Grands Boulevards is a station on Line 8 and Line 9 of the Paris Métro. The section of both lines from just east of Richelieu – Drouot to west of République was built under the Grand Boulevards, which replaced the Louis XIII wall and is in soft ground, which was once the course of the Seine. The lines are built on two levels, with line 8 on the higher level and line 9 in the lower level. The platforms are at the sides and the box containing the lines and supporting the road above is strengthened by a central wall between the tracks. There is no interconnection between the lines at Grands Boulevards, with each level having different accesses to the street. The station was opened on 5 May 1931 with the extension of Line 8 from Richelieu – Drouot to Porte de Charenton. The Line 9 platforms were opened on 10 December 1933 with the extension of the line from Richelieu – Drouot to Porte de Montreuil. Until 1998 the station was called Rue Montmartre. It was renamed to reflect the programme of the former Mayor of Paris, Jean Tiberi, to upgrade the main Boulevards of Paris and because the old name suggested that the station was in the Montmartre district, misleading tourists.

Grands Boulevards Tours and Tickets
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Grands Boulevards is a station on Line 8 and Line 9 of the Paris Métro. The section of both lines from just east of Richelieu – Drouot to west of République was built under the Grand Boulevards, which replaced the Louis XIII wall and is in soft ground, which was once the course of the Seine. The lines are built on two levels, with line 8 on the higher level and line 9 in the lower level. The platforms are at the sides and the box containing the lines and supporting the road above is strengthened by a central wall between the tracks. There is no interconnection between the lines at Grands Boulevards, with each level having different accesses to the street. The station was opened on 5 May 1931 with the extension of Line 8 from Richelieu – Drouot to Porte de Charenton. The Line 9 platforms were opened on 10 December 1933 with the extension of the line from Richelieu – Drouot to Porte de Montreuil. Until 1998 the station was called Rue Montmartre. It was renamed to reflect the programme of the former Mayor of Paris, Jean Tiberi, to upgrade the main Boulevards of Paris and because the old name suggested that the station was in the Montmartre district, misleading tourists.
Overview
More Info
- Grand Boulevards is an ideal spot for architecture buffs, shoppers, and night owls.
- Check out all eight so-called “grand” boulevards:xa0Madeleine, Capucines, Italiens, Montmartre, Poissonnière, Bonne Nouvelle, St-Denis, and St-Martin.
- Relax in the English-style Parc Monceau, which features a large pond, a collection of odd architectural features (a Dutch windmill, a Chinese fortress, and an Egyptian pyramid), and statues of famous French cultural figures.
More Adventures for You
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Accessibility for wheels
- Access with Portable Ramp
- Special Parking
- Accessible elevator
- Easy without assistance
- Accessible Toilet
Access for Seniors
- Recommended time for visit 1 hour
- Recommended time for visit 2 hours
Access for Visually Impaired
- Audio Guide
- Place has Special Guide Service
- Service animals permitted
Imagine un souffle. Pas une simple rue, mais une artère immense où l'air vibre d'une énergie palpable. Vous entrez dans un espace vaste, baigné d'une lumière qui glisse sur les façades haussmanniennes, caressant la pierre blonde. Le son ne vous agresse pas, il vous enveloppe : un murmure constant de pas sur les trottoirs larges, le chuchotement des conversations qui se tressent avec le lointain ballet des klaxons polis, comme une mélodie urbaine. C'est une vague qui vous emporte, une énergie douce mais irrésistible, et vous sentez déjà le rythme de Paris s'infiltrer en vous, léger et prometteur.
Vous marchez, et chaque pas résonne différemment sur le pavé, parfois lisse, parfois légèrement irrégulier. L'odeur du café fraîchement moulu vous saisit, se mêlant à celle, plus douce et sucrée, des viennoiseries tout juste sorties du four. Puis, un vent léger apporte l'effluve des vieux livres des bouquinistes, une invitation au voyage immobile. Vous entendez le tintement des verres sur une terrasse animée, des éclats de rire qui montent, la mélodie d'un accordéon lointain ou le fragment d'une conversation passionnée. Cette atmosphère n'est pas juste autour de vous, elle s'infiltre. Vous la sentez monter de vos pieds, traverser vos jambes, réchauffer votre poitrine. C'est la vie parisienne qui s'installe en vous, une douce persistance, comme une mélodie qu'on ne peut plus chasser de son esprit.
Pour profiter au maximum de cette ambiance, je te conseille de flâner en fin d'après-midi, quand la lumière se fait plus douce et que les néons commencent à s'allumer. Ne manque pas de t'aventurer dans les passages couverts comme le Passage Jouffroy ou les Panoramas, c'est comme changer d'époque en quelques pas. Si tu aimes les théâtres, l'Opéra Comique est juste là, et les Folies Bergère ne sont pas loin non plus. Pour manger, un Bouillon Chartier est une expérience classique et abordable, mais n'importe quelle terrasse de café fera l'affaire pour observer la vie. C'est super bien desservi par le métro (lignes 8, 9, notamment stations Opéra, Grands Boulevards, Richelieu-Drouot), donc facile d'accès.
Léa de la route
Ah, les Grands Boulevards de Paris ! Imaginez un instant. Vous êtes là, au cœur de cette artère vibrante. Vous entendez le murmure incessant de la ville, un mélange de rires lointains, le doux cliquetis des tasses de café sur les terrasses, et ce bourdonnement constant des taxis qui glissent sur l'asphalte. L'air est un mélange enivrant de parfum de croissants chauds échappés d'une boulangerie, de l'odeur terreuse des vieux bâtiments en pierre et, oui, d'un soupçon d'échappement parisien. Sentez la légère brise sur votre visage tandis que les feuilles des platanes frémissent doucement au-dessus de vous. C'est un lieu qui respire l'histoire, le théâtre, et cette effervescence unique à Paris.
Alors, comment ça se présente sous vos roues ou vos pieds ? La bonne nouvelle, c'est que les trottoirs sont majoritairement larges et recouverts de dalles de pierre assez lisses, ce qui facilite grandement la circulation. Vous n'aurez pas à lutter contre des pavés disjoints à chaque pas. Quant aux pentes, elles sont pratiquement inexistantes sur les boulevards eux-mêmes. Le terrain est plat, ce qui est un vrai soulagement pour quiconque a des difficultés de mobilité. Il n'y a pas de montées abruptes ou de descentes surprenantes ici, juste une progression douce et régulière.
La largeur des trottoirs est un atout majeur. Vous avez de l'espace, ce qui n'est pas toujours le cas à Paris. Même aux heures de pointe, il est souvent possible de trouver son chemin sans se sentir complètement coincé. Cependant, soyez conscient que les foules peuvent devenir denses, surtout aux abords des grands magasins comme les Galeries Lafayette ou le Printemps, et autour des sorties de métro. Imaginez une rivière humaine, parfois pressée, parfois plus nonchalante. Il faut alors faire preuve d'un peu plus de patience et anticiper les mouvements des autres.
Et comment les gens réagissent-ils ? C'est une question importante. Mon expérience est que les Parisiens, malgré leur réputation d'être pressés, sont généralement attentifs. J'ai vu des gens s'écarter sans même y penser, des commerçants proposer leur aide pour ouvrir une porte, ou simplement un regard compréhensif. Bien sûr, il y a toujours quelques têtes en l'air, mais dans l'ensemble, l'ambiance est plutôt bienveillante. Donc, oui, les Grands Boulevards sont tout à fait *gérables* si vous utilisez un fauteuil roulant ou si vous avez des difficultés à marcher. C'est un quartier où vous pouvez vous lancer et explorer avec une certaine sérénité.
Max en vadrouille.
Imagine Paris avant Paris. Pas les Grands Boulevards que tout le monde connaît, non. Je parle de l'heure où les lumières vacillent encore, où l'air est frais et humide contre ta peau. Tu marches, et le son de tes pas est presque le seul bruit sur le trottoir encore mouillé par la rosée ou une pluie fine. Et puis, tu le sens. Ce n'est pas le parfum des croissants, pas encore. C'est l'odeur terreuse de l'asphalte mouillé qui se mêle à une pointe de javel, celle des nettoyeurs qui ont déjà désinfecté les entrées des théâtres et des cinémas qui vont bientôt s'éveiller. Et juste en dessous, subtil, le premier souffle d'un café qui chauffe, le premier grain moulu. C'est le secret du matin des Grands Boulevards, l'odeur de la ville qui respire avant le grand ballet. Tu as l'impression d'être le seul témoin de ce moment suspendu.
Tu continues ton chemin, et la symphonie des sens s'intensifie. Tu entends le cliquetis métallique des volets qui remontent un à un, comme un orchestre qui s'accorde. Le balai d'un balayeur racle doucement le pavé, un son régulier et apaisant. Tu peux presque sentir la vibration des premiers métros sous tes pieds, un grondement lointain qui monte des profondeurs de la terre. Le vent léger caresse ton visage, apportant avec lui l'écho des premières livraisons, le bruit des chariots qui roulent sur les pavés. C'est une sensation de calme avant la tempête, une parenthèse où tu peux sentir la ville s'étirer, se préparer, comme un géant qui se réveille doucement.
Pour vraiment capter cette atmosphère, viens avant 8h du matin en semaine. Pas le week-end, c'est différent. Et ne te contente pas des boulevards principaux. Cherche les petites rues perpendiculaires ou les passages couverts qui débouchent dessus. Le Passage Jouffroy, par exemple, juste à côté du Musée Grévin. Entre-y tôt, avant que les boutiques n'ouvrent. La lumière y est douce, les bruits étouffés, et tu peux sentir le bois ancien et l'humidité des lieux. C'est une autre facette de ces boulevards, plus intime.
Si tu cherches un café pour prolonger cette ambiance matinale sans te faire avoir par les pièges à touristes, évite les grandes brasseries des boulevards. Cherche plutôt les petits cafés indépendants dans les rues adjacentes, comme la Rue du Faubourg Montmartre ou la Rue Montmartre. Ils ouvrent souvent plus tôt, servent un café de meilleure qualité et tu y verras plus de Parisiens qui démarrent leur journée. Demande un "café crème" et prends le temps d'observer, ou plutôt d'écouter et de sentir, l'agitation qui monte autour de toi. C'est là que tu auras l'impression d'être vraiment intégré.
À très vite sur les routes,
Léa from the road
Imagine le souffle de l'histoire sur ton visage dès les premiers pas. Tu vas sentir l'immense espace s'ouvrir devant toi, une grandeur à couper le souffle. C'est le début de notre aventure sur les Grands Boulevards, et pour commencer, je t'emmènerais directement devant l'Opéra Garnier. Tu perçois le froid de la pierre sous tes doigts si tu la touches, la complexité de ses sculptures même sans les voir, et le son des taxis qui glissent, mais qui semblent si petits face à cette architecture colossale. C'est un point de départ évident, facile d'accès par le métro, et qui donne tout de suite le ton de l'élégance parisienne.
Ensuite, l'ambiance change du tout au tout. Laisse-toi guider par le son de tes pas qui résonnent différemment, car nous allons nous faufiler dans les passages couverts, ces galeries secrètes qui coupent le souffle de la ville. Tu sentiras l'air changer, devenir plus doux, presque feutré, sous les verrières qui laissent passer une lumière filtrée, douce et enveloppante. On explorera le Passage Jouffroy, où l'odeur du vieux bois et des livres anciens se mêle parfois à celle du chocolat chaud. Juste en face, le Passage des Panoramas t'attend, un peu plus brut, avec le cliquetis des tasses de café. Le Musée Grévin est là si tu as le temps et l'envie de découvrir des figures historiques, mais perso, je garde mon énergie pour d'autres pépites qui donnent plus le pouls de Paris.
Puis, en sortant de ces cocons, tu te retrouves sur le Boulevard Montmartre. Écoute le brouhaha des terrasses, le va-et-vient des passants, c'est le cœur battant des théâtres qui animent ces avenues. Tu sentiras l'énergie de la foule autour de toi, le parfum des crêpes chaudes qui se mêle à l'odeur plus urbaine de l'asphalte. C'est ici que l'histoire du divertissement parisien a pris racine, et même sans voir les affiches lumineuses, tu perçois l'effervescence des lieux. Pas besoin de chercher un théâtre en particulier, juste de te laisser imprégner de cette ambiance unique, où chaque bâtiment semble avoir une histoire à raconter.
Après cette immersion dans le bouillonnement, il est temps de prendre une pause bien méritée. En avançant vers le Boulevard Poissonnière, tu trouveras des cafés et brasseries plus authentiques. Laisse-toi porter par l'odeur du café fraîchement moulu et le son des conversations animées, mais pas assourdissantes. C'est le moment idéal pour t'asseoir à une terrasse, sentir le soleil (si on a de la chance !) sur ton visage et te laisser imprégner du rythme parisien. Évite les pièges à touristes trop voyants avec des menus en dix langues ; cherche plutôt les endroits où les Parisiens semblent être des habitués. Un bon chocolat chaud ou un verre de vin, c'est ça, le vrai luxe ici.
En continuant ton chemin, l'ambiance change encore un peu, se faisant plus monumentale. Tu vas sentir la pierre ancienne sous tes doigts en approchant de la Porte Saint-Denis et, un peu plus loin, de la Porte Saint-Martin. Ces arcs de triomphe, moins connus que l'Arc de Triomphe de l'Étoile, sont pourtant chargés d'histoire. Tu perçois leur grandeur imposante, le vent qui s'engouffre parfois sous leurs arches, et le son des voitures qui résonne différemment sous ces passages séculaires. C'est une fin de parcours architecturale qui te ramène à une autre époque de Paris, celle des remparts et des portes royales, bien avant les boulevards que tu viens de parcourir.
Pour finir en beauté, et si l'énergie est toujours là, je te garderais une petite surprise pour la fin de journée. Imagine la lumière des réverbères qui commence à s'allumer, transformant l'atmosphère du quartier. On pourrait chercher un bar à cocktails caché dans une ruelle adjacente, ou simplement trouver un banc pour observer les gens et écouter la ville s'endormir doucement. Ou pourquoi pas, si l'envie te prend, tenter une place de dernière minute pour un spectacle dans un des théâtres que nous avons croisés. L'idée, c'est de laisser Paris t'envelopper dans sa magie nocturne, avec le doux murmure de la ville pour seule musique.
Léa, l'exploratrice des rues
Ah, les Grands Boulevards… Ce n'est pas juste une série de rues, c'est le pouls de Paris qui bat sous vos pieds. Imaginez-vous, là, au milieu de tout ça. Vous sentez cette effervescence ? C'est le mélange subtil du parfum des croissants chauds qui s'échappe d'une boulangerie voisine, se mêlant à l'odeur plus dense du café fraîchement moulu. L'air est vif, même en plein soleil, et porte le murmure incessant de la ville : des éclats de rire qui fusent d'une terrasse, le léger cliquetis des tasses sur les soucoupes, le frottement des pas sur le pavé ancien.
Vous marchez, et sous la paume de votre main, le fer forgé des balcons est frais, presque froid. Le bruit des voitures est un fond sonore constant, mais il est ponctué par la mélodie d'un accordéon lointain ou le bourdonnement des conversations qui montent des cafés. Vos yeux ne voient pas, mais votre corps sent la lumière. Elle danse sur les façades haussmanniennes, réchauffe votre peau un instant avant qu'un coin d'ombre ne vous enveloppe. C'est un ballet constant de sensations : le vent qui soulève un peu vos cheveux, la texture rugueuse d'un mur en pierre sous vos doigts, la douce vibration du sol quand un bus passe. C'est Paris qui se révèle, non pas en images, mais en sensations pures.
Pour les aspects pratiques, voici quelques astuces directes :
* Meilleur moment de la journée : Le matin, entre 9h et 11h, c'est l'idéal. La lumière est douce, les terrasses commencent à s'animer sans être bondées, et l'énergie de la ville se met en place. Sinon, la fin d'après-midi, vers 17h, quand les lumières s'allument et que l'ambiance devient plus vibrante, est aussi très sympa.
* Quand éviter la foule : Le midi en semaine et tout l'après-midi le week-end, surtout près des grands magasins. C'est le pic d'affluence. Les jours fériés et les périodes de soldes sont à proscrire si tu cherches la tranquillité.
* Combien de temps y passer : Pour une simple balade immersive et la découverte de quelques passages couverts, prévois 2 à 3 heures. Si tu veux flâner dans les passages, visiter le Musée Grévin ou faire du shopping, compte une bonne demi-journée.
* Ce qu'il faut zapper : Les restaurants de chaînes internationales qui bordent les boulevards principaux. Ils sont souvent chers et sans âme. Préfère t'aventurer dans les rues adjacentes ou les passages couverts pour des adresses plus authentiques.
* Astuces locales utiles :
* Cafés : Cherche les petits cafés cachés dans les passages couverts comme le Passage des Panoramas ou le Passage Jouffroy. Ils ont souvent plus de caractère. Pour une expérience brasserie classique, le Grand Café Capucines est une institution (mais un peu cher).
* Toilettes : Les grands magasins (Galeries Lafayette, Printemps) ont des toilettes propres et accessibles. Sinon, les Sanisettes publiques sont une option, mais prévois de la monnaie ou une carte Navigo pour certaines. Les cafés te laisseront souvent utiliser les leurs si tu consommes quelque chose.
* Transports : Le quartier est très bien desservi par le métro (lignes 8, 9, 3, 7). Descends aux stations "Grands Boulevards", "Richelieu - Drouot" ou "Opéra" pour être au cœur de l'action.
Olya from the backstreets