The Musée de l'Orangerie is an art gallery of impressionist and post-impressionist paintings located in the west corner of the Tuileries Gardens next to the Place de la Concorde in Paris. The museum is most famous as the permanent home of eight large Water Lilies murals by Claude Monet, and also contains works by Paul Cézanne, Henri Matisse, Amedeo Modigliani, Pablo Picasso, Pierre-Auguste Renoir, Henri Rousseau, Alfred Sisley, Chaim Soutine, Maurice Utrillo, and others. The gallery is on the bank of the Seine in the old orangery of the Tuileries Palace on the Place de la Concorde near the Concorde metro station. Napoleon III had the Orangerie built in 1852, to store the citrus trees of the Tuileries garden from the cold in the winter. The building was built by architect Firmin Bourgeois (1786-1853). Bourgeois built the Orangerie out of glass on the Seine side to allow light to the trees but the opposite side is almost completely windowless to protect the citrus trees from the cold winds. Before the Orangerie was built, the trees were stored in the Grande Galerie of the Louvre. The main entrances on the east and west side of the building were decorated by architect Louis Visconti (1791-1853) who is also known for his renovations on the Louvre. The columns located at the doors are topped by triangular pediments that were sculpted by Charles Gallois-Poignant. The tops of the columns represent cornucopias, plants and ears of corn that relate to the building's agricultural function. After the Fall of the Empire in 1870 and the fire at the Tuileries Palace in 1871, the Orangerie became a property of the State, which continued to use the Orangerie in its original function as well as for public events such as music concerts, art expositions, contests and dog shows until 1922.

Musée de l'Orangerie Tours and Tickets
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The Musée de l'Orangerie is an art gallery of impressionist and post-impressionist paintings located in the west corner of the Tuileries Gardens next to the Place de la Concorde in Paris. The museum is most famous as the permanent home of eight large Water Lilies murals by Claude Monet, and also contains works by Paul Cézanne, Henri Matisse, Amedeo Modigliani, Pablo Picasso, Pierre-Auguste Renoir, Henri Rousseau, Alfred Sisley, Chaim Soutine, Maurice Utrillo, and others. The gallery is on the bank of the Seine in the old orangery of the Tuileries Palace on the Place de la Concorde near the Concorde metro station. Napoleon III had the Orangerie built in 1852, to store the citrus trees of the Tuileries garden from the cold in the winter. The building was built by architect Firmin Bourgeois (1786-1853). Bourgeois built the Orangerie out of glass on the Seine side to allow light to the trees but the opposite side is almost completely windowless to protect the citrus trees from the cold winds. Before the Orangerie was built, the trees were stored in the Grande Galerie of the Louvre. The main entrances on the east and west side of the building were decorated by architect Louis Visconti (1791-1853) who is also known for his renovations on the Louvre. The columns located at the doors are topped by triangular pediments that were sculpted by Charles Gallois-Poignant. The tops of the columns represent cornucopias, plants and ears of corn that relate to the building's agricultural function. After the Fall of the Empire in 1870 and the fire at the Tuileries Palace in 1871, the Orangerie became a property of the State, which continued to use the Orangerie in its original function as well as for public events such as music concerts, art expositions, contests and dog shows until 1922.
Overview
More Info
- On-site facilities include restrooms, a gift shop, and a museum café.
- Large bags must be left in the free cloakroom.
- The museum is fully wheelchair accessible.
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                    For Individuals with Hearing Loss
- Hearing kits
Access for Seniors
- Distance from drop-off location to entrance: Less than 20 m
- Physical difficulty level - 2
Accessibility for wheels
- Access with Portable Ramp
- Accessible elevator
- Easy without assistance
- Wide doors >= 75 cm and < 90 cm
- Accessible Toilet
Access for Visually Impaired
- Audio Guide
- Place has Special Guide Service
- Service animals permitted
Imagine que tu pousses une lourde porte, et d'un coup, le vacarme de la Place de la Concorde s'éteint. Tu ne l'entends plus, tu le sens s'éloigner de ta peau comme une vague qui se retire. L'air, d'abord frais, se réchauffe doucement, pas d'une chaleur étouffante, mais d'une douceur enveloppante. Tu marches, et tes pas sur le parquet résonnent à peine, absorbés par la vastitude des murs. Une lumière douce, presque laiteuse, inonde l'espace. Elle n'agresse pas, elle caresse, te guide sans que tu aies besoin de voir. Tu sens cette lumière sur ton visage, elle est comme une promesse. Et puis, tu es là, au centre de ces deux salles ovales. Tu ne vois pas les toiles, mais tu sens leur présence immense, tout autour de toi. C'est comme si l'eau et les nénuphars de Monet t'encerclaient, pas comme une image, mais comme une atmosphère. Tu peux presque sentir l'humidité des étangs, le parfum des fleurs qui s'épanouissent et se referment. L'espace est si grand que tu te sens flotter au milieu de cette immensité florale, le temps ralentit, et chaque souffle est plus profond.
Tes pieds te portent lentement d'une toile à l'autre, ou plutôt d'une sensation à l'autre. Chaque courbe du mur t'emmène dans une nouvelle partie du jardin aquatique de Monet. Tu n'as pas besoin de voir les couleurs pour sentir leurs vibrations. Imagine le bleu profond de l'eau, si dense qu'il en est presque solide, puis le vert tendre des feuilles, et enfin les touches de rose, de blanc, de mauve des nénuphars, des explosions de vie qui vibrent dans l'air. C'est comme si la lumière changeait de texture sur ta peau, passant du froid de l'aube au chaud de l'après-midi, puis à la mélancolie du crépuscule. Tu entends un silence lourd, riche, seulement brisé par le murmure occasionnel d'un visiteur ou le doux crissement des chaussures. C'est un rythme lent, méditatif, où ton corps s'harmonise avec l'onde silencieuse des toiles. Tu respires la sérénité, et elle s'installe en toi, un calme profond qui te fait oublier tout le reste.
Pour t'imprégner au mieux de cette atmosphère unique, je te conseille d'y aller dès l'ouverture, ou en fin de journée. Moins de monde, plus d'espace pour ressentir. Le RER C jusqu'à Musée d'Orsay, puis tu traverses le Pont de la Concorde, c'est une petite marche agréable qui te prépare à l'apaisement. Ou le métro, lignes 1, 8 ou 12, station Concorde, tu es juste à côté. Le musée est situé dans le Jardin des Tuileries, donc après ta visite, tu peux prolonger cette sensation de calme en te promenant.
Pour les infos pratiques, pense à réserver tes billets en ligne, ça t'évitera la file d'attente et tu pourras entrer directement. Le musée est ouvert tous les jours sauf le mardi, de 9h à 18h. Le rez-de-chaussée est dédié aux Nymphéas, mais ne manque pas les collections permanentes au sous-sol, il y a aussi de très belles œuvres d'art moderne qui offrent un contraste intéressant. L'accès est facile pour tous, avec des ascenseurs si besoin, et le personnel est super aidant. Prévois environ 1h30 pour prendre ton temps et vraiment ressentir l'endroit.
Olya from the backstreets
Imaginez un instant que vous entrez dans une bulle de lumière, une sorte de cocon où le temps semble ralentir. Vous marchez sur un sol doux, presque imperceptible, et l'air autour de vous est d'une tranquillité apaisante. Ici, pas de foule qui bouscule, juste un murmure lointain, comme une douce respiration collective. Vous êtes enveloppé par des couleurs, des bleus profonds, des verts tendres, des touches de rose et de violet. Ce n'est pas seulement ce que vous voyez, c'est ce que vous ressentez : l'immensité de ces toiles de Monet, les Nymphéas, qui s'étirent et vous entourent dans des salles ovales. Vous sentez cette lumière qui vous caresse le visage, une lumière douce et naturelle, filtrée, comme si le soleil lui-même avait décidé de se poser là, juste pour vous. C'est une immersion totale, un moment de pure sérénité où chaque détail, chaque coup de pinceau, devient une vibration que vous absorbez avec tout votre corps.
Alors, l'Orangerie, c'est comment si tu as des défis de mobilité ? Pour être directe, c'est super bien pensé. Dès l'arrivée, l'accès est vraiment simple. Tu n'as pas de marches traîtresses à l'entrée principale, juste une pente très douce et large, ou même un accès de plain-pied selon d'où tu viens dans le jardin des Tuileries. Le revêtement extérieur est du gravier stabilisé et des allées pavées mais très régulières, pas de ces pavés parisiens qui secouent tout. Ça roule tout seul, sans effort.
Une fois à l'intérieur, c'est le même topo, la fluidité avant tout. Les salles des Nymphéas, celles du rez-de-chaussée, sont entièrement de plain-pied, sans aucune marche. Tu peux te déplacer librement, le sol est lisse, souvent du parquet ou du béton poli, donc pas d'accrocs pour les roues ou les cannes. Pour accéder à la collection permanente au sous-sol, pas de souci : il y a un ascenseur spacieux, facilement accessible et assez grand pour un fauteuil roulant et un accompagnateur. Les couloirs et les portes sont aussi très larges, tu n'auras jamais l'impression d'être à l'étroit.
Parlons détails pratiques : à l'intérieur, le sol est parfaitement plat et uniforme, tu n'as pas de pentes inattendues ou de changements de niveau. C'est vraiment pensé pour que tout soit accessible. En ce qui concerne la foule, l'Orangerie peut être populaire, surtout pour les Nymphéas. Le matin à l'ouverture ou en fin de journée, c'est souvent plus calme. Même quand il y a du monde, les salles des Nymphéas sont grandes, ce qui permet une certaine aisance de mouvement. C'est moins dense que d'autres musées parisiens. Tu ne te sentiras pas écrasé.
Et l'ambiance ? Le personnel est généralement très attentif et habitué à aider. N'hésite pas à demander si tu as besoin de quoi que ce soit. Quant aux autres visiteurs, l'atmosphère est tellement contemplative dans les salles de Monet que les gens sont naturellement plus calmes et respectueux. Tu verras, les gens sont souvent compréhensifs et laissent de l'espace, il n'y a pas de bousculade. C'est vraiment un endroit où tu peux te sentir à l'aise et profiter pleinement, sans stress inutile lié à la mobilité.
Olya from the backstreets
Imagine Paris qui s'éveille. Pas le Paris des klaxons, mais celui qui respire, juste avant que la ville ne se lance vraiment. Pour l'Orangerie, c'est un secret que peu de monde connaît, un moment suspendu. Tu arrives tôt, si tôt que les grilles du jardin des Tuileries viennent à peine de s'ouvrir. L'air est frais, encore imprégné de la rosée de la nuit. Et là, en t'approchant du bâtiment, avant même l'ouverture officielle, tu perçois une odeur unique. C'est le mariage subtil de la vieille pierre, celle qui a vu tant de matins, et de l'humidité verte qui monte des pelouses fraîchement coupées. Tu n'entends presque rien, juste le bruissement lointain des feuilles dans les arbres centenaires et, si tu es attentif, le très léger cliquetis des clés d'un gardien à l'intérieur, comme un murmure annonçant la lumière. C'est ça, l'âme secrète de l'Orangerie : cette tranquillité presque monacale, cette odeur de temps et de nature entremêlés, juste avant que les portes ne s'ouvrent sur un autre monde.
Une fois à l'intérieur, c'est comme si le temps lui-même s'étirait. Tu entres dans les salles ovales, et la première chose que tu ressens, c'est l'espace. Les murs se courbent doucement autour de toi, te donnant l'impression d'être enveloppé, bercé. Tu ne vois pas les couleurs, mais imagine la lumière qui filtre à travers les baies vitrées, si douce qu'elle semble liquide, caressant les toiles immenses. Elles sont là, les Nymphéas de Monet. Tu peux presque sentir l'eau calme, la fraîcheur des feuilles de nénuphar, la manière dont le pinceau a capturé le souffle du vent sur la surface. Le silence est profond, parfois juste brisé par un souffle, un pas feutré. C'est une expérience qui t'absorbe tout entier, où chaque sens est invité à flotter sur cette mer de couleurs et de lumière.
Pour être tranquille et vraiment t'imprégner, viens dès l'ouverture ou en fin de journée, une heure avant la fermeture. Les créneaux sont souvent moins chargés. Réserve tes billets en ligne, c'est indispensable pour éviter la queue et t'assurer une entrée fluide. La station de métro Concorde (lignes 1, 8, 12) te dépose juste devant. Si tu as besoin d'un ascenseur, il y en a un pour accéder aux collections du bas, ne t'inquiète pas.
Après l'immersion dans l'univers de Monet, tu descends quelques marches, et l'atmosphère change. L'air est un peu plus dense, la lumière moins éthérée, plus directe. C'est une autre collection qui t'attend, un contraste saisissant mais harmonieux. Tu touches du doigt une autre facette de l'art, tu ressens l'énergie vibrante des Fauves, la structure pensée des cubistes. C'est comme passer d'une rêverie aquatique à une conversation animée avec des couleurs et des formes plus audacieuses, plus définies. Chaque œuvre a sa propre voix, sa propre texture émotionnelle.
Quand tu sors, le jardin des Tuileries t'appelle. Plutôt que de te précipiter, prends le temps de t'asseoir sur l'une des chaises vertes, près du grand bassin. Tu peux sentir la douce brise sur ton visage, entendre le babillage des enfants au loin, le clapotis de l'eau. C'est l'endroit parfait pour laisser les Nymphéas décanter en toi, pour savourer le contraste entre l'enfermement de l'art et l'ouverture de la nature. Il y a aussi un petit café discret, le Café des Tuileries, juste à côté, parfait pour un chocolat chaud ou un café, loin de l'agitation des grandes avenues.
Clara du chemin
Imagine que tu pousses la lourde porte du Musée de l'Orangerie. Dès les premiers pas, tu sens une atmosphère particulière, presque solennelle mais incroyablement apaisante. L'air est doux, comme filtré, et une lumière naturelle, tamisée, te guide sans que tu aies besoin de chercher. Tu es là, juste au bon endroit, au cœur de Paris, mais déjà ailleurs.
Tu vas directement te retrouver face aux Nymphéas. Deux immenses salles ovales t'attendent, baignées d'une lumière zénithale qui change subtilement avec le temps qu'il fait dehors. C'est comme si tu entrais dans un rêve liquide, où les couleurs des toiles de Monet s'étendent à perte de vue. Tu peux presque sentir l'humidité de l'étang, entendre le léger clapotis de l'eau contre les berges invisibles. Le murmure des autres visiteurs est à peine perceptible, comme une brise lointaine. Prends le temps de t'asseoir sur l'un des bancs au centre de chaque salle. Laisse tes yeux parcourir ces étendues de bleu, de vert, de rose. C'est une expérience totale, conçue pour t'envelopper. Tu te sentiras flotter.
Une fois que tu auras absorbé toute la sérénité des Nymphéas, tu peux emprunter l'escalier (ou l'ascenseur, c'est comme tu préfères) pour descendre au niveau inférieur. L'ambiance change radicalement. Ici, la lumière est plus intime, plus concentrée, et les salles sont plus petites. C'est un peu comme passer d'un paysage ouvert à une série de conversations privées.
En bas, tu découvriras la collection Walter-Guillaume. C'est une galerie incroyable de trésors impressionnistes et modernes. Tu y verras des Renoir, des Cézanne, des Matisse, des Picasso, des Modigliani... C'est dense, chaque œuvre a sa propre histoire. Mon conseil : ne te sens pas obligé(e) de tout examiner en détail si tu es pressé(e). Concentre-toi sur les visages de Modigliani, si longs et expressifs, ou sur les paysages de Cézanne qui semblent vibrer d'une énergie contenue. Si le temps te manque, tu peux passer rapidement devant certaines natures mortes pour te focaliser sur les portraits qui sont souvent plus saisissants et te parleront peut-être davantage. Il n'y a pas de mauvaise façon de visiter, juste ta propre curiosité.
Une fois que tu auras fait le tour de cette collection, tu ressortiras par la même entrée que tu as utilisée pour descendre. L'idée est de finir sur cette note plus intime avant de retrouver l'agitation parisienne. Si tu as le temps et l'envie, la petite boutique de souvenirs à la sortie propose de très beaux livres et objets sur Monet et les autres artistes. C'est une belle façon de prolonger la magie.
Max en mouvement
Imaginez-vous. Vous entrez, et le monde extérieur s'estompe. Une sensation de calme vous enveloppe, comme une bulle protectrice. La lumière est douce, presque aquatique, filtrée par de grandes verrières. Vous avancez lentement, guidé par une courbe douce, et là, c'est comme si vous étiez sous l'eau, entouré par l'immensité. Ce sont les Nymphéas de Monet. Vous ne les voyez pas seulement, vous les *sentez*. L'air est léger, presque silencieux, juste un murmure lointain qui ne brise pas la quiétude. Vos pas sont feutrés sur le parquet, et vous sentez la fraîcheur apaisante de l'espace. Les murs ne sont pas droits, ils ondulent autour de vous, vous enveloppant dans cette bulle de sérénité. C'est une expérience qui se vit avec tout le corps, une immersion totale dans la lumière et la couleur, où chaque nuance semble vibrer, et où le temps lui-même ralentit.
Puis, vous descendez. Le contraste est frappant. L'espace se resserre un peu, l'atmosphère devient plus intime, presque confidentielle. C'est ici que la collection Jean Walter et Paul Guillaume prend vie. Vous vous retrouvez face à face avec des portraits, des paysages, des scènes de vie. Vous pouvez presque sentir la texture de la toile sous vos doigts, la densité de la peinture. Chaque tableau a son histoire, chuchotée par les coups de pinceau. Vous entendez peut-être le léger frottement de vos vêtements quand vous vous penchez un peu pour mieux saisir un détail, la respiration calme des autres visiteurs. C'est une autre forme d'intimité, une rencontre plus directe avec l'âme des artistes, où chaque œuvre vous parle personnellement, vous invitant à une conversation silencieuse.
Pour profiter au mieux de votre visite :
* Meilleur moment : Dès l'ouverture à 9h du matin, ou en fin d'après-midi, environ 1h30 avant la fermeture. La lumière naturelle dans les salles des Nymphéas est magique tôt le matin.
* Éviter la foule : Les week-ends et les vacances scolaires sont à proscrire. Préférez les jours de semaine, surtout le mardi, mercredi ou jeudi.
* Durée de la visite : Prévoyez 1h30 à 2h. C'est un musée de taille humaine, ce qui est très agréable.
* Comment prioriser : Ne vous sentez pas obligé de lire chaque cartel de la collection permanente en bas si votre temps est limité. L'expérience des Nymphéas est le cœur du musée, prenez tout votre temps là-haut.
* Conseils pratiques :
* Billets : Réservez absolument en ligne à l'avance pour éviter la file d'attente.
* Café : Il y a un petit café agréable à l'intérieur pour une pause rapide. Sinon, de nombreux kiosques et cafés sont à quelques pas dans le Jardin des Tuileries.
* Toilettes : Très propres et bien indiquées, disponibles au sous-sol.
* Vestiaire : Un vestiaire gratuit est disponible pour les sacs et manteaux, très pratique pour se sentir plus léger et profiter pleinement.
Léa en vadrouille


