur les expositions temporaires si elles ne t'intéressent pas spécifiquement.
* Conseils pratiques :
* Audio-guide : Indispensable ! Prends-en un à l'entrée. Il est très bien fait, très clair et te guide pas à pas à travers les différentes salles, offrant un contexte vital. C'est crucial pour t'immerger pleinement.
* Café/Restaurant : Il y a un excellent café casher à l'intérieur du musée, parfait pour une pause ou un déjeuner léger. Les prix sont raisonnables et la qualité est bonne.
* Toilettes : Très propres et accessibles à tous les étages, bien indiquées.
* Accessibilité : Le musée est très bien conçu pour les personnes à mobilité réduite, avec des rampes et des ascenseurs partout, rendant l'exploration confortable pour tous.
* Transports : Le musée est à deux pas de la station de métro "Marina Roshcha" (Ligne 10, vert clair). Très facile d'accès depuis le centre-ville.
* Billets : Achète tes billets en ligne à l'avance pour éviter les files d'attente, surtout en haute saison ou les jours de forte affluence.
Olya des ruelles