Les surfaces sont majoritairement en pierre, souvent inégales et usées par le temps. Des couloirs étroits mènent à des cours plus larges, créant des variations d'espace. De nombreux escaliers en pierre, parfois raides, relient les différents niveaux de la citadelle. Ces passages guident les visiteurs des salles intérieures vers les remparts offrant des panoramas marins.

Pour une expérience optimale, visitez la Citadelle de Qaitbay tôt le matin en automne ou au printemps. Une brise marine légère et fraîche y règne. Le silence n'est brisé que par le clapotis des vagues contre les remparts et le cri des mouettes. La foule est quasi-absente, permettant une exploration sereine et contemplative des lieux.

Salut les amis voyageurs ! Prêts pour une escale chargée d'histoire et de brise marine ?

Au bout de la corniche d'Alexandrie, là où le bleu profond de la Méditerranée rencontre le ciel, se dresse fièrement la Citadelle de Qaitbay. Cette forteresse imposante, bâtie sur les ruines de l'illustre Phare d'Alexandrie, est une sentinelle de pierre qui a traversé les siècles. Ses murs ocre, polis par les vents marins et le soleil égyptien, racontent des histoires de défense et de commerce. En approchant, le clapotis des vagues contre ses fondations résonne, un murmure constant du temps. De ses remparts crénelés, le regard embrasse une vue spectaculaire : la ville moderne qui s'étire, les bateaux de pêche qui dansent sur l'eau et, au loin, l'horizon infini. À l'intérieur, la lumière filtre par d'étroites meurtrières, dessinant des jeux d'ombres sur les dalles fraîches, tandis que l'air salin emplit les couloirs voûtés, imprégnés d'un parfum d'antiquité. Chaque recoin révèle un détail architectural, un escalier en colimaçon, une tour de guet invitant à l'exploration.

Mais pourquoi cette citadelle est-elle si spéciale ? Imaginez : en foulant ses dalles, vous marchez littéralement sur les vestiges du Phare d'Alexandrie. Des blocs de granit et de marbre, jadis éléments du phare, ont été réutilisés pour bâtir cette forteresse au XVe siècle. C'est une renaissance, une sentinelle gardant non seulement la baie, mais aussi la mémoire d'une merveille disparue.

Une vraie capsule temporelle ! À très vite pour de nouvelles découvertes !

Pour une vue d'ensemble, positionnez-vous sur la Corniche, encadrant la forteresse avec le dégradé du ciel et de la mer. À l'intérieur, les embrasures des fenêtres offrent des perspectives uniques sur la Méditerranée azur. La lumière est optimale au lever ou au coucher du soleil, baignant les remparts de teintes chaudes. Le matin tôt assure une ambiance sereine et met en valeur les textures de la pierre.

La Citadelle de Qaitbay offre une vue imprenable sur la Méditerranée, justifiant pleinement son emplacement stratégique. L'intérieur, cependant, manque cruellement d'expositions et de signalisation, rendant la visite décousue. L'afflux incessant de visiteurs et les vendeurs ambulants nuisent à la sérénité du lieu historique. La surprise réside dans l'absence quasi-totale de vestiges tangibles du Phare d'Alexandrie, malgré sa fondation.

Les services de location dédiés de fauteuils roulants ou scooters de mobilité sont rares près de la Citadelle de Qaitbay. Renseignez-vous auprès des grandes pharmacies (saydaleya) ou des hôtels quatre étoiles et plus du quartier. Ils pourraient proposer un prêt temporaire ou vous diriger vers un fournisseur médical. Pour demander, utilisez la phrase arabe "Hal youjad karasi mutaharrika lel ījār?" (Y a-t-il des fauteuils roulants à louer ?).

On monte les escaliers étroits pour atteindre les remparts crénelés, offrant un premier aperçu. À l'intérieur, on déambule entre les salles voûtées, observant les meurtrières et les anciennes citernes. Des ouvertures, la Méditerranée s'étend à l'horizon, dévoilant un panorama stratégique sur le port. On s'imprègne de l'histoire, imaginant les sentinelles veillant sur la ville depuis ce poste avancé.

Salut les amis voyageurs !

La Citadelle de Qaitbay à Alexandrie est majestueuse, oui, mais laissez-moi vous emmener dans un recoin où le temps semble s'arrêter. Loin des foules qui arpentent les remparts supérieurs, cherchez une petite embrasure discrète, presque oubliée, au niveau inférieur, côté mer. L'air y est plus frais, plus humide, imprégné d'une odeur subtile de sel et de pierre millénaire, un mélange qui raconte des siècles d'histoire marine.

C'est là que se révèle une mélodie insoupçonnée de la Méditerranée. Ce n'est pas le fracas des vagues contre les brise-lames, mais un *clapotis* intime, un *chuchotement* rythmique de l'eau contre les fondations du fort. Imaginez le mouvement incessant des petites vagues, caressant, puis se retirant des pierres rugueuses, patinées par les siècles et les embruns. On perçoit presque la respiration de la mer, un souffle lent et profond qui résonne doucement dans la pierre sombre, comme si le fort lui-même soupirait avec l'océan. Dans ce coin d'ombre et de fraîcheur, la lumière du soleil ne frappe qu'en reflets changeants sur les parois humides, créant une atmosphère presque méditative. C'est un rappel subtil, mais puissant, que cette forteresse n'est pas seulement un vestige de pierre, mais une entité vivante, en dialogue constant avec la mer qui l'a vue naître.

Alors, la prochaine fois que vous visiterez Qaitbay, tendez l'oreille... et laissez-vous emporter ! À très vite pour de nouvelles découvertes !

Les sols et escaliers usés de la Citadelle peuvent être étonnamment glissants, particulièrement si humides. Attendez-vous à des foules denses et à des sollicitations persistantes de vendeurs aux abords du fort. Portez des chaussures à bonne adhérence et restez attentif à vos pas sur les surfaces inégales. Sécurisez vos objets de valeur et un "non, merci" ferme suffira généralement à éloigner les importuns.

Oui, les amateurs d'oiseaux apprécieront les goélands leucophées et mouettes rieuses survolant la citadelle. On y entend aussi les cris des sternes et, parfois, on observe des passereaux migrateurs près des murs. Les meilleurs points d'observation sont le long des remparts extérieurs, côté mer, loin des foules. Une visite tôt le matin ou au crépuscule maximise les chances d'apercevoir diverses espèces en activité.