The State Hermitage Museum (Russian: Госуда́рственный Эрмита́ж, tr. Gosudárstvennyj Ermitáž, IPA: [ɡəsʊˈdarstvʲɪnɨj ɪrmʲɪˈtaʂ]) is a museum of art and culture in Saint Petersburg, Russia. The second-largest art museum in the world, it was founded in 1764 when Empress Catherine the Great acquired an impressive collection of paintings from the Berlin merchant Johann Ernst Gotzkowsky. The museum celebrates the anniversary of its founding each year on 7 December, Saint Catherine's Day. It has been open to the public since 1852. Its collections, of which only a small part is on permanent display, comprise over three million items (the numismatic collection accounts for about one-third of them), including the largest collection of paintings in the world. The collections occupy a large complex of six historic buildings along Palace Embankment, including the Winter Palace, a former residence of Russian emperors. Apart from them, the Menshikov Palace, Museum of Porcelain, Storage Facility at Staraya Derevnya, and the eastern wing of the General Staff Building are also part of the museum. The museum has several exhibition centers abroad. The Hermitage is a federal state property. Since July 1992, the director of the museum has been Mikhail Piotrovsky. Of the six buildings in the main museum complex, five—namely the Winter Palace, Small Hermitage, Old Hermitage, New Hermitage, and Hermitage Theatre—are open to the public. The entrance ticket for foreign tourists costs more than the fee paid by citizens of Russia and Belarus. However, entrance is free of charge the third Thursday of every month for all visitors, and free daily for students and children. The museum is closed on Mondays. The entrance for individual visitors is located in the Winter Palace, accessible from the Courtyard.

State Hermitage Museum Tours and Tickets
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The State Hermitage Museum (Russian: Госуда́рственный Эрмита́ж, tr. Gosudárstvennyj Ermitáž, IPA: [ɡəsʊˈdarstvʲɪnɨj ɪrmʲɪˈtaʂ]) is a museum of art and culture in Saint Petersburg, Russia. The second-largest art museum in the world, it was founded in 1764 when Empress Catherine the Great acquired an impressive collection of paintings from the Berlin merchant Johann Ernst Gotzkowsky. The museum celebrates the anniversary of its founding each year on 7 December, Saint Catherine's Day. It has been open to the public since 1852. Its collections, of which only a small part is on permanent display, comprise over three million items (the numismatic collection accounts for about one-third of them), including the largest collection of paintings in the world. The collections occupy a large complex of six historic buildings along Palace Embankment, including the Winter Palace, a former residence of Russian emperors. Apart from them, the Menshikov Palace, Museum of Porcelain, Storage Facility at Staraya Derevnya, and the eastern wing of the General Staff Building are also part of the museum. The museum has several exhibition centers abroad. The Hermitage is a federal state property. Since July 1992, the director of the museum has been Mikhail Piotrovsky. Of the six buildings in the main museum complex, five—namely the Winter Palace, Small Hermitage, Old Hermitage, New Hermitage, and Hermitage Theatre—are open to the public. The entrance ticket for foreign tourists costs more than the fee paid by citizens of Russia and Belarus. However, entrance is free of charge the third Thursday of every month for all visitors, and free daily for students and children. The museum is closed on Mondays. The entrance for individual visitors is located in the Winter Palace, accessible from the Courtyard.
0$
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3000$
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Accessibility for wheels
- Accessible elevator
- Easy without assistance
- Step-Free
- Wide doors >= 75 cm and < 90 cm
- Path from drop-off location to entrance: Flat and smooth
- Accessible Toilet
Access for Seniors
- Recommended time for visit мore than 3 hours
Imagine-toi devant le Palais d'Hiver, cette masse turquoise et or qui s'étire à l'infini le long de la Neva. Tes yeux peinent à en saisir la démesure. Tu sens l'air frais de Saint-Pétersbourg sur ton visage alors que tu t'approches, et déjà, une vibration monte du sol, une sorte de murmure lointain qui semble porter l'écho de siècles passés. Chaque pas sur les pavés résonne, amplifié par l'immensité des lieux, te rappelant à quel point tu es minuscule face à cette grandeur. Une fois passé l'entrée, l'air change, il devient plus doux, plus lourd, imprégné d'une histoire silencieuse. Tu entends le léger froissement des vêtements des autres visiteurs, le doux glissement de leurs pieds sur le marbre, un ballet feutré qui t'invite à la contemplation.
Tu marches, et le marbre froid sous tes pieds te guide de salle en salle. Chaque porte franchie est une plongée plus profonde dans un autre temps. Tu sens la douce odeur du bois ancien, du vernis patiné et d'une poussière d'or qui semble flotter dans l'air, comme si les œuvres elles-mêmes respiraient leur propre essence. Tes yeux cherchent, se perdent dans l'or des cadres, la profondeur des tableaux, les détails infinis des sculptures. Le silence n'est jamais complet, il est parsemé de murmures respectueux, de soupirs d'admiration, de pas qui s'éloignent et se rapprochent. C'est comme si les murs eux-mêmes te racontaient des histoires, te chuchotaient des secrets d'empires et d'artistes. Tu lèves la tête, et les plafonds peints semblent t'aspirer, te donner le vertige d'une beauté sans fin, une sensation qui te prend aux tripes et te laisse le souffle coupé.
Alors, comment apprivoiser ce géant ? Mon conseil, c'est de ne pas tenter de tout voir. C'est impossible et épuisant. Achète tes billets en ligne, bien à l'avance, ça t'évitera une attente interminable. Arrive à l'ouverture ou en fin de journée, il y a un peu moins de monde. Choisis deux ou trois sections qui t'intéressent vraiment (les Impressionnistes, les salles d'apparat, l'art antique, etc.) et concentre-toi là-dessus. Tu pourras toujours revenir pour le reste. Pense à de bonnes chaussures, tu vas marcher, beaucoup.
Pour les aspects pratiques : le vestiaire est obligatoire à l'entrée, prévois d'y laisser ton sac à dos et ton manteau. Il y a des cafés à l'intérieur, mais ils sont souvent bondés et chers, donc une petite bouteille d'eau dans ton sac (avant le vestiaire !) peut être utile. Les toilettes sont indiquées, mais parfois un peu éloignées. Le musée est très bien desservi par le métro, la station Admiralteyskaya est la plus proche, à quelques minutes à pied. Prévois au moins 3 à 4 heures pour une visite ciblée, mais facilement une journée entière si tu te laisses porter.
Léa sur la route
Imagine que tu te tiens devant cette immensité. Le Palais d'Hiver, c'est bien plus qu'un bâtiment, c'est une respiration. Tu sens l'air frais, parfois mordant, de la Neva qui porte avec lui des siècles d'histoires. Les pavés sous tes pieds, même avant d'entrer, te racontent le passage des calèches royales. Tu entends le murmure des foules, un mélange d'admiration et d'impatience. Et puis tu franchis le seuil. C'est là que le monde change. La lumière, d'abord tamisée, explose dans des galeries dorées, et l'odeur du vieux bois, de la pierre froide et des milliers d'années d'art t'enveloppe. Tu sens la majesté des lieux, presque comme une pression douce sur tes épaules, t'invitant à te perdre dans ce labyrinthe de beauté.
À l'intérieur, c'est un voyage sans fin. Tu marches de salle en salle, tes pas résonnent parfois sur des parquets anciens qui craquent légèrement, ou s'amortissent sur d'épais tapis. Les plafonds sont si hauts qu'ils semblent toucher le ciel, et les murs sont saturés de couleurs, de visages, d'histoires. Tu peux te sentir petit, presque insignifiant face à tant de grandeur, mais aussi incroyablement connecté à l'humanité. Chaque pièce est une nouvelle découverte, un nouveau souffle. Il y a des moments où tu t'arrêtes, juste pour absorber le silence relatif, le poids de l'histoire, la lumière qui danse sur les toiles. Mais ce n'est pas une promenade de santé, c'est une véritable expédition.
Alors, parlons pratique pour y naviguer si tu as des défis de mobilité. Le Hermitage est immense, et c'est le point clé. À l'intérieur, les sols sont majoritairement plats et lisses : de magnifiques parquets bien entretenus, du marbre poli, ou de la pierre. C'est globalement très roulant pour un fauteuil. Les couloirs sont généralement très larges, surtout dans les galeries principales, ce qui est un vrai plus. Les pentes sont rares et très douces, comme des rampes d'accès pour passer d'un niveau à l'autre ou pour des petites dénivelées entre salles. Le plus gros défi, ce sont les foules. Le musée est incroyablement populaire, et même si les couloirs sont larges, certaines salles, surtout celles des chefs-d'œuvre, peuvent être très denses. Attends-toi à devoir slalomer un peu. En général, les gens sont respectueux et compréhensifs si tu es en fauteuil, ils te laissent passer. Le personnel est formé et aide volontiers, n'hésite pas à demander.
Pour optimiser ta visite, arrive à l'ouverture ou en fin de journée, tu auras un peu plus d'espace. Il y a des ascenseurs, mais ils ne desservent pas toutes les sections et peuvent être un peu cachés, demande au personnel dès l'entrée pour une carte des ascenseurs ou une aide spécifique. Le musée met aussi des fauteuils roulants à disposition gratuitement sur demande à l'accueil principal. Prépare-toi à de longues distances à parcourir à l'intérieur, même avec un fauteuil, car les collections sont réparties sur plusieurs bâtiments interconnectés. Prévois des pauses régulières. Et surtout, n'essaie pas de tout voir en une seule fois, c'est impossible. Choisis quelques sections qui t'intéressent le plus et profite pleinement de celles-ci. C'est une expérience qui se savoure, pas une course.
Léa en chemin
Imagine-toi sur la Place du Palais, pas seulement en train de voir l'Ermitage, mais de *ressentir* son immense présence. Tu marches vers lui, et à chaque pas, les pavés sous tes pieds racontent des histoires d'empereurs et de révolutions. Tu tends la main, tes doigts effleurant la pierre froide et lisse du Palais d'Hiver, sentant le poids de l'histoire dans sa texture même. L'air autour de toi, surtout par un matin frais, charrie un mélange unique du souffle frais de la Neva et du parfum doux et léger des vieux tilleuls du Jardin d'Été, un murmure des saisons passées.
Mais il y a un secret, un bourdonnement de vie discret avant l'arrivée des foules. Penche-toi près des grandes arcades, surtout par un matin calme, et laisse tes sens te guider. Tu pourrais bien le capter : un arôme subtil et terreux, un mélange de vieille pierre et de quelque chose qui rappelle vaguement… un foyer chaleureux et réconfortant. C’est le murmure des chats de l'Ermitage, ces gardiens silencieux des niveaux inférieurs du musée. Ce n'est pas l'odeur de leur nourriture elle-même, mais le fantôme persistant de leur rituel matinal, un parfum doux, presque imperceptible, porté par les courants d'air des anciennes caves alors que leurs gardiens commencent leurs rondes. C’est une odeur qui te dit que ce n'est pas juste un musée ; c'est une entité vivante et respirante, soignée par des mains et des pattes invisibles, bien avant que les premiers touristes ne franchissent ses portes.
Pour le côté pratique, arriver tôt est essentiel. Oublie les longues files d'attente. Mon conseil ? Achète tes billets en ligne bien à l'avance. Sérieusement, fais-le. Le site officiel est ton ami. Vise d'être là *avant* l'ouverture. Même si tu ne peux pas entrer tout de suite, cette atmosphère d'avant-ouverture, ressentir l'anticipation tranquille, fait partie de l'expérience. Une fois à l'intérieur, dirige-toi directement vers l'entrée principale, mais ne traîne pas. Avance avec détermination. Chaque minute compte si tu veux devancer la foule vers les chefs-d'œuvre.
Naviguer dans cet endroit peut être accablant. Pense-y comme ça : tu ne peux pas tout voir. Choisis tes batailles. Si tu es fan d'art européen, le deuxième étage, surtout les maîtres italiens et hollandais, est un incontournable. Tu adores les Impressionnistes ? Dirige-toi vers le Bâtiment de l'État-Major de l'autre côté de la place – ton billet couvre les deux, mais il est souvent négligé. N'essaie pas de te précipiter dans chaque salle. Trouve une peinture, une sculpture, une exposition qui te parle vraiment, et passe du temps là-bas. Laisse-la t'imprégner. La qualité plutôt que la quantité, toujours. Et souviens-toi, des chaussures confortables sont non négociables. Tu vas marcher des kilomètres.
Léa from the road
Salut voyageur !
Si tu te prépares à plonger dans le Hermitage de Saint-Pétersbourg, oublie les guides et les plans rigides. C'est une expérience qui se vit, une symphonie de sensations. Imagine-toi devant cette façade vert menthe et or, immense, qui semble respirer l'histoire. Tes pas t'entraînent naturellement vers l'entrée principale, et la première chose que tu vas sentir, c'est l'ampleur. L'air à l'intérieur est différent, plus dense, comme imprégné de siècles de secrets. Mon conseil pour commencer, c'est de te laisser porter par l'escalier Jordan. Ne te précipite pas. Tu entends déjà le léger écho des murmures autour de toi ? Chaque marche est large, majestueuse, et la lumière qui filtre des fenêtres inonde les marbres et les dorures. Laisse tes yeux s'habituer à l'or partout, aux fresques au plafond qui semblent te raconter des histoires silencieuses. Ce n'est pas juste un escalier, c'est une entrée en matière qui te prépare à l'immensité de ce qui t'attend.
Une fois en haut, tu vas te retrouver dans un labyrinthe de salles grandioses. Respire profondément. L'odeur du vieux bois ciré, des parquets qui craquent sous les pas des milliers de visiteurs avant toi, c'est l'âme du lieu. Tes doigts ne peuvent pas toucher les œuvres, bien sûr, mais imagine la texture froide et lisse des colonnes de marbre, ou la richesse des soies des tapisseries. Dirige-toi d'abord vers les salles d'apparat, comme la Salle du Trône ou la Salle Malachite. Ce sont des explosions de couleurs et de détails, où chaque centimètre carré est orné. Tu vas sentir cette opulence, presque écrasante, mais aussi la virtuosité des artisans. Écoute le son des pas des autres visiteurs, un murmure constant qui te rappelle que tu partages ce moment avec des gens du monde entier, tous absorbés par la même beauté. C'est un ballet silencieux.
Quand tu passeras aux collections d'art, notamment la peinture italienne, ne te sens pas obligé de t'attarder sur chaque tableau. C'est là que tu peux "sauter" un peu. Si la période te parle moins, ou si tu sens une certaine fatigue visuelle, n'hésite pas à passer plus rapidement. L'Hermitage est immense, et tu dois gérer ton énergie. Par exemple, les premières salles avec de nombreuses icônes ou des portraits de figures historiques russes peuvent être survolées si tu n'es pas particulièrement intéressé par cette époque. Concentre-toi sur les salles avec les grands maîtres – Da Vinci, Raphaël. Là, prends ton temps. Tu peux sentir l'émotion émaner des toiles, la lumière qui joue sur les visages, le calme qui s'installe autour de toi. C'est une sensation presque méditative.
Pour le clou du spectacle, garde les salles hollandaises et flamandes, avec notamment Rembrandt, pour la fin de ton parcours principal dans le bâtiment du Palais d'Hiver. Imagine la lumière tamisée qui caresse les toiles, faisant ressortir les noirs profonds et les ors vieillis. Tu te sentiras presque en tête-à-tête avec les personnages des portraits, leurs regards t'interrogent, te racontent des vies entières. C'est une connexion intime, où tu peux presque entendre les pinceaux glisser sur la toile. Ensuite, pour une touche de magie, dirige-toi vers le Pavillon d'Or dans le Petit Hermitage pour y voir l'Horloge du Paon. Si tu as la chance de la voir en mouvement (ça n'arrive qu'à certaines heures précises, vérifie avant !), c'est un moment suspendu. Le chant mécanique, les mouvements délicats des animaux, c'est comme un rêve qui prend vie. C'est l'apogée de l'ingéniosité et de la beauté, et c'est une excellente note sur laquelle terminer ta visite principale.
Pour la sortie, prévois tes billets à l'avance en ligne pour éviter les files d'attente à l'entrée. Une fois que tu as fait le tour, ne te précipite pas vers la sortie principale. Cherche les petites boutiques de souvenirs si tu veux un petit quelque chose, mais surtout, prends un moment pour t'asseoir sur un banc si tu en trouves un. Tes pieds vont te remercier ! Regarde autour de toi une dernière fois, imprègne-toi de l'atmosphère. Il y a des cafés à proximité pour te réchauffer après, ou simplement digérer tout ce que tu as vu et ressenti. Et si tu as encore de l'énergie et que l'art moderne t'appelle, le bâtiment de l'État-Major, juste en face sur la Place du Palais, abrite les impressionnistes et post-impressionnistes. C'est une visite à part entière, mais elle vaut le détour si tu as le temps et l'envie.
Olya from the backstreets
Imagine la sensation. Dès que tu franchis l'entrée, un souffle d'air frais, presque humide, t'enveloppe, chargé d'une légère odeur de vieux bois ciré et de pierre froide. Tes pas résonnent sur le marbre poli, un écho doux qui se mêle au murmure des autres visiteurs, comme une conversation lointaine, respectueuse. Lève tes mains. Non, ne touche pas les murs, mais juste l'air autour de toi. Tu sens cette grandeur ? C'est comme si l'espace lui-même avait un poids, une présence. Chaque salle te submerge, pas seulement par ce que tes yeux pourraient voir, mais par la sheer immensité, la hauteur des plafonds qui semblent vouloir caresser les nuages, les dorures qui brillent même dans une lumière tamisée, te donnant l'impression d'être dans une boîte à bijoux géante. Écoute bien. Parfois, tu peux percevoir le craquement lointain d'un parquet ancien sous le poids de l'histoire, ou le doux froissement d'une robe, le cliquetis d'un appareil photo discret. C'est une symphonie de l'ancien, un ballet silencieux où chaque pas est une danse à travers les siècles. Tu marches, tu marches, et chaque pas te porte plus loin dans le temps, dans une autre ère, un autre monde.
Pour t'aider à naviguer ce géant et en profiter au maximum :
* Meilleur moment de la journée : Arrive à l'ouverture (11h) ou 2-3 heures avant la fermeture. Le matin, tu auras un peu de répit avant les groupes. En fin de journée, les foules commencent à se disperser.
* Quand éviter les foules : Absolument, évite les week-ends et les mardis (jour de fermeture du lundi, donc le mardi est souvent très fréquenté). Privilégie le mercredi ou le jeudi. La basse saison (automne-hiver, hors vacances) est aussi un plus.
* Combien de temps y passer : C'est immense. Pour une visite "rapide" des points forts, prévois 3-4 heures. Pour vraiment t'imprégner, une journée entière est nécessaire, voire deux si tu es passionné d'art. Ne te sens pas obligé de tout voir en une seule fois.
* Quoi "sauter" : Si le temps te manque, tu peux choisir de te concentrer sur les collections principales (Impressionnistes, Salle du Trône, escalier Jordan, salles d'apparat). Les expositions temporaires ou certaines ailes moins connues (comme l'art grec antique si ce n'est pas ta passion) peuvent être mises de côté pour une autre fois. L'important est de ne pas te sentir pressé ou submergé.
* Conseils locaux utiles :
* Billets : Achète tes billets en ligne à l'avance ! C'est le conseil numéro un pour éviter des files d'attente interminables à l'entrée. Tu peux les imprimer ou les avoir sur ton téléphone.
* Vestiaire : Le vestiaire est obligatoire pour les grands sacs et manteaux. C'est gratuit et bien organisé.
* Chaussures : Tu vas marcher ÉNORMÉMENT. Prépare des chaussures confortables, c'est non négociable.
* Cafés/Restos : Il y a des cafés à l'intérieur mais ils sont chers et souvent bondés. Si tu as le temps, sors pour manger. Il y a de petites boulangeries ou des cafés plus abordables dans les rues avoisinantes.
* Toilettes : Elles sont indiquées, mais parfois un peu loin des salles principales. Repère-les sur le plan dès le début. Elles peuvent être très fréquentées.
* Plan : Prends un plan à l'entrée ou télécharge l'application du musée. C'est un vrai labyrinthe !
* Règles : Pas de flash pour les photos, et ne touche rien. Les gardiens sont vigilants.
Léa de la route