Les pistes sont majoritairement en terre compactée ou gravier, suffisamment larges pour les véhicules de safari. Elles suivent les légères ondulations du terrain, offrant des pentes douces. Ces chemins délimitent un parcours unique et obligatoire. Ils dirigent les visiteurs à travers les enclos animaliers sans déviation possible.

Fin de printemps ou début d'automne, l'air y est plus frais et moins étouffant. Les sons naturels des animaux prédominent, loin de l'agitation estivale. Moins nombreux, les visiteurs adoptent une ambiance sereine et respectueuse. Cette quiétude favorise une observation profonde des espèces.

Salut les amis voyageurs, prêts pour une immersion totale ?

Oubliez les cages, ici, l'horizon s'étire à perte et l'air sent la terre chaude. À Badoca Safari Park, dans le district de Setúbal, on ne traverse pas, on *vit* le safari. À bord d'un 4x4 qui tangue doucement sur les pistes poussiéreuses, on se retrouve face à des zèbres aux rayures parfaites, des girafes élégantes qui broutent nonchalamment et des autruches aux allures comiques, toutes évoluant dans des espaces semi-libres qui rappellent les vastes savanes africaines. Le soleil portugais réchauffe la peau, le vent léger apporte des murmures lointains – peut-être le cri d'une antilope ou le froissement des herbes hautes. Ce n'est pas un spectacle, c'est une observation privilégiée de la vie sauvage, où chaque virage révèle une nouvelle scène, un nouveau comportement fascinant.

C'est justement lors d'une de ces approches que l'on comprend la vraie valeur de Badoca. Imaginez : notre 4x4 s'arrête, et une girafe majestueuse, sortie de nulle part, s'approche si près que ses yeux curieux semblent nous percer. Le silence s'est fait dans le véhicule, rompu seulement par les chuchotements émerveillés des enfants, dont le mien, Liam. Il a pointé du doigt, les yeux grands ouverts, et a simplement murmuré : "Maman, c'est comme dans les films !" Ce moment suspendu, où la nature sauvage rencontre la curiosité humaine, ce n'était pas juste une visite. C'était une étincelle, une rencontre qui a éveillé en lui une passion pour la faune et l'importance de sa conservation, bien au-delà de ce qu'aucun livre n'aurait pu accomplir.

Alors, prêts à vivre votre propre aventure sauvage ? À très vite pour de nouvelles évasions !

Le point d'arrêt privilégié pour les photos est souvent près des girafes, où leur envergure se révèle pleinement. Cadrez-les avec la savane artificielle pour une immersion ou isolez leur cou élégant sur un ciel dégagé. Les vastes plaines des zèbres et gnous offrent des compositions dynamiques lors de leurs mouvements de groupe. La lumière dorée du matin, juste après l'ouverture, sublime les textures animales et crée des ombres spectaculaires.

Le concept de safari en camion offre une perspective unique au Portugal. Cependant, la diversité animale est très limitée et certains enclos paraissent exigus. Le rapport qualité-prix est discutable, le tour étant expéditif. La surprise fut de constater la léthargie de plusieurs animaux, soulevant des questions.

Pour louer un fauteuil roulant ou un scooter de mobilité près de Badoca, contactez l'Ortopedia Santiago à Santiago do Cacém. Il est préférable de les appeler directement pour connaître la disponibilité et les tarifs exacts, qui varient selon la durée. Ils offrent généralement la location à la journée ou à la semaine, avec possibilité de retrait sur place ou de livraison. Les grandes pharmacies de la région de Santiago do Cacém ou Grândola peuvent aussi proposer ce service ou vous orienter.

À bord d'un véhicule, on traverse de vastes plaines où girafes et zèbres se côtoient en liberté. On peut apercevoir une autruche courir à vive allure ou un rhinocéros se prélasser. Une promenade à pied permet d'approcher des lémuriens curieux ou d'observer des oiseaux exotiques en volière. Des démonstrations éducatives mettent en scène des rapaces en plein vol ou des otaries agiles.

Prêts pour une escapade sauvage au cœur du Portugal ?

Le moteur du véhicule de safari ronronne doucement, annonçant l'immersion. Dès les premières pistes poussiéreuses de Badoca, l'air s'emplit d'une chaleur sèche, portant des effluves de terre et d'herbe rase. Des girafes, majestueuses, étirent leurs cous graciles vers les cimes clairsemées des chênes-lièges, leurs silhouettes se découpant sur le bleu intense du ciel. Plus loin, des zèbres paissent en groupes serrés, leurs rayures vibrantes se fondant et se distinguant à la fois dans le paysage ocre. On aperçoit des rhinocéros, massifs et impassibles, évoluant avec une lenteur calculée, tandis que des autruches, curieuses, observent le passage des visiteurs d'un œil vif. Le vent léger apporte parfois le murmure des feuillages ou le cri lointain d'un animal, créant une symphonie naturelle qui enveloppe complètement l'expérience. L'horizon s'étend, ponctué d'acacias et de roches, offrant un tableau d'Afrique transposé en Alentejo. Mais tendez l'oreille attentivement, au-delà du ronronnement du moteur et des cris d'oiseaux. Un détail souvent manqué est le son unique des zèbres : un aboiement rauque, presque canin, qu'ils utilisent pour communiquer, bien loin du hennissement équin attendu.

J'espère que cette petite évasion vous a plu ! À très vite pour de nouvelles découvertes.

Les animaux du Badoca Safari Park peuvent être imprévisibles ; restez impérativement à l'intérieur des véhicules avec les fenêtres fermées. Ne nourrissez jamais les espèces, cela altère leur comportement naturel et peut provoquer des réactions agressives. En période de forte chaleur, prévoyez une hydratation suffisante et une protection solaire pour éviter le coup de chaud. Suivez scrupuleusement toutes les consignes de sécurité du personnel du parc pour une visite sans incident.

Les passionnés d'oiseaux y trouveront un intérêt limité, car le parc est centré sur la faune africaine. Cependant, des autruches, émeus et diverses espèces aquatiques sont observables, leurs cris distincts parfois audibles. Les zones périphériques des enclos les moins fréquentés offrent les meilleurs points d'observation paisibles. Visitez tôt le matin ou en fin d'après-midi pour une activité aviaire accrue et moins de foule.