The Kubinka Tank Museum is a large military museum in Kubinka, Odintsovsky District, Moscow Oblast, Russia where tanks, armoured fighting vehicles (AFVs) and their relevant information are displayed and showcased. The museum consists of open-air and indoor permanent exhibitions of many famous tanks and armored vehicles from throughout the 20th and 21st centuries (between 1917 and the present day). It is also known to house and display many unique and one-of-a-kind military vehicles, such as the Nazi German Panzer VIII Maus super-heavy tank, Troyanov's Object 279 Kotin heavy tank and a Karl-Gerät heavy self-propelled artillery, amongst other single or limited-production prototypes from the Soviet Union and Nazi Germany.

Kubinka Tank Museum Tours and Tickets
🎧 Available audio guides (15)
The Kubinka Tank Museum is a large military museum in Kubinka, Odintsovsky District, Moscow Oblast, Russia where tanks, armoured fighting vehicles (AFVs) and their relevant information are displayed and showcased. The museum consists of open-air and indoor permanent exhibitions of many famous tanks and armored vehicles from throughout the 20th and 21st centuries (between 1917 and the present day). It is also known to house and display many unique and one-of-a-kind military vehicles, such as the Nazi German Panzer VIII Maus super-heavy tank, Troyanov's Object 279 Kotin heavy tank and a Karl-Gerät heavy self-propelled artillery, amongst other single or limited-production prototypes from the Soviet Union and Nazi Germany.
Overview
More Info
- Kubinka Tank Museum is a fun destination for kids, who will enjoy climbing on the tanks.
- English language information is limited at the museum; visiting with a guide is recommended to gain insight into the exhibitions.
- Access for foreign visitors to the museum and the Patriot Park is strictly controlled by the Russian military. You must bring your passport and visa with you and be prepared to pass through airport-style security.
- Parts of the displays are outdoors, so dress accordingly.
- Exhibitions are spread out over a large area, so plan to do a lot of walking. Wide flat walkways make general access easy for wheelchairs and strollers, although there are small steps in places.
More Adventures for You
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For Individuals with Hearing Loss
- Video Guide
- Hearing kits
- Speech To Text
Access for Seniors
- Distance from drop-off location to entrance: Less than 20 m
- Recommended time for visit мore than 3 hours
- Recommended time for visit 1 hour
- Recommended time for visit 2 hours
- Physical difficulty level - 3
Accessibility for wheels
- Special Parking
- Access with Portable Ramp
- Accessible elevator
- Wide doors >= 75 cm and < 90 cm
- Accessible Toilet
Access for Visually Impaired
- Audio Guide
- Place has Special Guide Service
- Service animals permitted
Imagine l'air lourd qui t'enveloppe dès l'entrée, un mélange subtil de poussière séculaire et d'une odeur métallique, presque ferreuse, qui te prend aux narines et te dit : "Ici, le temps s'est arrêté". Tu sens la fraîcheur du béton sous tes pieds, une surface immense qui résonne faiblement à chaque pas. Puis, le silence. Un silence écrasant, presque religieux, seulement brisé par l'écho lointain d'une porte qui claque ou le frottement d'une semelle sur le sol. Tu lèves la tête, même si tu ne peux pas voir, tu *sens* la masse qui t'entoure. Des ombres gigantesques se dessinent dans l'espace, des volumes colossaux qui respirent l'histoire et le poids de l'acier. C'est comme si l'air lui-même était plus dense, imprégné de la puissance brute de ces machines de guerre. Tu peux presque entendre le murmure de leurs moteurs éteints, sentir la vibration du sol sous le poids inimaginable de ces géants. C'est une immersion totale, une sensation qui te prend aux tripes et te rappelle la force brute de l'ingénierie humaine.
Pour t'y rendre, sache que le musée des chars de Koubinka est un peu excentré de Moscou, mais l'accès est simple. Le plus pratique est de prendre le train de banlieue (elektrichka) depuis la gare de Biélorussie (Belorussky Vokzal) en direction de Mozhaisk ou Kubinka-1. Compte environ 1h30 de trajet. Une fois à la gare de Kubinka-1, tu peux soit prendre un bus local (demande "Tankovy Muzey" ou "Parc Patriot") ou un taxi qui t'y emmènera directement en 15-20 minutes. Le musée est ouvert du mardi au dimanche, généralement de 10h à 18h, mais vérifie toujours les horaires sur leur site officiel avant de partir. Prévois au moins 3 à 4 heures sur place pour vraiment en profiter, car c'est immense. L'entrée est payante, et tu achèteras ton billet directement sur place. Essaie d'y aller en semaine et le matin si tu veux éviter les foules.
Une fois que tu as passé l'entrée et les premiers hangars, tu vas être frappé par l'ampleur du site. Le musée est divisé en plusieurs halls massifs, chacun dédié à une nation ou une période spécifique, et il y a aussi d'immenses zones extérieures. Ce n'est pas juste une collection, c'est une véritable forêt d'acier. Tu marches et tu sens la succession des différents sols sous tes pieds : le béton lisse des halls, puis la terre battue ou le gravier des aires d'exposition en plein air. Chaque hall a sa propre ambiance sonore, certains plus silencieux, d'autres résonnant davantage avec le pas des visiteurs. Tu te déplaces entre des rangées infinies de chars, des prototypes uniques, des machines capturées, des monstres de fer que tu n'aurais jamais imaginés. La variété est hallucinante, des petits véhicules légers aux mastodontes comme le Maus allemand. C'est la quantité qui est la plus impressionnante, une densité de métal et d'histoire qui te submerge et te fait sentir tout petit.
Olya from the backstreets
Imagine un instant. Tu es là, le vent souffle un peu, mais c'est l'odeur qui te frappe d'abord : celle du métal froid, de la terre humide, et d'un lointain parfum d'huile et d'histoire. Tu marches, et sous tes pieds, le sol vibre presque de la présence de ces géants endormis. Tu entends le silence respectueux des visiteurs, parfois brisé par le frottement d'une semelle sur le béton ou le cliquetis d'un appareil photo. Autour de toi, des ombres massives se dressent, immenses. Tu lèves la main, et tu sens presque la tôle rugueuse, froide, d'un char qui a traversé le temps. C'est le musée de Kubinka, et c'est une expérience qui te prend aux tripes, te connectant à une force et une histoire colossales.
Mais au-delà de l'émotion brute, une question se pose souvent : comment naviguer dans un tel lieu ? Il faut savoir que le terrain est majoritairement plat. Les allées principales, surtout à l'extérieur entre les hangars et à l'intérieur des bâtiments, sont en asphalte ou en béton. Elles sont souvent un peu usées par le temps, tu sentiras parfois quelques petites fissures ou des plaques de goudron rafistolées, mais globalement, elles sont suffisamment lisses pour un fauteuil roulant et ne posent pas de problème majeur. C'est large, tu peux facilement te déplacer et croiser d'autres visiteurs sans te sentir à l'étroit.
Pour les pentes, c'est vraiment minimal. La plupart des halls sont de plain-pied, ou si tu dois passer d'un niveau à l'autre, tu trouveras des rampes très douces et bien conçues. Les portes des hangars sont immenses, prévues pour laisser passer de gros équipements, donc pas de souci pour un fauteuil roulant ou une aide à la marche, il y a de la place. Côté foule, hors jours de grande affluence (pense aux week-ends ensoleillés d'été ou aux jours fériés russes), c'est étonnamment calme. Tu auras de l'espace pour circuler, sans te sentir bousculé. Et les gens ? J'ai trouvé les visiteurs et le personnel incroyablement respectueux et prêts à aider. Personne ne te regardera de travers, au contraire, il y a une vraie bienveillance. Donc oui, c'est tout à fait gérable pour une personne à mobilité réduite. Prévois juste de bonnes roues si ton fauteuil est manuel, car les distances entre les hangars peuvent être un peu longues à l'extérieur.
Olya des chemins battus.
Imagine que le jour se lève à peine sur Kubinka. L'air est vif, piquant, et porte cette odeur unique que seuls ceux qui arrivent très tôt connaissent : un mélange subtil de terre humide, de métal froid et de cette graisse ancienne qui imprègne les lieux depuis des décennies. C'est presque un parfum d'histoire. Vous tendez l'oreille, et si vous êtes attentif, vous percevez un murmure, à peine un souffle : le bourdonnement lointain des systèmes de ventilation qui s'éveillent, comme si les géants d'acier à l'intérieur commençaient eux aussi à respirer. C'est un instant éphémère, une symphonie silencieuse avant que les portes ne s'ouvrent et que la foule ne rompe ce charme.
Une fois à l'intérieur, c'est une toute autre dimension qui s'ouvre à vous. Vous marchez, et le sol sous vos pieds résonne d'une façon particulière, comme si chaque pas vous rapprochait d'un passé monumental. L'air est frais, presque froid, et l'odeur de métal et d'huile est plus présente, plus dense. Imaginez la taille de ces monstres d'acier, même sans les voir. Vous pouvez presque sentir la surface rugueuse des chenilles, la froideur imposante des tourelles géantes. Le silence est écrasant par moments, puis il est brisé par l'écho de vos propres pas, ou le cliquetis lointain d'une clé. C'est une immersion totale, un dialogue silencieux avec des machines qui ont traversé les âges.
Pour y arriver, sache que Kubinka est un peu isolé. Le plus simple est de prendre le train depuis la gare de Belorussky à Moscou jusqu'à la station Kubinka, puis un taxi local ou un bus jusqu'au musée. Prévois une bonne heure et demie de trajet, voire deux. Les billets s'achètent sur place, et il vaut mieux arriver tôt le matin pour éviter la foule, surtout en haute saison. Mets des chaussures confortables, car tu vas beaucoup marcher, et des couches de vêtements, car les hangars peuvent être frais même en été. Côté nourriture, il y a une petite cafétéria, mais n'hésite pas à emporter quelques snacks et une bouteille d'eau, c'est toujours mieux.
Poursuivez votre exploration jusqu'aux hangars des chars lourds, et là, l'échelle prend une toute autre signification. Vous sentez l'air se densifier autour de vous, presque lourd de l'immense masse de ces colosses. Fermez les yeux un instant et imaginez la chaleur que dégageait leur moteur, la vibration du sol quand ils se mettaient en marche. Vous pouvez presque entendre le grincement des chenilles sur le gravier, le souffle d'un canon prêt à tirer. La lumière, filtrant parfois par de hautes fenêtres, crée des jeux d'ombres qui donnent l'impression que ces mastodontes se tiennent encore prêts à bouger. C'est un sentiment d'humilité profonde face à tant de puissance figée dans le temps.
Concernant les photos, tu peux prendre des clichés sans flash, c'est généralement autorisé et ça respecte l'ambiance. Si tu as le temps, prends un guide, leurs anecdotes sont précieuses et donnent vie aux machines. Sinon, les panneaux d'information sont clairs, mais prévois de l'internet pour traduire si besoin. Il y a des toilettes propres, mais pas toujours en grand nombre, alors repère-les. Le musée est vaste, compte au moins 3-4 heures pour une visite correcte, voire une journée entière si tu es passionné. La boutique de souvenirs propose des maquettes et des livres, sympa pour ramener un petit quelque chose.
Maxime en mouvement.
Imagine, tu arrives devant un ensemble de hangars massifs, un peu austères sous le ciel russe. Le musée des blindés de Koubinka, ce n'est pas un petit tour, c'est une plongée dans l'histoire des géants d'acier. Tu sens déjà l'air frais, un peu piquant, qui te dit que tu es loin de l'agitation de la ville. Pour commencer, je te conseillerais de filer directement vers le Hangar 6, celui dédié aux véhicules allemands. Pourquoi là ? Parce que dès que tu entres, tu es frappé par le contraste. Tu entends tes pas résonner sur le béton lisse, et l'odeur du métal froid et de la poussière ancienne te prend. Tu sens la taille démesurée de ces machines, la puissance contenue, même immobiles. C'est un choc visuel et sensoriel, une excellente entrée en matière pour comprendre l'échelle de ce que tu vas voir.
Après avoir ressenti la masse imposante des "Tigres" et des "Panthers", tu traverseras vers les hangars soviétiques, les numéros 1, 2 et 3. Là, le sentiment change. Moins de finitions, plus de brutalité fonctionnelle. Tu peux sentir l'ingéniosité de la production de masse. Ne t'attarde pas sur chaque T-34, car il y en a beaucoup et ils peuvent vite se ressembler si tu n'es pas un expert. Concentre-toi plutôt sur les évolutions, sur la façon dont les formes changent, comment les canons s'allongent. Tu peux presque entendre le rugissement de leurs moteurs, sentir la vibration du sol sous leurs chenilles. C'est là que tu comprends la force industrielle et la détermination derrière la conception de ces monstres.
Puis, pour te laisser une impression indélébile, il faut absolument garder le Hangar 7, celui des prototypes et des engins capturés, pour la fin. C'est là que tu vas faire face au monstrueux "Maus", le char le plus lourd jamais construit. Tu ne peux pas le toucher, mais tu le sens. Tu sens sa masse écrasante, l'absurdité de sa taille. La lumière tamisée de l'endroit ajoute à l'atmosphère, comme si tu étais dans un sanctuaire pour ces bêtes d'acier endormies. Tu te sens minuscule à côté, et tu réalises à quel point l'ingénierie humaine peut être à la fois fascinante et terrifiante. C'est l'apothéose de la visite, une expérience presque méditative devant tant de gigantisme.
Côté pratique, prévois de bonnes chaussures, car même si la visite est concentrée dans des hangars, les distances entre eux peuvent être importantes, et tu vas marcher pas mal. Prends une bouteille d'eau et quelques snacks, il y a peu d'options sur place et c'est une visite qui peut durer plusieurs heures, facilement une demi-journée si tu prends ton temps. Le musée est un peu excentré, donc organise bien ton transport à l'avance, que ce soit en taxi ou en combinant train et bus. Enfin, n'hésite pas à prendre des photos, mais surtout, prends le temps de juste *être* là, au milieu de ces mastodontes de l'histoire.
Léa en vadrouille
Imagine que vous vous tenez là, à l'entrée d'un lieu qui respire l'histoire. Le soleil, s'il y en a, peine à percer l'immense ombre projetée par les hangars. Dès que vous franchissez le seuil, une odeur particulière vous enveloppe : un mélange subtil de métal froid, d'huile séchée et de poussière ancienne, comme si le temps lui-même s'était figé sur ces géants d'acier. Vous entendez le silence, profond, lourd, seulement brisé par l'écho de vos propres pas sur le béton brut. Vous marchez, et chaque mètre vous rapproche de ces monstres de guerre, immobiles, silencieux, mais dont la puissance passée est presque palpable. Votre main frôle l'air froid des halls immenses, et vous sentez la texture rugueuse du sol sous vos pieds, là où des milliers de tonnes ont roulé autrefois. C'est une sensation de respect, presque de recueillement, face à ces colosses qui ont marqué l'histoire, figés dans le temps, attendant que vous veniez les découvrir.
Pour que votre visite soit aussi fluide que possible, voici quelques conseils pratiques :
* Meilleur moment de la journée : La matinée, idéalement dès l'ouverture, pour profiter de la relative tranquillité avant l'arrivée des groupes.
* Quand éviter les foules : Privilégiez les jours de semaine, surtout le mardi, mercredi ou jeudi. Les week-ends et les jours fériés russes sont à éviter absolument, car le musée est très populaire.
* Durée de la visite : Prévoyez au moins 3 à 4 heures pour une exploration complète. Le site est vaste et regorge de véhicules uniques. Si vous êtes un passionné, vous pourriez facilement y passer une journée entière.
* Que "sauter" si le temps est limité : Si votre temps est compté, concentrez-vous sur les halls qui abritent les prototypes uniques ou les véhicules les plus emblématiques de la Seconde Guerre mondiale. Tous les halls ne sont pas aussi riches en "stars" et certains véhicules peuvent sembler très similaires à un œil non averti.
* Conseils locaux utiles :
* Chaussures : Des chaussures confortables sont impératives. Vous marcherez beaucoup, souvent sur des surfaces dures ou inégales.
* Restauration : Il y a une petite cafétéria sur place, mais les options sont très basiques. C'est une bonne idée d'emporter de l'eau et quelques snacks.
* Toilettes : Des toilettes sont disponibles, mais attendez-vous à des installations simples, sans fioritures.
* Accès : Pour vous y rendre depuis Moscou, prenez le train (elektrichka) depuis la gare de Biélorussie (Belorussky vokzal) jusqu'à la gare de Kubinka-1. De là, vous aurez besoin d'un taxi ou d'un bus local pour les derniers kilomètres jusqu'au musée. Le trajet total peut prendre entre 1h30 et 2h.
* Langue : La plupart des panneaux d'information sont en russe. Une application de traduction sur votre téléphone sera un atout majeur si vous ne parlez pas la langue.
Olya from the backstreets