The Central Air Force Museum (Russian: Центральный музей Военно-воздушных сил РФ) is an aviation museum in Monino, Moscow Oblast, Russia. A branch of the Central Armed Forces Museum, it is one of the world's largest aviation museums, and the largest for Soviet aircraft, with a collection including 173 aircraft and 127 aircraft engines on display. The museum also features additional displays, including Cold War-era American espionage equipment, weapons, instruments, uniforms, artwork, and a library containing books, films, and photos is also accessible to visitors. The Central Air Force Museum is located on the grounds of the Gagarin Air Force Academy on the site of the former Monino Airfield, 40 kilometers (25 mi) east of Moscow. The origins of the museum go back to 1940 when the village of Monino was selected to be the location of the Gagarin Air Force Academy. The museum itself was founded in 1958, two years after the airfield was closed, and had 6 aircraft and 20 aircraft guns at the time. When it opened to the public another two years later in 1960, it had 14 aircraft. By early 1970, the museum's collection had expanded to about 40 aircraft. In 1990, the aircraft on display were rearranged according to design bureau and chronological order. The museum's main hall was mostly destroyed by fire in 2005. Prior to 1999, the museum was closed to the public, because of the display of classified prototypes from the era of the former Soviet Union. Today, the museum contains a range of aircraft, both domestic and foreign, including military, civil and special purpose. The museum also houses associated pieces, such as the uniforms, documents, models and equipment related to the aircraft. The museum is currently open to members of the public to visit. There are lavatory facilities, a small shop and vending machine for food and drinks (May 2014). There are two large hangars with well-displayed items and much material about the items, but all in Russian, although some have a brief translation into English. Another hangar, as of March 2012 is under construction to house more exhibits that are to be moved from the field into the new hangar. A museum booklet is available, published in 2008, from the museum officials. 36 A4 pages long, the booklet includes an introduction, along with photographs and descriptions of each individual aeroplane.

Central Air Force Museum (Muzey Voyenno-ozdushnykh Sil) Tours and Tickets
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The Central Air Force Museum (Russian: Центральный музей Военно-воздушных сил РФ) is an aviation museum in Monino, Moscow Oblast, Russia. A branch of the Central Armed Forces Museum, it is one of the world's largest aviation museums, and the largest for Soviet aircraft, with a collection including 173 aircraft and 127 aircraft engines on display. The museum also features additional displays, including Cold War-era American espionage equipment, weapons, instruments, uniforms, artwork, and a library containing books, films, and photos is also accessible to visitors. The Central Air Force Museum is located on the grounds of the Gagarin Air Force Academy on the site of the former Monino Airfield, 40 kilometers (25 mi) east of Moscow. The origins of the museum go back to 1940 when the village of Monino was selected to be the location of the Gagarin Air Force Academy. The museum itself was founded in 1958, two years after the airfield was closed, and had 6 aircraft and 20 aircraft guns at the time. When it opened to the public another two years later in 1960, it had 14 aircraft. By early 1970, the museum's collection had expanded to about 40 aircraft. In 1990, the aircraft on display were rearranged according to design bureau and chronological order. The museum's main hall was mostly destroyed by fire in 2005. Prior to 1999, the museum was closed to the public, because of the display of classified prototypes from the era of the former Soviet Union. Today, the museum contains a range of aircraft, both domestic and foreign, including military, civil and special purpose. The museum also houses associated pieces, such as the uniforms, documents, models and equipment related to the aircraft. The museum is currently open to members of the public to visit. There are lavatory facilities, a small shop and vending machine for food and drinks (May 2014). There are two large hangars with well-displayed items and much material about the items, but all in Russian, although some have a brief translation into English. Another hangar, as of March 2012 is under construction to house more exhibits that are to be moved from the field into the new hangar. A museum booklet is available, published in 2008, from the museum officials. 36 A4 pages long, the booklet includes an introduction, along with photographs and descriptions of each individual aeroplane.
Overview
More Info
- Most of the exhibition information is in Russian, with minimal translations in English. * Visiting with a guide is recommended for those who want to learn more about Russia’s aviation history.
- Exhibitions are both indoors and outdoors, so dress accordingly. There are restrooms and a gift shop at the museum.
- Most areas of the museum are accessible to wheelchairs and strollers.
More Adventures for You
0$
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3000$
No tours matches the filter
Accessibility for wheels
- Special Parking
- Accessible elevator
- Wide doors >= 75 cm and < 90 cm
- Exhibit height - 5
- Accessible Toilet
Access for Visually Impaired
- Service animals permitted
Imaginez. Le silence est écrasant, un silence lourd, presque palpable, qui vous enveloppe dès les premiers pas. Ce n'est pas le silence d'une bibliothèque, mais celui d'une cathédrale de métal, où chaque écho lointain résonne avec la puissance d'une histoire inouïe. L'air, même en plein soleil, porte une fraîcheur métallique, une odeur subtile de kérosène ancien et de poussière d'histoire qui picote légèrement le nez. Vous ne voyez peut-être pas la taille gigantesque de ces machines endormies, mais vous la *sentez*. Elle vous écrase doucement, vous fait lever la tête, comme si un courant d'air invisible vous poussait vers le haut. C'est une sensation qui s'insinue, une sorte de respect mêlé d'émerveillement qui prend racine au creux de l'estomac et remonte lentement, faisant frissonner la peau. Vous êtes au cœur d'un battement de cœur suspendu, celui de l'ingéniosité humaine et de l'audace.
Vous marchez, pas après pas, le long de ces géants endormis. Vos pieds foulent une terre battue qui semble avoir absorbé le poids de leurs existences passées. Chaque pas est un écho assourdi dans cette immensité. Vous tendez la main, et même sans toucher, vous percevez la froideur imposante du métal, l'usure des peintures fanées par le temps et le vent. Vous entendez – ou plutôt, vous *ressentez* – le murmure du vent qui s'engouffre dans les ailes, créant une mélodie étrange, presque plaintive, comme si les appareils respiraient encore. C'est une danse silencieuse entre l'immobilité et le souvenir du mouvement, une tension qui se loge dans vos épaules, une sorte de mélancolie douce qui vous fait ralentir, vous invitant à percevoir les histoires que ces carlingues ont en elles. C'est une vibration qui persiste longtemps après avoir quitté les lieux, un sentiment d'humilité face à la grandeur.
Pour t'y rendre, c'est un peu une expédition, mais ultra-faisable et ça vaut le coup. Le musée est à Monino, donc pas en plein centre de Moscou. Le plus simple, c'est de prendre le train depuis la gare de Yaroslavsky (Komsomolskaya metro station) jusqu'à Monino. Compte environ 1h-1h30 de trajet. Une fois à la gare de Monino, il y a des bus ou des taxis partagés qui t'amènent directement au musée en quelques minutes. Vérifie bien les horaires de train retour, surtout si tu y vas en fin de journée. Niveau prix, l'entrée est super raisonnable, quelques centaines de roubles, et c'est souvent cash only, donc prévois de la monnaie.
C'est principalement un musée en plein air, donc prévois des chaussures confortables et adapte ta tenue à la météo, qu'il pleuve ou qu'il fasse grand soleil. Il y a quelques hangars avec des avions plus petits ou des intérieurs à voir, mais la majorité est dehors. Pour la nourriture et les boissons, c'est assez limité sur place, il n'y a pas de grands cafés ou restaurants, juste quelques petits kiosques parfois ouverts en haute saison. Le mieux est de prévoir ton propre pique-nique ou des snacks et de l'eau. Pour les photos, c'est généralement autorisé partout, mais il vaut mieux vérifier à l'entrée s'il y a des restrictions spécifiques pour certains appareils photo ou des zones. Tu peux facilement y passer 3-4 heures sans t'ennuyer, surtout si tu aimes l'histoire de l'aviation.
Olya des rues cachées.
Salut à tous les explorateurs ! Aujourd'hui, je vous emmène dans un lieu qui vous coupe le souffle, même avant d'y entrer : le Musée Central des Forces Aériennes de Monino, près de Moscou. Imaginez un instant le silence, puis un léger souffle de vent qui vous apporte une odeur d'huile mécanique et de métal froid. Vous êtes là, et soudain, une ombre immense se dessine au-dessus de vous. Vous sentez cette immensité, ces mastodontes de fer et d'acier qui ont fendu le ciel, figés dans le temps, juste pour vous. Le sol vibre presque sous vos pieds, non pas à cause des avions qui décollent, mais à cause du poids de l'histoire qui repose ici. Vous levez la tête, et même sans les voir, vous *sentez* la courbe d'une aile, la puissance d'un réacteur. C'est plus qu'un musée, c'est un cimetière de géants volants, chacun avec sa propre histoire murmurée par le vent.
En vous déplaçant entre ces colosses, vous réalisez l'ampleur du site. C'est un espace vaste, en plein air pour la plupart des appareils, ce qui est à la fois une bénédiction et un défi. La sensation d'espace est incroyable, vous ne vous sentez jamais enfermé, mais la distance entre les expositions peut être significative. Vous entendez le grincement lointain d'une porte de hangar, le cliquetis d'un appareil photo. C'est un lieu qui invite à la contemplation, où l'on prend son temps, pas à pas, pour absorber chaque détail, chaque rivet, chaque marque de patine sur la carlingue.
Alors, pour parler concret et accessibilité, le musée de Monino présente des défis pour les personnes à mobilité réduite. La majeure partie de l'exposition est en extérieur, sur un terrain qui est un mélange de pavés irréguliers, de gravier compacté et parfois de terre battue. Attendez-vous à des pentes légères mais occasionnelles, notamment pour accéder à certaines zones ou hangars. La largeur entre les avions est généralement généreuse, ce qui permet de circuler sans trop de problème, mais les allées elles-mêmes peuvent être étroites par endroits ou encombrées par des éléments d'exposition. Les foules sont rarement denses, sauf lors d'événements spéciaux, ce qui est un avantage pour la circulation. Cependant, l'infrastructure générale n'est pas pensée pour l'accessibilité universelle. Il y a peu de rampes, et les toilettes adaptées sont rares. Quant à la réaction des gens, les visiteurs sont généralement assez indifférents ou concentrés sur les avions. Le personnel, lui, est souvent serviable si vous demandez de l'aide, mais ne vous attendez pas à une assistance proactive sans la solliciter. C'est un lieu qui demande une bonne préparation et de l'autonomie, ou la présence d'un accompagnateur solide.
Olya from the backstreets
Imaginez le lever du soleil, non pas sur les dômes dorés de Moscou, mais sur une étendue plus discrète, baignée d'une lumière douce et encore incertaine. Vous marchez sur un chemin de terre fraîchement humidifié par la rosée, et l'air est vif, piquant. Fermez les yeux. Vous sentez cette odeur ? C'est un mélange subtil, presque secret : la résine des pins qui bordent le terrain, mêlée à une pointe métallique, celle de l'ozone ou d'un vieux carburant qui semble s'être imprégné dans l'âme même du lieu. Et si vous tendez l'oreille, juste avant que les premières voitures ne commencent à arriver, vous pourriez percevoir un *cliquetis* lointain et régulier, comme des clés qui s'entrechoquent ou un verrou ancien qui s'ouvre. C'est le son du musée qui s'éveille, que seuls ceux qui sont là très tôt connaissent.
Puis, les portes s'entrouvrent, et c'est un autre monde qui se révèle. Vous avancez, et le sol sous vos pieds passe du chemin de terre à un tarmac immense, parfois craquelé par le temps. Le vent, même léger, porte le son des ailes immenses qui semblent respirer autour de vous. Levez les mains, imaginez le métal froid et lisse de ces carlingues géantes, témoins silencieux d'une histoire vertigineuse. Vous pouvez presque sentir la puissance dormante, l'écho des moteurs qui ont jadis fendu les cieux. Chaque avion a sa propre aura, sa propre histoire à vous raconter, et vous vous sentez tout petit face à ces colosses de l'air.
Pour atteindre ce lieu hors du temps, ne cherchez pas le centre-ville animé. Le musée de l'Armée de l'Air se trouve à Monino, une petite ville en périphérie de Moscou. Le plus simple est de prendre le train de banlieue (elektrichka) depuis la gare de Koursk (Kursky Vokzal) à Moscou, direction Monino. Le trajet dure environ une heure à une heure et demie. Une fois à la gare de Monino, un court trajet en bus local ou en taxi vous mènera directement à l'entrée du musée. C'est un peu un voyage en soi, mais ça fait partie de l'aventure.
Le meilleur moment pour une visite ? Sans hésitation, tôt le matin, comme nous l'avons fait. Non seulement vous éviterez les foules, mais la lumière est incroyable pour les photos et l'ambiance y est plus introspective. Prévoyez de bonnes chaussures, car le site est vaste et vous marcherez beaucoup, souvent sur du béton ou de l'herbe. Une bouteille d'eau est aussi une bonne idée, surtout si vous visitez en été, car il y a peu d'ombre directe parmi les avions en extérieur.
Attendez-vous à une immersion complète dans l'histoire de l'aviation russe et soviétique. Le musée est principalement en plein air, avec des centaines d'avions, d'hélicoptères et de missiles exposés. Il y a aussi quelques hangars avec des expositions plus détaillées et des pièces rares. C'est immense, alors ne vous précipitez pas. Côté restauration, il y a généralement un petit kiosque ou un café rudimentaire sur place, mais les options sont limitées. Pour une expérience optimale, je vous conseille d'apporter quelques snacks ou même un pique-nique pour profiter pleinement de l'environnement unique.
À bientôt sur les routes !
Olya from the backstreets
Imagine le train qui s'éloigne lentement de l'agitation de Moscou, les paysages urbains laissant place à des forêts plus denses, des datchas colorées. C'est un voyage qui prépare l'esprit à quelque chose d'hors du commun. Puis, au loin, à travers les arbres, tu aperçois une forme immense, une aile qui se découpe dans le ciel. C'est là que ça commence, à Monino, au Musée Central des Forces Aériennes. Pour y arriver, prends l'électritchka (le train de banlieue) depuis la gare de Koursk direction Monino. Une fois arrivé, c'est une petite marche ou un bus local jusqu'à l'entrée du musée. Prépare-toi, l'immensité te saisira avant même d'avoir franchi la grille.
Dès que tu passes l'entrée, tu sens l'air frais et la terre sous tes pieds. Il n'y a pas de bruit assourdissant, juste le vent et parfois le craquement d'une vieille structure métallique. Pour commencer, dirige-toi vers les premiers modèles exposés, ceux qui racontent les débuts de l'aviation soviétique. Ce sont des avions plus petits, presque fragiles, qui te donnent une idée de l'ingéniosité des pionniers. Tu peux presque sentir l'odeur du métal ancien et de l'huile, une odeur d'histoire. C'est le point de départ idéal pour comprendre l'évolution, comme feuilleter un livre page par page. Achète ton billet à l'entrée et n'hésite pas à demander un plan, même si le chemin est assez intuitif.
Ensuite, tu marches entre les géants. Le chemin te mène naturellement des premiers avions à réaction aux chasseurs et bombardiers plus modernes. Tu peux passer tes doigts sur les fuselages froids, sentir la texture rugueuse de la peinture écaillée par le temps et les éléments. Chaque avion a une histoire, un souffle de puissance figé. Si tu es pressé ou que tu sens la fatigue venir, concentre-toi sur les prototypes uniques et les modèles iconiques (comme les MiG ou les Sukhoï les plus célèbres) plutôt que sur chaque variation d'un même appareil. Les expositions en extérieur sont le cœur du musée, privilégie-les si ton temps est limité. N'oublie pas de porter des chaussures confortables, car tu vas beaucoup marcher, et des couches de vêtements, car c'est un musée en grande partie à ciel ouvert.
Pour le grand final, garde les vrais colosses. Tu te retrouves sous l'ombre d'ailes gigantesques, celles du Tupolev Tu-144, le "Concordski" soviétique, ou des bombardiers massifs comme le Tu-95. C'est là que l'échelle devient vraiment écrasante. Tu lèves la tête, tu imagines la puissance de ces machines, le rugissement de leurs moteurs. Le vent s'engouffre parfois entre les pylônes, créant un sifflement étrange qui te donne des frissons. Ce sont souvent les derniers avions sur le parcours, une apothéose naturelle de la visite. C'est l'instant où tu réalises la grandeur de l'ingénierie et de l'ambition humaine. Les options de restauration sur place sont limitées, alors prévois une bouteille d'eau et quelques snacks. Les toilettes sont indiquées, mais ne t'attends pas au grand luxe.
Quand tu quittes le musée, le silence te semble plus profond. Tu te retournes une dernière fois, et les silhouettes des avions se découpent encore dans ta mémoire. C'est une sensation étrange de laisser derrière soi ces monstres d'acier figés dans le temps. Le meilleur moment pour visiter est une journée ensoleillée mais pas trop chaude, au printemps ou en début d'automne. Ça évite la boue et la chaleur écrasante. Vérifie toujours les horaires d'ouverture avant de partir, car ils peuvent varier.
Olya des ruelles
Imaginez que vous arrivez, que l'air frais et un peu métallique vous enveloppe, même avant de franchir le seuil. C'est l'odeur du passé, celle du kérosène séché et de l'acier froid, mélangée à la terre et au vent qui siffle légèrement. Vous entendez le silence assourdissant de l'histoire, seulement brisé par le crissement du gravier sous vos pas et l'écho lointain de vos propres mouvements dans cet espace immense. Vous vous sentez minuscule face à ces géants de métal, des titans endormis, chacun portant les cicatrices de son époque.
Vous marchez, et chaque pas résonne sur le sol en béton, un écho lointain des pistes d'atterrissage. Le vent s'engouffre dans les hangars, créant des courants d'air qui vous rappellent l'altitude. Vous pouvez presque tendre la main et sentir la tôle froissée d'un fuselage, les rivets lisses d'une aile, la texture des pneus usés. Chaque appareil raconte une histoire, non pas avec des mots, mais avec sa masse, sa forme, la manière dont la lumière joue sur ses surfaces. C'est une symphonie silencieuse de puissance et d'ingénierie, où vous pouvez presque entendre le vrombissement des moteurs et le souffle du vent dans les hélices.
Voici quelques infos pratiques pour que votre visite soit aussi fluide que possible :
* Meilleur moment de la journée : Le matin, juste à l'ouverture (généralement 9h30 ou 10h), pour profiter de la lumière naturelle et éviter les groupes.
* Pour éviter la foule : Privilégiez les jours de semaine. Évitez absolument les week-ends russes et les jours fériés, le musée peut être bondé.
* Temps à consacrer : Prévoyez au moins 3 à 4 heures pour une bonne exploration des hangars et de l'exposition extérieure. Si vous êtes un passionné d'aviation, une journée entière ne sera pas de trop.
* Ce qui est moins essentiel si le temps presse : Si votre temps est compté, concentrez-vous sur les hangars principaux et les appareils extérieurs les plus emblématiques (les Tupolev géants, les MiG, les hélicoptères Mi). Certaines des expositions plus petites ou les répliques moins authentiques peuvent être moins prioritaires.
* Conseils locaux utiles :
* Accès : Le musée est à Monino, en dehors de Moscou. Le meilleur moyen est de prendre le train de banlieue (elektrichka) depuis la gare Yaroslavsky de Moscou jusqu'à la gare de Monino. De là, c'est une petite marche ou un court trajet en taxi.
* Nourriture : Les options sur place sont très limitées (souvent juste un petit stand de snacks). Prévoyez d'apporter vos propres en-cas et boissons, ou mangez avant/après votre visite. Il y a quelques petits cafés à Monino même.
* Toilettes : Elles sont basiques mais fonctionnelles, situées près de l'entrée et dans certains hangars.
* Vêtements : Habillez-vous chaudement, surtout en automne et en hiver. Les hangars peuvent être froids et il y a beaucoup à voir en extérieur.
* Billets : Achetez-les directement à l'entrée. Le personnel parle peu anglais, mais les panneaux sont clairs.
Olya from the backstreets