The convent's main church (catholicon or sobor), a blue-and-white building, is considered to be one of the architectural masterpieces of the Italian architect Francesco Bartolomeo Rastrelli, who also redesigned the Winter Palace, and created the Grand Catherine Palace (Yekaterininsky) in Tsarskoye Selo (Pushkin), the Grand Palace in Peterhof and many other major St. Petersburg landmarks. The Cathedral is the centerpiece of the convent, built by Rastrelli between 1748 and 1764. The projected bell-tower was to become the tallest building in St. Petersburg and, at the time, all of Russia. Elizabeth's death in 1762 prevented Rastrelli from completing this grand design. When Catherine II assumed the throne, it was found that the new Empress strongly disapproved of the baroque style, and funding that had supported the construction of the convent rapidly ran out. Rastrelli was unable to build the huge bell-tower he had planned and unable to finish the interior of the cathedral. The building was only finished in 1835 by Vasily Stasov with the addition of a neo-classical interior to suit the changed architectural tastes at the time. The cathedral was consecrated on 22 July 1835; its main altar was dedicated to the Resurrection and the two side altars were dedicated to St. Mary Magdalene and Righteous Elizabeth. The church was closed by the Soviet authorities in 1923. It was looted and allowed to decay until 1982, when it became a concert hall. The faculties of sociology, political science and international relations of the Saint Petersburg State University are located in some of the buildings surrounding the cathedral. In April 2015 Smolny Cathedral was returned to the Russian Orthodox Church, and will be converted back to its original purpose as a church. The nearby Smolny Institute is named after the convent. The name "Smolny" derives from the location. In the early days of St. Petersburg the place at the edge of the city where pitch ("smola" in Russian) was processed for use in shipbuilding and maintenance. As a result, the locale was called "smolny" - the place of pitch.

Smolny Cathedral (Smol'nyy Sobor) Tours and Tickets
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The convent's main church (catholicon or sobor), a blue-and-white building, is considered to be one of the architectural masterpieces of the Italian architect Francesco Bartolomeo Rastrelli, who also redesigned the Winter Palace, and created the Grand Catherine Palace (Yekaterininsky) in Tsarskoye Selo (Pushkin), the Grand Palace in Peterhof and many other major St. Petersburg landmarks. The Cathedral is the centerpiece of the convent, built by Rastrelli between 1748 and 1764. The projected bell-tower was to become the tallest building in St. Petersburg and, at the time, all of Russia. Elizabeth's death in 1762 prevented Rastrelli from completing this grand design. When Catherine II assumed the throne, it was found that the new Empress strongly disapproved of the baroque style, and funding that had supported the construction of the convent rapidly ran out. Rastrelli was unable to build the huge bell-tower he had planned and unable to finish the interior of the cathedral. The building was only finished in 1835 by Vasily Stasov with the addition of a neo-classical interior to suit the changed architectural tastes at the time. The cathedral was consecrated on 22 July 1835; its main altar was dedicated to the Resurrection and the two side altars were dedicated to St. Mary Magdalene and Righteous Elizabeth. The church was closed by the Soviet authorities in 1923. It was looted and allowed to decay until 1982, when it became a concert hall. The faculties of sociology, political science and international relations of the Saint Petersburg State University are located in some of the buildings surrounding the cathedral. In April 2015 Smolny Cathedral was returned to the Russian Orthodox Church, and will be converted back to its original purpose as a church. The nearby Smolny Institute is named after the convent. The name "Smolny" derives from the location. In the early days of St. Petersburg the place at the edge of the city where pitch ("smola" in Russian) was processed for use in shipbuilding and maintenance. As a result, the locale was called "smolny" - the place of pitch.
Overview
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Accessibility for wheels
- Not accessible for wheelchair and Electric scooters
- Access with Portable Ramp
- Special Parking
- Accessible elevator
- Accessible Toilet
Access for Seniors
- Recommended time for visit 1 hour
- Recommended time for visit 2 hours
Access for Visually Impaired
- Braille description
- Audio Guide
- Place has Special Guide Service
- Service animals permitted
Imaginez-vous debout devant cette cathédrale, le Smolny. Pas juste un bâtiment, mais une présence. D'abord, le silence. Non pas un silence vide, mais un silence chargé, immense, qui semble absorber tous les bruits de la ville. Vous le sentez vous envelopper, comme une couverture de velours. Puis, l'échelle. Vous levez la tête, et vos yeux, même s'ils ne voient pas, *sentent* l'immensité des murs bleu pastel, des dômes blancs qui s'élancent vers le ciel. C'est une sensation d'être à la fois minuscule et pourtant connecté à quelque chose de monumental. L'air est frais, presque pur, comme si l'espace lui-même respirait, et chaque souffle emporte avec lui un écho lointain, peut-être celui de siècles passés. C'est une sensation qui commence aux pieds, monte le long de la colonne vertébrale et vous laisse le cou tendu, le cœur un peu serré par tant de grandeur.
En franchissant les portes, même si elles sont invisibles, vous percevez le changement d'atmosphère. Le sol sous vos pieds est froid, lisse, et l'écho de vos pas, même les plus légers, résonne et se perd dans la hauteur des voûtes. C'est un son qui ne s'éteint jamais vraiment, qui continue de vibrer dans l'air, vous rappelant l'immensité du lieu. Vous sentez l'odeur caractéristique de la pierre ancienne, de l'encens peut-être, et de l'air confiné mais purifié par des siècles de prières et de silences. C'est une odeur qui pénètre vos poumons, s'installe et vous donne l'impression d'être ancré dans le temps. Vous pouvez presque sentir la texture rugueuse des murs, la fraîcheur des colonnes, même sans les toucher. Cette sensation de solennité, de paix profonde, s'infiltre en vous, calme le rythme de votre cœur et vous laisse avec une impression durable de sérénité, comme si l'âme du lieu vous avait touché.
Pour s'y rendre, le plus simple est de prendre le métro jusqu'à la station Chernyshevskaya, puis de marcher environ 20-25 minutes ou de prendre un bus local. Les bus 46 et 136 passent à proximité. La cathédrale est généralement ouverte de 10h à 18h, mais les horaires peuvent varier, surtout en basse saison ou lors d'événements spéciaux, donc un rapide coup d'œil sur leur site officiel avant de partir est toujours une bonne idée. Il y a un petit droit d'entrée pour la cathédrale elle-même, et parfois un coût supplémentaire si vous souhaitez monter au clocher (quand il est ouvert), ce qui vaut vraiment le coup pour la vue.
Si tu y vas, essaie d'y être tôt le matin ou en fin d'après-midi. La lumière est incroyable à ces moments-là, elle crée des jeux d'ombres et de reflets qui amplifient encore la grandeur du lieu. Ne manque pas de faire le tour complet de l'extérieur pour apprécier l'architecture baroque unique de Rastrelli sous tous les angles. Il y a aussi un petit parc juste à côté, le Jardin de Tauride, parfait pour une balade après ta visite si tu as le temps. C'est un endroit magnifique pour se poser et digérer l'expérience.
Léa sur la route
Imaginez un ciel d’un bleu profond, si intense qu’il semble avoir été peint à la main. C’est la première chose qui vous frappe en arrivant au site de la Cathédrale de Smolny, à Saint-Pétersbourg. Vous levez les yeux, et vos yeux suivent les courbes douces des dômes d’un blanc immaculé, parsemés de détails dorés qui scintillent même sous le plus doux des soleils. L'air y est souvent plus frais, plus pur que dans le centre-ville, comme si le lieu respirait une autre époque. Vous entendez peut-être le vent léger siffler doucement entre les clochers, ou le lointain murmure de la Neva. C'est une sensation d'immensité et de sérénité qui vous enveloppe, un sentiment de grandeur qui vous fait vous sentir tout petit, mais incroyablement connecté à l'histoire.
Pour vous approcher de cette merveille, vous emprunterez des allées larges et bien entretenues. Le pavé est en général plat et régulier autour du bâtiment principal de la cathédrale, un mélange de dalles et de petits pavés qui, bien que parfois un peu inégaux par endroits, restent tout à fait praticables. Il y a une légère pente pour monter vers l'entrée principale du complexe, mais elle est très douce, presque imperceptible si vous prenez votre temps. Les espaces extérieurs sont vastes, offrant amplement de place pour se déplacer sans se sentir bousculé, même les jours où il y a un peu plus de monde. C'est un endroit où l'on peut prendre son souffle et admirer l'architecture sans la pression de la foule.
Une fois que vous souhaitez entrer dans la Cathédrale elle-même – qui, rappelez-vous, est aujourd'hui une salle de concert et d'exposition plus qu'une église en fonction – vous rencontrerez quelques marches. Elles sont assez larges mais il n'y a pas de rampe d'accès directe pour les fauteuils roulants à l'entrée principale. Une fois à l'intérieur, l'espace est absolument gigantesque. Imaginez une acoustique incroyable où le moindre son résonne, une odeur de vieille pierre et parfois de cire d'abeille si une exposition est en cours. Les allées sont très larges, permettant une circulation aisée. Les foules y sont rarement denses, ce qui est un vrai plus : vous avez toute la place pour vous imprégner de l'atmosphère sans la sensation d'être oppressé.
Alors, est-ce que la Cathédrale de Smolny est gérable pour les personnes à mobilité réduite ou en fauteuil roulant ? C'est un défi, mais pas insurmontable avec un peu d'aide. L'accès aux extérieurs du site est tout à fait faisable grâce aux allées larges et à la pente douce. Le principal obstacle reste les marches à l'entrée de la cathédrale. Il n'y a pas d'infrastructure dédiée comme des rampes ou des ascenseurs pour accéder à l'intérieur. Cependant, j'ai souvent constaté que les Russes sont étonnamment serviables. Si vous avez besoin d'aide pour franchir les marches, n'hésitez pas à demander. Il est très probable que quelqu'un vous propose spontanément son aide pour soulever un fauteuil ou vous tendre une main. L'esprit est souvent à l'entraide, surtout dans des lieux d'une telle grandeur où l'on prend son temps.
Olya from the backstreets
Imaginez-vous un matin, très tôt, quand Saint-Pétersbourg se réveille doucement, bien avant le ballet des bus touristiques. Vous marchez vers le Smolny, pas quand les foules sont là, mais quand le silence est encore roi. C'est le moment où les habitants, ceux qui connaissent le lieu par cœur, ressentent vraiment l'âme de cet endroit. Vous sentez l'air frais et piquant, l'humidité de la Neva toute proche, avec parfois une pointe de verdure si c'est le printemps, ou cette odeur si particulière de feuilles mortes et de terre humide en automne. Le froid de l'hiver, lui, a une odeur métallique, presque purifiante, qui vous saisit les poumons. Vous entendez le vent siffler doucement autour des bulbes azur de la cathédrale, un son qui résonne étrangement dans la cour immense et vide. C'est un murmure, presque une respiration de la ville, avant que le premier tram ne vienne briser la quiétude au loin. La pierre bleue et blanche sous vos doigts est froide, lisse, vous connectant à des siècles d'histoire. C'est un moment de sérénité absolue, où le Smolny ne parle qu'à vous, dans un écho feutré.
Pour y aller, le plus simple est de prendre le métro jusqu'à la station Chernychevskaya (Чернышевская), puis de là, c'est un court trajet en bus ou en taxi. Si vous voulez vraiment vivre cette ambiance matinale unique, visez d'arriver juste avant l'ouverture officielle de la cathédrale. L'accès à la cour et aux jardins est libre, ce qui vous permet de vous imprégner de l'atmosphère environnante. L'entrée à la cathédrale est payante, mais l'expérience en vaut la peine. Et surtout, ne manquez pas de monter au campanile si l'option est disponible – la vue panoramique sur Saint-Pétersbourg et la Neva est imprenable, et c'est une autre façon de saisir l'échelle majestueuse de ce lieu.
Olya des ruelles cachées
Imagine-toi, tu arrives à Saint-Pétersbourg, et je te chuchote : "Il faut absolument que tu voies Smolny." Mais pas juste le voir, le *ressentir*. On va commencer notre découverte un peu à distance, histoire de le laisser se révéler. Tu marches, et soudain, au détour d'une rue, une explosion de bleu ciel et de blanc immaculé remplit ton champ de vision. Ce n'est pas juste un bâtiment, c'est comme une vision qui se découpe dans l'air. Tu sens l'espace s'ouvrir devant toi, l'air semble plus léger, plus pur, comme si l'immensité de l'édifice aspirait tout le bruit et le chaos du monde autour. C'est ça, la première impression de Smolny : un souffle coupé, une sorte de silence visuel qui te prend aux tripes.
En t'approchant, tu vas sentir l'ampleur du lieu. Les pavés sous tes pieds te guident vers la place immense qui l'entoure. L'air est frais, même un jour ensoleillé, et tu entends tes propres pas résonner légèrement dans le vaste espace. Chaque pas te rapproche de ces tours élancées, de ces dômes qui semblent vouloir caresser le ciel. Tu peux presque sentir la texture froide et lisse de la pierre blanche qui contraste avec le bleu éclatant des coupoles. C'est un ballet architectural, une danse de formes et de couleurs qui t'enveloppe complètement. Prends ton temps pour faire le tour, pour capter chaque angle, chaque détail de cette façade si particulière. C'est ici que tu captes le mieux son âme, avant même de franchir le seuil.
Une fois à l'intérieur, le contraste est saisissant. La lumière change, elle se tamise, filtrée par les hautes fenêtres. Tu entends le silence, un silence profond et résonnant, seulement brisé par le léger grincement d'une porte ou le murmure des quelques visiteurs. L'air est plus frais encore, il porte une odeur d'histoire, de pierre ancienne et de grandeur. Tu lèves la tête, et l'espace s'étend vers le haut, vertigineusement. Tu te sens tout petit, absorbé par la majesté des lieux, par la hauteur des voûtes et la simplicité élégante du décor. Il n'y a pas l'opulence dorée d'autres églises russes, mais une pureté qui te touche différemment. C'est un espace qui invite à la contemplation, où chaque bruit est amplifié, chaque sensation décuplée.
Et pour le grand final, il faut absolument monter au clocher. Oui, ça va te demander un petit effort, quelques centaines de marches en colimaçon, parfois un peu étroites. Tu vas sentir tes muscles chauffer, tu vas peut-être être un peu essoufflé, et tu entendras le son de ta propre respiration s'accélérer dans l'escalier qui monte sans fin. Mais quand tu arrives en haut, quand l'air frais et vif te gifle le visage, quand le vent s'engouffre autour de toi, c'est une récompense incroyable. Tu sens l'immensité de Saint-Pétersbourg qui s'étale à tes pieds. Tu peux "voir" la Neva sinuer, les toits de la ville, les autres dômes lointains. C'est une perspective unique, un sentiment de liberté et de domination sur le paysage qui te coupe le souffle. C'est le moment où Smolny te révèle toute la ville.
Pour que ta visite soit parfaite, je te conseille d'arriver le matin, juste à l'ouverture. Il y aura moins de monde et tu pourras vraiment t'imprégner de l'atmosphère. Le chemin idéal, c'est celui qu'on a fait : tu commences par une approche lente, tu te laisses surprendre par l'immensité extérieure, tu fais le tour complet du bâtiment. Ensuite, tu entres, tu prends le temps d'absorber le calme et la grandeur de l'intérieur. Et enfin, tu grimpes au clocher pour la vue panoramique. Ce que je te recommande de "sauter" ? L'idée de juste y passer en coup de vent pour une photo rapide. Smolny, ça se vit, ça se ressent, ça se prend en pleine face. Ne te presse pas, laisse-le t'envelopper. Il n'y a pas de fioritures inutiles à l'intérieur, juste l'essentiel, alors concentre-toi sur l'espace, la lumière.
Max in motion
Imagine-toi au cœur de Saint-Pétersbourg. Tu marches, et soudain, elle apparaît. Pas juste un bâtiment, mais une présence. Laisse tes yeux balayer l'immensité de cette cathédrale bleue et blanche, le Smolny. Tu sens peut-être la brise fraîche de la Neva, et le silence qui t'enveloppe, seulement brisé par le battement de ton propre cœur face à une telle grandeur. C'est une architecture qui respire, qui te tire vers le haut, vers les cieux. Le froid des pavés sous tes pieds te rappelle que tu es bien ancré, mais ton esprit, lui, s'élève déjà.
Puis, tu franchis le seuil. L'air change, il devient plus frais, plus calme, imprégné d'une histoire séculaire. Le son de tes pas résonne doucement sur le marbre, un écho qui te suit. Imagine la lumière qui filtre à travers les hautes fenêtres, non pas une lumière directe, mais douce, presque diffuse, qui caresse les murs et révèle la finesse des détails. Tu sens la fraîcheur de l'air sur ta peau, le silence est profond, parfois rompu par le lointain murmure d'un autre visiteur, ou le grincement d'une porte ancienne. C'est une sensation d'humilité et d'émerveillement qui t'envahit, comme si le temps ralentissait juste pour toi, te permettant d'absorber chaque nuance de cet espace sacré.
Maintenant, pour que ta visite soit parfaite et sans tracas, voici quelques astuces directes :
* Meilleur moment de la journée : Tôt le matin, juste après l'ouverture. La lumière est magnifique pour les photos, et l'atmosphère est plus sereine.
* Pour éviter les foules : Privilégie les jours de semaine, surtout en milieu de matinée ou en fin d'après-midi. Les week-ends sont souvent plus animés.
* Combien de temps y passer : Prévois 1h à 1h30 pour explorer l'intérieur et admirer l'extérieur sans te presser. Si tu montes au clocher (quand il est ouvert), ajoute 30-45 minutes.
* Ce qu'on peut "sauter" si le temps presse : Si ton temps est compté et que tu as déjà visité d'autres cathédrales russes, tu peux te concentrer sur l'architecture extérieure et l'entrée principale sans forcément explorer chaque recoin de l'intérieur. Les boutiques de souvenirs ne sont pas non plus un incontournable absolu.
* Conseils locaux utiles :
* Toilettes : Il y a des toilettes publiques à l'extérieur, souvent près de l'entrée, mais elles peuvent être rudimentaires. Mieux vaut prévoir.
* Café : Il n'y a pas de café directement *dans* la cathédrale, mais tu trouveras quelques petits cafés locaux sympas dans les rues avoisinantes pour une pause chaude.
* Accès : La station de métro la plus proche est "Chernyshevskaya", puis tu devras marcher environ 20-25 minutes ou prendre un bus/tram. Les transports en commun sont efficaces.
* Billets : Les billets s'achètent sur place à l'entrée. Vérifie les horaires d'ouverture car ils peuvent varier.
Olya from the backstreets


